« Pour comprendre pourquoi le français est en perte de vitesse à Montréal, il faut compter les sous. »
ANGLICISATION
Québec a sa part de responsabilité dans le recul du français
Le réseau collégial anglophone anglicise une bonne partie des allophones que la loi 101 cherchait pourtant à franciser. L’État québécois défait au niveau collégial (et universitaire) ce qu’il tente de faire aux niveaux primaire et secondaire. Comme incohérence, c’est dur à battre.