Recensement 2006 - langue de travail

Good news is no news



Quebec anglophones and allophones are more likely than ever before to speak French at work, according to 2006 census data made public this week. In response to this news Christine St-Pierre, the Quebec language minister, said more must be done to advance the use of French in the workplace. This absurd reaction encapsulates the knee-jerk attitude toward language that major political parties all share. Language...

La francisation pour les nuls

le passé colonialiste de la France fait davantage progresser le français langue du travail à Montréal que notre loi 101


Texte publié dans Le Devoir du vendredi 7 mars 2008 Les nuls en préparation des repas recourent aux plats pré-cuisinés. Les édentés se nourrissent d'aliments pré-digérés. Voilà que pour maintenir tout juste l'usage du français au travail chez les nouveaux arrivants à Montréal, le Québec ne s'en ti...

Langue de travail: la propagande se poursuit

Il y en a qui sont payés cher pour ne pas chercher, pour censurer et pour mentir


Contrairement à ce que Derome et ses journaleux au service du régime ont essayé de vous raconter hier soir, en chantant une fois de plus les louanges soporifiques de ce qui reste de la loi 101, c'est l'anglais qui progresse le plus au Québec comme langue de travail, et non le français.

Bonne nouvelle



On n'entendra pas beaucoup parler des plus récentes données sur la langue issues du recensement de 2006. Dans ce domaine, quand les nouvelles sont bonnes, personne ne s'émeut. Statistique Canada a publié hier les statistiques portant sur la langue de travail. On y apprend que les Québécois, notamment les immigrants et les anglophones, travaillent de plus en plus en français. Le léger glissement du français ...

Le français prend du mieux au Québec

L'origine de l'immigration récente a joué en faveur de la langue officielle


N'en déplaise aux Cassandre de la langue, le niveau ne baisse pas, au contraire: le Québec travaille de plus en plus en français. La langue officielle était utilisée en 2006 par 94,3% des travailleurs québécois, en légère hausse depuis 2001. Par comparaison, dans le reste du Canada (sauf au Nouveau-Brunswick et au Nunavut), l'utilisation «au moins régulière» de l'anglais oscille autour de 99 %. Voilà certaines étonn...

La langue dans le buffet

Cela dit, on fait fausse route en claironnant que les données dévoilées hier témoignent de la force de la Charte de la langue française.


On s'attendait à des mauvaises nouvelles. D'autant plus que l'on savait que l'Office québécois de la langue française refusait de rendre publique depuis des mois une étude sur la langue utilisée au travail à Montréal. Y avait-il donc quelque chose à cacher? On disait que non. Mais le message qui passait, c'était que oui. On s'attendait donc à des mauvaises nouvelles. Mais les nouvelles n'étaient pas si mauvais...

Québec

Travail: léger progrès du français

Les conclusions de Statistique Canada seront confrontées dès aujourd'hui aux chiffres de l'OQLF


«Il y a beaucoup de lacunes dans ce qu'on a présenté [hier], estime M. Castonguay. Je n'ai pas vu d'informations pertinentes sur la situation dans la grande région de Montréal. Or c'est là que se trouve le problème. C'est facile de noyer le poisson en agrandissant trop [les résultats].»

Québec

Le français de plus en plus utilisé au travail



Karine Fortin - Le français est de moins en moins parlé à la maison, mais on l'utilise de plus en plus souvent au travail non seulement au Québec mais aussi dans d'autres provinces dont le Nouveau-Brunswick et l'Ontario, révèlent d'étonnantes données du dernier recensement rendues publiques mardi par Statistique Canada. D'après l'agence, plus du quart des Canadiens utilisaient «le plus sou...

Québec

Langue de travail: une étude cachée depuis des mois

Selon un rapport publié en 2006, 64,8 % de la main-d’œuvre de l’île de Montréal travaille principalement en français.


Tommy Chouinard - L’Office québécois de la langue française (OQLF) refuse de rendre publique une étude sur le sujet très délicat de la langue utilisée au travail à Montréal, alors qu’il avait promis de la publier dès juin 2007. Ce refus s’ajoute à la décision de l’organisme de retenir une autre étude faisant état d’un recul du poids démographique des francophones dans la métropole. L’OQLF retarde depuis deux...