Le BQ à Ottawa

Québec

L'indépendance du Québec profiterait à l'Outaouais



Raphaël Déry (Archives Le Droit) Charles Dubé - Le candidat du Bloc québécois dans la circonscription de Hull-Aylmer, Raphaël Déry, a déclaré hier croire qu’un mouvement en faveur de l’indépendance du Québec se dessinait en Ou-taouais et qu’il était prêt pour des élections printanières. « Depuis l’élection de Richard Nadeau dans Gatineau en 2006, on voit une certaine curiosité pour la souveraineté en Outaouais...

Les avantages de l'indépendance pour la région



Les députés fédéraux sont de retour à Ottawa, lundi, pour la reprise des travaux à la Chambre des communes. Plusieurs partis ont profité de la pause de six semaines pour mettre au point leur stratégie en vue du déclenchement éventuel d'une campagne électorale ce printemps. En Outaouais, les rencontres de militants se multiplient. Dimanche, c'était au tour du candidat du Bloc Québecois dans Hull-Aylmer, Raphaël ...

Pratte la Palisse...

Comment éviter l'apocalypse



Car une chose est sûre: si l'opposition ne défait pas le gouvernement aux Communes, il n'y a absolument aucun risque que les conservateurs deviennent majoritaires à court terme.

Le chef bloquiste prédit des élections au début de 2008

Gilles Duceppe a l'intention de continuer à diriger le Bloc québécois tant qu'il aura la confiance des électeurs.


Ottawa -- Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, trace en quelque sorte une ligne dans le sable. Il restera à la barre du parti souverainiste fédéral seulement s'il remporte plus de sièges que ses adversaires dans la province lors des prochaines élections générales. Des élections qu'il prédit pour les premiers mois de 2008. L'avenir du leader bloquiste alimente périodiquement les discussions politiques, et ce, d...

Analyse

Le Bloc québécois, un phénomène



Le Québec n'a pas de meilleur atout politique que ce parti qui, un jour, s'est introduit dans le parlementarisme canadien et a altéré la dynamique des partis fédéralistes et du fédéralisme lui-même. L'adversaire est dans la place! On ne saurait le corrompre, car il n'attend pas de récompense, fût-ce même sous la forme d'un pouvoir partagé avec ceux qui dominent la scène mais qui, à cause de lui, ne la dominent pas totalement.

Le Bloc au bout du rouleau



On le voit, le Bloc arrive au bout de son rouleau logique. Longtemps, le parti a pu défendre avec une certaine cohérence la pertinence de sa présence à Ottawa. Ce n'est plus le cas. Aujourd'hui, le rôle des bloquistes se limite à semer la pagaille dans la capitale fédérale dans l'espoir que cela insuffle une nouvelle énergie à la cause souverainiste.

Québec

Gilles Duceppe expose aux militants son plan de match pour le Bloc et pour le projet souverainiste



Trois-Rivières, le samedi 13 octobre 2007 – Le chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe, a profité du Conseil général de son parti pour exposer aux militantes et aux militants son plan de match pour le Bloc Québécois et pour le projet souverainiste. « Ce que je vous propose, c’est que le Bloc Québécois, qui est un parti résolument souverainiste, accentue son rôle de défenseur, non seulement des intérêts, mais aussi des valeurs et de l’identité québécoise », a affirmé Gilles Duceppe.

À la recherche de la crise perdue



Dans deux discours cette semaine, le chef du Bloc québécois a réclamé l'élimination du pouvoir fédéral de dépenser (i.e. l'émasculation du gouvernement canadien) et l'application de la loi 101 au gouvernement fédéral (i.e. l'abandon du bilinguisme dans les bureaux fédéraux au Québec).

Québec

Harper a arnaqué les Québécois, selon Duceppe



Le fédéralisme d'ouverture promis par Stephen Harper lors de la dernière campagne électorale n'a été qu'arnaque, tromperie et mensonge, a soutenu jeudi le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe. Devant une salle bondée d'étudiants à l'Université Laval, à Québec, le leader du Bloc a employé des mots très durs à l'endroit du parti conservateur et de son chef.

Les lois fédérales doivent respecter la primauté du français au Québec



Montréal, le mercredi 10 octobre 2007 – Alors que le débat sur l’identité québécoise bat son plein avec les audiences de la Commission Bouchard-Taylor, le chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe, exhorte le gouvernement conservateur à agir concrètement pour la nation québécoise et à passer de la parole aux actes en reconnaissant la primauté du français au Québec, une valeur fondamentale de la nation québécoise. « Maintenant que la nation québécoise a été reconnue en mots, le Canada a l’obligation de reconnaître cette nation dans les faits et dans les actes en respectant la loi 101 partout sur le territoire du Québec », a affirmé le chef du Bloc Québécois lors d’un discours prononcé à l’Université de Montréal.

Duceppe challenges Harper

Recognize 'francophone' Quebec; 'We want more than words,' he tells PM


PHILIP AUTHIER - Canada's Official Languages Act should be amended to stipulate French is the official language of Quebec, which would compel federal agencies that are now exempt to conform to the province's language laws, Bloc Québécois leader Gilles Duceppe said yesterday. Announcing plans to go on a language offensive in the House of Commons, Duceppe told students in a speech at the Universit...

Duceppe slams 'multiculturalism'



DANIEL LEBLANC - MONTREAL — Bloc Québécois Leader Gilles Duceppe cranked up the nationalist rhetoric in a speech Wednesday that shows he is banking on Quebec's politics of identity to beat back the surging Conservative forces in the next election. Speaking to about 200 students at the University of Montreal, Mr. Duceppe blasted the “Canadian ideology of multiculturalism” and accused the federal government of f...

Bloc québécois : des sympathisants hors Québec



Joël-Denis Bellavance - Le Bloc québécois n’a pas des sympathisants qu’au Québec. Des Canadiens vivant à l’extérieur de la Belle Province souhaitent voir cette formation politique parvenir à réaliser l’objectif de la souveraineté. Et ils délient volontiers les cordons de leur bourse pour l’aider à financer ses activités politiques. Un ex...

Duceppe prépare sa sortie

Duceppe dément la rumeur


Joël-Denis Bellavance - Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, prépare son retrait de la politique. M. Duceppe a confié à certains proches collaborateurs qu’il dirigera les troupes bloquistes pour la dernière fois aux prochaines élections fédérales. Élu pour la première fois à la Chambre des communes en 1990 à la faveur d’une élection partielle dans Laurier–Sainte-Marie, M. Duceppe a aussi confirmé son int...

Harper devra s'engager à respecter Kyoto



Au lendemain des rencontres de New York et de Washington sur les changements climatiques, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a réitéré sa volonté de voter contre le discours du Trône du 16 octobre si le gouvernement conservateur ne s'engage pas à respecter le protocole de Kyoto.

Forums de réflexion au Bloc québécois - Pour unir nos forces



Tant que le Québec ne sera pas un pays souverain, bon nombre des éléments nécessaires pour relever ses défis seront aux mains d'Ottawa. Seul parti implanté dans toutes les régions du Québec, dégagé des contraintes qui forcent les partis fédéraux à faire passer les intérêts du Canada avant ceux du Québec, le Bloc québécois est le lieu tout désigné pour préparer l'avenir du Québec et servir de laboratoire d'idée...

Le Bloc et les libéraux perdent des plumes



Alors que les rumeurs d'élections ressurgissent à Ottawa, le Bloc québécois et les libéraux fédéraux perdent des plumes, tandis que le Nouveau Parti démocratique semble profiter de la performance de Thomas Mulcair dans Outremont.

Chips off the old Bloc

Duceppe seems to want an election before his party loses even more support


Gilles Duceppe has pulled a Godfather in reverse, making the Harper government an offer the Bloc Québécois leader knows it can't possibly accept. On the weekend, Duceppe announced five "non-negotiable" conditions that the Conservative minority government must meet in the speech from the throne Oct. 16 to obtain the Bloc's support. One of these is the outright abolition of the federal spending power, which ...

Non raisonnable



Il est légitime pour les partis d'opposition de faire valoir leurs exigences à la veille du discours du Trône d'un gouvernement minoritaire. Ça l'est aussi de tenter de renverser ce gouvernement. Ce n'est donc pas cela qui étonne dans le discours tonitruant prononcé samedi, à Rimouski, par le chef du Bloc québécois. C'est plutôt que, en haussant le ton comme il l'a fait, Gilles Duceppe semble avoir perdu ...

Le Bloc a-t-il encore une raison d'être?



Bellavance, Joël-Denis - Le Bloc québécois a-t-il encore une raison d'être à Ottawa? Cette formation fondée il y a 17 ans doit-elle revoir sa mission? Les troupes de Gilles Duceppe devraient-elles tout simplement rentrer dans leurs terres? Les journalistes, surtout les anglophones, ont souvent posé ces questions au fil des ans aux députés du Bloc. Presque après chaque campagne électorale depuis le référendum de 1...

Le Bloc québécois, plus que jamais!



Si le Québec était aujourd'hui un pays indépendant, les Québécois, solidaires des accords de Kyoto et fidèles à la parole donnée, seraient parmi les peuples du monde engagés dans la lutte pour sauver notre planète. Nous devons au contraire nous contenter d'assister, impuissants et dans la gêne, aux tristes simagrées canadiennes. Voilà autant de raisons de demeurer fidèles au Bloc et à la souveraineté du peuple québécois, la seule option qui garantisse la maîtrise de notre destin et de notre dignité.

Menaces d'élection - Le Bloc met son poids dans la balance



À moins d'un mois d'un discours du Trône décisif pour la survie du gouvernement conservateur minoritaire de Stephen Harper, le Bloc québécois a décidé de durcir le ton. Dans un discours prononcé samedi devant des militants à Rimouski, dans le cadre d'un forum de réflexion, le chef bloquiste Gilles Duceppe a posé cinq conditions au gouvernement conservateur. M. Duceppe a martelé que ces demandes étaient « n...

Duceppe pose cinq conditions à Harper



Le Bloc québécois semble prêt à voter contre le discours du Trône puisqu'il pose cinq conditions pratiquement impossibles à accepter pour le gouvernement de Stephen Harper, une position qui vient augmenter les risques d'une élection générale dès cet automne.