Indépendance — les luttes fratricides

Québec

Quand le vase déborde

« Effet » Couillard, « Effet » David: « Effets morbides »…



Pardonnez-moi d’abord la longueur de cet édito-ci. Mais, quand le vase déborde…

Québec

Ne vaudrait-il pas mieux le juger sur ses actions à venir?

Le SPQ Libre ne veut pas de PKP comme chef



Le parti des syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ Libre) a accepté un mariage de raison avec Pierre Karl Péladeau, mais s'est fixé une limite, hier. PKP comme coéquipier au sein du PQ pour la souveraineté, oui. Mais pas question de l'élever, un jour, au rang de chef.

Québec

Comment faire taire une grande gueule de droite

Les souverainistes harcèlent-ils les Québécois ?



Je lis souvent les «droitistes» québécois (je parle de cette «nouvelle droite» ultrafédéraliste et pas de la «droite» en soi) nous dire que l’indépendance ayant été rejetée à deux reprises, en 1980 et en 1995, les souverainistes devraient renoncer à leur projet et ne plus chercher à faire du Québec un pays. En s’entêtant à convaincre l’électorat, ils harcèleraient la population et chercheraient à lui enfoncer dans la gorge un projet politique. Leur projet, les souverainistes devraient l’enterrer et ne plus jamais y revenir.

Québec

« S’ils ne peuvent pas nous sentir, qu’ils s’en aillent, parce qu’on ne changera pas d’odeur »

Une question d’odeur



En février 1996, Lucien Bouchard, qui venait tout juste d’accéder au poste de premier ministre, avait raconté sa rencontre inopinée avec un anglophone qui bouquinait dans la même librairie que lui, disant avoir été frappé par la détresse de son interlocuteur.

Québec

Débat sur la division du vote souverainiste

Pourquoi les indépendantistes ne votent-ils pas tous pour le même parti? (1/2)



La question est bonne. Plusieurs se la posent. En effet, qu'ont-ils, tous ces indépendantistes, à se critiquer et à s'opposer les uns aux autres? Serait-ce une fatalité? Un trait génétique? Un complot du Parti libéral pour se donner une chance de retourner au pouvoir? J'ai une analyse plus rationnelle à vous proposer. La voici.

Un exercice avant tout pédagogique sur la toxicité du Canada pour le Québec

Le livre noir



On a déjà trouvé de nombreux ancêtres au livre blanc sur l’avenir du Québec et à la consultation à laquelle il donnera lieu si le PQ arrive à former un gouvernement majoritaire : le livre blanc de 1979 sur la « nouvelle entente Canada-Québec » de René Lévesque, la commission Bélanger-Campeau (1990-1991), les commissions itinérantes de 1995…

Québec

Le peuple, otage des ambitions opportunistes de Maria Mourani

La Mourani

Éloge de la malhonnêteté.

Quand le vice fait place à la réflexion.


Madame Mourani, hier, le mercredi 18 décembre 2013, après l'annonce de sa nouvelle allégeance politique, se gargarisait vulgairement avec le mot PEUPLE à RDI.

Oh que cette position n'est pas confortable !

Anti-charte n’égale pas fédéraliste

Des souverainistes opposés au projet du PQ dénoncent le virage idéologique de Maria Mourani


On peut être souverainiste et contre la charte des valeurs, rétorquent une trentaine d’indépendantistes à Maria Mourani. Au lendemain de la profession de foi fédéraliste de l’ex-bloquiste, un groupe de militants souverainistes ont signé une lettre lui indiquant qu’elle fait « une erreur de raisonnement ».

La tentation du nouveau départ

Lettre ouverte aux indépendantistes «purs et durs»



L'auteur d'une longue analyse publiée mercredi dans la Tribune libre de Vigile , Luc Bertrand, semble presque regretter que le Québec soit dirigé par un gouvernement du Parti Québécois. Ses arguments, souvent entendus ailleurs, reprennent ceux des militants que la télé fédérale se plaît à nommer les «purs et durs», par opposition aux péquistes impurs qui «font de la politique et ne cherchent qu'à être élus». C'est comm...

Québec

Les dangers de la division

Résultats d’élections - En 2009 comme en 2013, la division a été une source de déceptions



Nous avons déjà évoqué pourquoi tous les partis souverainistes ont raison d’être déçus des résultats de la campagne de 2012: malgré une performance électorale historiquement faible du Parti libéral du Québec avec 31 % des voix et 50 sièges, le Parti québécois n’a pas su décrocher la majorité qu’il souhaitait ; Québec solidaire n’a pas vu se produire de vague orange et sa progression semble stagner ; Option nationale n’a fait élire aucun député.

Québec

L'huile sur le feu

NMQ : le président claque la porte

Jocelyn Desjardins déplore les divisions au sein du mouvement indépendantiste


Jocelyn Desjardins, le président du Nouveau Mouvement pour le Québec (NMQ), qui s’était donné pour mission d’unir les mouvances souverainistes, a démissionné samedi, regrettant les divisions au sein de l’organisme qu’il a lui-même fondé, il y a deux ans.

Québec

Dérive sectaire... C'est bien de cela qu'il s'agit

Amir Khadir et la dérive sectaire de Québec Solidaire



Dans une « Lettre ouverte aux indépendantistes », le député Amir Khadir précise la stratégie politique de Québec solidaire pour l’indépendance du Québec. De façon conséquente avec les décisions du dernier congrès de son parti, excluant toute alliance possible avec d’autres partis politiques, l’ex co-porte-parole y va d’une charge à fond de train et sans appel contre le Parti Québécois.

Québec

À qui profite le crime ?

Les calendes grecques



La parade improvisée des porte-parole des différents partis souverainistes à la clôture du congrès de la Convergence nationale n’a abusé personne. Le camp fédéraliste n’a pas à s’en faire : ils continueront à s’entre-tuer avec la même ardeur.

Québec

Pas de pêche miraculeuse...

Indépendance du Québec

De timides premiers pas pour la Convergence

Tous représentés au congrès, les partis souverainistes n’ont laissé planer que de minces espoirs d’unité


Ce fut un modeste départ pour le congrès de la Convergence nationale qui, malgré un enthousiasme bien senti des militants souverainistes de la base, n’a pas semblé convaincre les représentants des partis politiques indépendantistes.

Québec

Ces divisions qui nous plombent

Convergence nationale: l’appel au dialogue est lancé



L'unité des forces souverainistes et l'unité de la société civile ont été au premier plan des discussions de la première matinée, samedi, du congrès de la Convergence nationale qui a lieu cette fin de semaine à l’Université du Québec à Montréal.

Québec

Quand Michel David se fait lui-même le fossoyeur de l'espoir

Entretenir l’espoir



Personne ne le dira ouvertement au congrès de la Convergence nationale, qui se tient en fin de semaine à l’Université du Québec à Montréal, mais le dernier sondage CROP tombe particulièrement bien pour ceux qui plaident en faveur d’une forme d’entente entre les partis souverainistes.

Québec

Pas sûr qu'en brassant cette soupe, elle sera meilleure

Le congrès de la convergence nationale : un rendez-vous nécessaire



Dans quelques jours aura lieu le premier congrès de convergence du mouvement indépendantiste. Le but de ce rendez-vous est de contribuer à répondre à deux grandes questions. La première, que nous appelons la question de la convergence nationale, consiste à savoir de quelle façon le mouvement indépendantiste peut se doter d’une stratégie commune, voire d’un socle de revendications communes. La deuxième, que nous appelons la question de la convergence électorale, consiste à savoir de quelle façon organiser des ententes électorales permettant aux trois partis indépendantistes de devenir majoritaires à l’Assemblée nationale.

L'aussi superbe que stupide isolement de Québec Solidaire

Les adieux de Québec Solidaire au scrutin proportionnel



En écartant, lors de son récent congrès, toute possibilité d’alliance avec le Parti Québécois, Québec solidaire renonçait, dans les faits, à ce qui était, de facto, l’article 1 de son programme : l’instauration d’un mode de scrutin proportionnel.

Québec

Ce serait effectivement la chose à faire dans les conditions idéales, mais les conditions ne sont pas idéales. Sacrés platoniciens !

Une proposition provocatrice



En proposant à QS et à ON de se saborder, Mme Marois fait preuve d’irréalisme. Ainsi, la chef du Parti québécois, Pauline Marois, vient de conseiller à Québec solidaire et à Option nationale de se saborder, comme l’avait fait le RIN de Pierre Bourgault à la fin des années 1960, pour laisser la voie libre à sa formation. Cette proposition provocatrice laisse pantois, car elle démontre que la première ministre péquiste fait partie du dernier carré d’irréductibles qui considèrent que la souveraineté doit se faire sous l’hégémonie du PQ.

Québec

Chaque chose en son temps, et un temps pour chaque chose

Réplique à Denis Monière

Conséquences des inconséquences du PQ



Elles sont inévitables puisqu’elles le fondent. La souveraineté-association réduisait la visée inaugurale d’indépendance politique et sociale du peuple québécois à un projet technico-économique d’un nouveau partage des pouvoirs entre le Canada et le Québec.

Québec

Un refus qui cache un énorme dilemme pour tout parti suffisamment enraciné pour prétendre à gouverner

Union des souverainistes - Refus primaire



L’union des souverainistes a actuellement toutes les allures de la quadrature du cercle pour les dirigeants et militants de cette mouvance. Pauline Marois peut bien rêver à un sabordage soudain de Québec solidaire et d’Option nationale, elle fait ainsi fi non seulement des nouvelles réalités, mais aussi de décennies d’évolution politique.

Les inconséquences du PQ



Le Parti québécois est dans l’impasse et souffre d’un déni de réalité. Au lieu d’analyser les causes de son impopularité et de la désaffection des électeurs, il s’attaque aux autres partis souverainistes qui récoltent les fruits de ses erreurs de positionnement stratégique. Il ne veut pas voir que c’est lui qui est en déclin et que ce sont les nouveaux partis qui sont en croissance. Imbu de sa position hégémonique ...

Québec

Le spectacle consternant de nos divisions

QS et ON préfèrent l’abordage au sabordage

Les deux partis indépendantistes n’ont pas l’intention d’écouter le conseil de Pauline Marois et de se sacrifier pour la cause, à l’image du RIN de Pierre Bourgault


Pauline Marois a donné un conseil simple aux partis indépendantistes rivaux, lors du conseil national du Parti québécois (PQ), samedi à Québec : elle pense qu’ils devraient se saborder. Mais Québec solidaire et Option nationale estiment avoir le vent dans les voiles, et comptent bien partir à la conquête des électeurs déçus du PQ.

Québec

Pour sortir de la cage à castors ?

Faut-il recréer «la Patente», une société secrète indépendantiste?



En conséquence, la prochaine organisation nationaliste ne devrait être ni une Coalition, ni une Convergence, ni un Front uni, ni un parti politique, mais bien une organisation secrète destinée à agir dans l'ombre et au moins ainsi risquer d'être plus efficace...

« Le gouvernement minoritaire de Pauline Marois risque d'être défait à tout moment. »

Pas d'alliance électorale prévue entre les trois partis souverainistes



Les souverainistes qui rêvent de voir réunis sous la même bannière les trois partis favorables à l'indépendance du Québec risquent d'être déçus. Tout indique qu'il n'est du tout réaliste d'espérer voir poindre une alliance de ce genre d'ici la prochaine élection générale.

ON et QS : un rapprochement improbable

Réponse à Alexandre Leduc, de Québec solidaire


Or, « l’indépendance n’est ni à gauche, ni à droite, mais en avant ! », comme le disent plusieurs. La liberté dans toute sa simplicité et sa grandeur constitue un enjeu en elle-même. Un enjeu central.

Québec

Françoise David souhaite inciter tous les indépendantistes à unir leurs forces

Québec solidaire envisage un rapprochement avec les autres partis souverainistes



Réunis en conseil national ce week-end à Québec, quelque 200 membres de Québec solidaire seront appelés à se prononcer sur la possibilité d'effectuer un rapprochement avec les autres formations souverainistes, dont le Parti québécois.

Il est clair que le budget Marceau a eu l’effet d’une douche glacée

Le budget de la discorde



Si le gouvernement Marois voulait tuer dans l’oeuf toute nouvelle tentative d’union des forces souverainistes et progressistes en vue de la prochaine campagne électorale, il ne pouvait trouver mieux que le budget présenté mardi par Nicolas Marceau, que Québec solidaire (QS) a immédiatement qualifié de « budget des espoirs déçus ».

GAUCHISTES ET SOUVERAINISTES SE DIVISENT



Il y a péril en la demeure et urgence d’agir rapidement. Pas dans 10 ou 20 ans. Autrement, nous atteindrons des points de non retour et les fenêtres d’opportunité se refermeront, peu importe nos bonnes intentions.