Dion-le-fossoyeur

Débat sur la place des Québécois auprès de Stéphane Dion - La tête du directeur général du PLC est réclamée

Un partisan de la reconnaissance de la nation québécoise se fait boycotter par le parti


M. Riveault est le dernier en lice dans le clan des partisans de la reconnaissance de la nation québécoise à se trouver sur la voie de service. L'ex-astronaute Marc Garneau, qui avait rédigé une lettre ouverte en ce sens, a décidé de ne plus se porter candidat. Enfin, Hervé Rivet, l'ex-directeur général du PLC-Q qui s'était assuré qu'une résolution sur la reconnaissance puisse être débattue en congrès, s'est aussi fait évincer.

Des députés exigent la démission du DG du PLC



Isabelle Rodrigue - Durement amoché par les déboires de son parti au Québec, la journée de jeudi n'a guère apporté de baume pour le chef libéral Stéphane Dion qui s'est retrouvé face à des demandes de députés et sénateurs exigeant la démission du directeur national du parti à la suite de propos douteux sur les Québécois. Pour ajouter aux problèmes du chef libéral, Paul Leduc, un autre can...

Why Quebec is spurning Dion: the compact myth

Quebec will fit uneasily in the federation so long as it is governed by the myth of the two founding peoples


No, it's not possible. Can the federal Liberals have plunged so low in their once impregnable Quebec fortress? Some finger Stéphane Dion. Others smell poison lingering from the sponsorship scandal. But another factor, more fundamental, goes ignored: "the compact between the two founding peoples." Brian Mulroney described it in his senior-college-year essay, according to his biographer, L. Ian MacDonald: "To the Fren...

Le caricaturiste, c'est Dion



Stéphane Dion se plaint du fait qu'il doive se battre contre une caricature de lui-même. Et j'en arrive à deux conclusions. D'abord, que la caricature n'est pas si loin de la réalité. Ensuite, qu'il a très largement contribué à la façonner. Le caricaturiste, c'est lui.

Dion's Quebec disconnect



What's wrong with Stéphane Dion? Why is the Liberal leader unable to restore his party's fortunes in his own province? Why have the Tories replaced the party of Laurier, Trudeau and Chrétien as the first federalist party in Quebec? These questions are more timely than ever, after the abysmal performance of the Liberal Party in last week's Quebec by-elections. Not only did the Liberal Party lose its histori...

So very, very sorry



It was appropriate for Stéphane Dion to take responsibility for his party's dismal showing in last week's Quebec by-elections - the first time. Liberals, unhappy with their new leader's performance and possibly wondering if they wouldn't be better off with Michael Ignatieff, needed to hear that he understood their concerns and was working to address his shortcomings. But there is only so much public self-flagell...

Objet volant non identifié



On ne saura jamais trop pourquoi Stéphane Dion s'est lancé en politique. Il faisait un professeur modèle, moins intéressant et moins drôle que son père, qui avait la pensée plus subtile et plus arrondie, mais un professeur respecté quand même. On dit que c'est Jean Chrétien qui alla le chercher pour se donner, lui boxeur de ruelles, des entournures respectables et intellectuelles. On ne saura jamais, à moins qu'il...

Dion must change policies to appeal to Quebec

It's not that Quebecers don't like him; they don't like what he stands for


The knives must have come out pretty fast for Stéphane Dion to go on the offensive right after the Liberals' disastrous showing in Monday's by-elections. Instead of getting his people together for a private post-mortem, he chose to give a surrealistic, self-critical interview on Radio-Canada's Téléjournal. Dion took the whole blame for the Liberals' being unable to position themselves as a credible alternative to...

Réveillez-vous!



Les résultats désastreux du Parti libéral du Canada lors des récentes élections complémentaires tenues au Québec démontrent à quel point il se creuse un inquiétant fossé entre l'électorat québécois contemporain et ce parti qui fut pendant longtemps le véhicule des forces progressistes, modérées et centristes au Canada. Ces résultats soulignent à quel point les Québécois ne se sentent nullement interpellés par...

Voix publique

Les conservateurs sont morts de rire



OK. On respire par le nez. On ferme les yeux, on prend une GRANDE respiration et on compte jusqu'à trois. On se prépare à intérioriser la chose. Allez, dites-le doucement: les conservateurs sont là pour rester. Bon. Est-ce que ça va comme ça? Est-ce que ça passe? Non? Eh, bien. Que voulez-vous? Faudra s'habituer. Bien sûr, l'analyse politique ou les projections ne sont aucunement une science exacte. Robert Bou...

Le problème, c'est le chef

Les conservateurs sont les seuls vrais gagnants des élections partielles de lundi.


Devant la débandade libérale et la lente érosion du Bloc québécois, le PC est le seul parti qui monte au Québec. Même la victoire de Thomas Mulcair dans Outremont - un incident isolé - fait parfaitement l'affaire des conservateurs: le NPD n'a pas d'avenir au Québec, et au Canada anglais, c'est aux libéraux que nuisent les gains néo-démocrates car les deux partis puisent dans le même bassin d'électeurs. Si la ...

Les quatre erreurs de Stéphane Dion



Être chef d'un parti souhaitant former le nouveau gouvernement aux prochaines élections requiert une stratégie particulière, selon les derniers schémas conceptuels de la science politique. Si on applique cette grille d'analyse à Stéphane Dion, on commence à voir ce qui ne va pas. Il n'impose aucun rythme. On ne sent chez Stéphane Dion aucun mouvement, aucune mobilisation, aucune tentative de contrôler l'ordre du jou...

Déchéance conjointe

La déchéance des libéraux et des souverainistes est simultanée et conjointe.


L'existence du Parti libéral du Canada justifiait celle du Parti québécois et du mouvement souverainiste. Les deux se méritaient bien. Ce n'est donc pas une coïncidence si les deux sont désertés en même temps. Le mouvement souverainiste a encaissé une autre leçon lundi à l'occasion des partielles dans trois comtés fédéraux au Québec. La déconfiture du Parti libéral et la rebuffade personnelle essuyée par Sté...

Une claque, une débarque, une victoire et un accident



Les résultats des trois partielles du Québec, avec une victoire du NPD dans le bastion libéral d'Outremont, et une victoire conservatrice dans le fief bloquiste de Roberval, ne sont pas seulement spectaculaires, ils envoient des signaux très forts. L'échiquier politique québécois est en train de se recomposer, dans un processus où les deux partis politiques qui ont dominé la politique fédérale au Québec depuis des anné...

L'effritement

Bien que les libéraux de Stéphane Dion aient subi le revers le plus spectaculaire en perdant Outremont, c'est le Bloc qui a perdu le plus de plumes hier soir si on compare son vote dans ces trois circonscriptions au score obtenu l'an dernier.


Au lendemain des élections générales de 2006, le Bloc québécois avait lancé un exercice de réflexion sur «le mystère de Québec», cherchant à comprendre pourquoi la région de la capitale nationale avait basculé dans le camp conservateur. Les résultats des complémentaires de lundi le forceront à étendre l'introspection à l'ensemble de la province. Bien que les libéraux de Stéphane Dion aient subi le revers le...

Liberals in Quebec: up the down staircase



For more than a century, and up until very recently, the Liberal Party formed the sturdiest political bridge between French-speaking Quebec and the rest of Canada. Being that bridge meant winning national elections. It made the Liberals the country's "natural governing party." Now that bridge has collapsed. So might the Liberals as a serious national party. Monday's by-election results were catastrophic for ...

Not the final verdict on Dion



Stephen Harper is a cunning political strategist. The three ridings in which Mr. Harper sent voters to the polls in Monday's by-elections are all in Quebec, a province in which the opposition Liberals are struggling mightily. Three other recently vacated seats - two in Ontario, one in British Columbia - would likely have resulted in Liberal victories, but the Prime Minister declined to call votes there. Mr. Harp...

Pour la Gâzette - les souverainistes sont les "cancéreux" du système politique canadian, "l'autre" intolérable, malade, déraisonnable, etc...

Broader representation is a healthy thing

A majority, that promised land of governance, must seem very close right now.


As for the Bloc, we now dare to hope we are seeing the final shrinkage of this cancer on the Canadian political system. The Bloc was originally supposed to last only a few years, until the Glorious Day. Instead, it has turned "representing the interests of Quebec" into a perpetual-motion machine of recrimination, condemnation and posturing. By pushing other political parties out, the Bloc has done all it can to isolate Quebecers from the parties that govern Canada.

La catastrophe annoncée



Les électeurs profitent généralement d’une partielle pour envoyer un message au gouvernement. Cette fois, il s’adressait clairement à l’opposition libérale et il était limpide: les Québécois ne veulent tout simplement pas de M. Dion.

L'enfer est rouge



La perte de ce château fort sera dure à avaler pour les libéraux. Pourtant, les scores pitoyables qu'ils ont obtenus dans les deux autres circonscriptions en jeu - moins de 10%! - sont à la fois plus significatifs et plus inquiétants. L'électorat francophone a tout simplement déserté le vaisseau libéral.

Trois partielles et un enterrement?

Vincent Marissal - Difficile de dire, à la lumière des résultats des partielles d'hier soir, qui de Stéphane Dion ou de Gilles Duceppe a le plus perdu, mais, chose certaine, c'est le premier qui est maintenant le plus menacé d'exécution par son propre parti.


Québec

The Krieber factor

Accomplished, assertive and witty, the wife of prime ministerial hopeful Stéphane Dion isn't the submissive kind of political spouse. Does that make Janine Krieber a political asset or a liability?


Sally Armstrong - Revue CHATELAINE 16 avril 2007 When the five-foot-four-inch Janine Krieber tap tap taps her way into the room in four-inch black suede high heels and sits down to chat, the wife of Stéphane Dion – and renowned terrorism expert – makes it clear that she hasn't arrived in Ottawa as a rose in her husband's lapel. Instead she is eager to stress that she's a political force in the Libe...