Confidences ouvertes à Monsieur Nick Payne
Monsieur Payne, En réponse à votre dernier commentaire sous mon titre ["Nous ne pouvons plus nous..."->33019], si M. Frappier le permet! Je suis désolée. D’abord, pour ce que vous considérez de ma part comme de l’ « épithétage », disons que je faisais plutôt, quant à moi, des constats. Et, vous savez, faire des allusions, comme lorsque vous parlez de « chorale péquisse » - c’est moi qui mord dans le « quisse...