L'indépendance du Québec se transforme en une boîte de Pandore
Marois et Lisée, même galère
Qu'il vaut mieux ne pas ouvrir
En conclusion d'un colloque sur les 40 ans de l'accession du Parti québécois (PQ) au pouvoir, l’ex-première ministre, Pauline Marois, estime que le revers électoral de 2014 s’explique par le refus de s'engager à ne pas tenir de référendum sur l'avenir constitutionnel dans un premier mandat. Un argumentaire qui épouse à la lettre la stratégie du nouveau chef du PQ, Jean-François Lisée. Deux politiciens qui semblent inc...