500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
27 août 2024
Cela fait depuis 15 ans que je préconise de mettre fin à la surimmigration dénaturante.
La population a majoritairement rejoint cette position depuis.
À tel point que le gouvernement Trudeau diversitaire et immigrationniste a dû céder et diminuer ses objectifs.
Une belle victoire qui doit aller jusqu'au moratoire complet sur l'immigration tiers-mondiste décivilisatrice.
Voici quelques-unes de ces mesures de réduction:
1- Le gouvernement Trudeau serre encore la vis aux travailleurs temporaires et songe même à réduire la fameuse cible des 500 000 immigrants permanents: un changement de cap majeur pour les libéraux qui irrite le milieu des affaires.
2- Dès le 26 septembre, Ottawa imposera aux entreprises un plafond de 10% de travailleurs étrangers, limitera leur permis à un an et refusera les demandes liées à des emplois à faible revenu.
Ces modifications feront baisser d’environ 65 000 le nombre de travailleurs étrangers temporaires au pays et aideront à faire baisser le poids démographique des résidents temporaires au Canada de 7% à 5% d’ici 2027, un objectif que s’est fixé Ottawa en début d’année.
Mais le gouvernement Trudeau est allé encore plus loin.
3- Après avoir serré la vis aux étudiants étrangers et aux travailleurs étrangers, le ministre de l’Immigration, Marc Miller, n’a pas écarté l’idée de «réduire» la cible controversée de 500 000 nouveaux résidents permanents prévue pour l’an prochain, une première.
Un sondage Léger publié en février indiquait que 56% des Canadiens souhaitaient une réduction de l’immigration et que 79% de l’ensemble de la population faisaient un lien entre la pénurie de logements et l’immigration, des chiffres inédits.
(fin de la citation)
Source: Le gouvernement Trudeau signale un changement de cap en immigration
La prochaine étape à envisager est de renvoyer chez eux le dernier million d'immigrants entrés qui nuisent à l'équilibre de la société par leur surnombre indésiré.
Ces superflus sont la cause directe de: insécurité publique, monopolisation abusive et à nos détriment des soins de santé, des services sociaux, du logement, des écoles, des garderies, vol d'emplois, de tout.