Pratiquement tous les féminicides récents sont d'origine ethnique ou autochtone
17 août 2025
Dans le monde autochtone, le sordide côtoie trop souvent le grotesque.
Ici, une autochtone ivre-morte (l'histoire se répète), une Attikamek originaire de la communauté d’Opitciwan nommée Ève Chachai, fait une crise de rage incontrôlable telle qu'elle se termine par son propre féminicide par un conjoint agressé mais tout aussi violent et ivre qu'elle. Une histoire comme il s'en produit tous les jours sur les réserves. Navrant. Les articles ne sont pas clairs si le féminicideur est également autochtone.
L'autochtone ivre-morte, l'Attikamek originaire de la communauté d’Opitciwan nommée Ève Chachai, avait un taux d’alcoolémie extrêmement élevé, c'est-à-dire plus de quatre fois la limite d’alcool permise dans le sang pour la conduite. Ce n'était certainement pas un jour d'exception, mais la routine quotidienne.
Et comme d'habitude, tout ce que les médias trouveront à dire, c'est parler de victimisation, et non de responsabilisation de ses actes, comportements et vices. Lorsqu'il s'agit d'indiens, il faut toujours trouver le moyen de les excuser. Ce n'est jamais de leur faute.
