Max Bradette, un animateur radio de Saint-Constant en Montérégie n’a décidément pas la langue dans sa poche... Dans son émission Au Maximum diffusée sur la station AM CJMS 1040, il critique durement les anglais, le peuple québécois et écorche au passage plusieurs politiciens.
*ATTENTION: Les propos de l’animateur peuvent choquer certaines personnes. Nous préférons vous en avertir. Nous souhaitons nous dissocier de ces propos.
Voici les meilleures citations de son émission diffusée le 22 janvier
«Les anglais, c’est des esti de goujats qui ne savent pas vivre.»
«C’est de la charogne ces anglais-là»
«Penses-tu qu’ils parlent bien leur anglais eux autres? [...] Ils ne sont pas capables de dire un mot sans dire le mot “fuck”. C’est des pas éduqués et des pas de classe.»
«La gang de l’Alberta, ils débâtissent les hôtels quand ils viennent ici. Il ne fallait pas rien dire. C’est des esti de pas de classe.»
«Ça n’a aucune calice de qualité! C’est ça le Canada anglais!»
«Quand ils vont avoir la chance de nous mettre dehors, ils vont le faire. Penses-tu qu’ils nous aiment les Albertains eux autres là?»
«C’est des pas éduqués, c’est des pas civilisés.»
«Je suis tanné moi de voir les Québécois se baisser la tête pour se faire dire: “leur esti de péréquation là, qu’ils se la foutent dans le cul!”»
«De toute manière, c’est peut-être ce qui va nous permettre de la faire l’indépendance, qui va nous donner le coup de pied dans le cul qu’on a besoin.»
«Un moment donné, arrêté d’avoir peur et arrêté aussi, les crottés comme Couillard et cie qui vendent nos richesses naturelles à rabais, pis faites le ménage esti sur les conseils d’administration comme à Hydro-Québec, la famille Desmarais, crissez-moi ça dehors et mettez du monde qui vont administrer dans l’intérêt des Québécois et la souveraineté vous allez la faire.»
«Pis les Arabes et tout ce que tu voudras qui arrivent ici, passe une loi! Ici, c’est comme ça que ça se passe! Si t’es pas content, [prends] l’avion pis décalisse! Mettez des règles, vous allez la faire l’indépendance.»
«Arrêtez de lécher le cul des anglais et lécher le cul des immigrants! Vous ne ferez jamais rien. Ce n’est pas compliqué, vous ne ferez jamais rien! Comportez-vous comme des gagnants et vous allez gagner!»
«Vous n’avez jamais gagné une bataille, mais s’il faut que vous en livriez une, s’il faut que vous preniez les armes, prenez-les, mais battez-vous! Mort en brave, mais pas en cave! C’est ça le message que je ferais moi.»
«Je suis écœuré de me faire donner des lignes de conduite pis voir une truie comme – pardon! – pis voir une Mélanie Joly, une niaiseuse, une cave qui s’en va comparer John Macdonald à un grand pour la diversité culturelle. Maudit criss de cave! Va à l’école! Enseigne ton histoire!»
«Prenez-vous en main, Québécois. Prenez-vous en main les régions. Vous êtes après mourir. Soyez fiers.»
«Je suis tanné de me faire dire par des anglais, et des entendre pleurer à CJAD quand ils ont toute! Des écoles, des églises, des hôpitaux, des universités! Ils ont tout!»
«On est un peuple de lâche et un peuple de lâche ça ne gagne rien.»
«Pis Pierre Karl Péladeau, il n’a pas tord! Moi, des Jean-Marc Fournier... je traverserais la chambre et je lui crisserais ça dret sur le nozzle. Tu veux savoir comment ça marcherait?
Je lui expliquerais le plan moi!»
«Je suis tanné de les voir nous descendre, nous ridiculiser et après nous faire perdre notre système de santé! Le plus important dans la vie d’un être humain c’est la santé. Nos parents le savaient! Ils se sont sacrifiés pour nous donner un système de santé et là on est après le perdre tranquillement au détriment des affairistes qui vont s’enrichir»
«On est des lâches! Si on ne se tient pas debout, on est des lâches! Les anglais le savent qu’on est des lâches.»
«Souvent, on fait penser aux Français, les seuls qui n’ont jamais gagné une bataille.»
«Ce n’est pas Sam Hamad non plus qui viendrait m’expliquer le plan! Ah saint ostie! Ça ne serait pas mes amis. En partant, ces pourritures là, quand j’arriverais en chambre, ça serait mes ennemis. Ça serait des hommes à abattre.»
«Ce ne sont pas des politiciens, ce sont des hommes à abattre. Il faut que ça débarrasse. Il faut que tu fasses le ménage. Ça prend du Monsieur net, il faut qu’on se débarrasse de ces charognes-là.»
Écoutez l'extrait intégral
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé