Réhabiliter le mot indépendance

Appel aux militants d'Option nationale

Au congrès de fondation en fin de semaine à Bécancour

Option nationale

Je lance un appel solennel aux militants de l'Option nationale réunis en congrès, à réserver un enterrement de première classe au mot souveraineté afin de rompre définitivement avec la démarche péquiste, référendiste et perdante qui a conduit le mouvement nationaliste québécois dans une impasse totale, démotivante, et démobilisant les plus loyaux de ses supporteurs. Cela dure depuis 40 ans et cela doit cesser!
Ce geste sera non seulement symbolique mais il créera une rupture psychologique absolument nécessaire pour la suite des choses. Nous devons nous tourner résolument vers l'avenir et utiliser dorénavant, une terminologie positive et gagnante.
Je tiens à citer mon compatriote Pierre Cloutier dans le petit essai fort instructif qu'il signait cette semaine: ''Des dizaines de pays voient leur fête nationale coïncider avec le jour d'anniversaire de l'obtention de leur indépendance nationale. Le 4 juillet de chaque année, les Américains ne célèbrent pas la Fête de la souveraineté, mais la Fête de l'indépendance!''
Ce jour se nomme the INDEPENDANCE DAY.

J'invite monsieur Jean-Martin Aussant à suivre l'exemple du premier ministre de l'Écosse, cette Écosse qui marche résolument vers la liberté et qui s'est donnée comme slogan référendaire: INDEPENDANCE FIRST!
BYE BYE SOUVERAINETÉ!


Laissez un commentaire



40 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Pour apporter de l'eau au moulin et en finir avec la lubie du souverainisme, l'avis exprimé à ce sujet du Professeur Marc Chevrier, politologue et juriste enseignant au Département de sc. politique à l'UQÀM. Je vous prie de bien l'écouter :
    http://www.youtube.com/watch?v=lr8_NyeiNl0
    df
    -

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Comme vous le savez sans doute, O.N. est un parti très jeune. En conséquence, il y a une forte demande en covoiturage pour des étudiants qui souhaitent participer au Congrès. Alors, faitent un bon geste et contactez le Parti via son site Internet pour indiquer votre disponibilité.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    BRAVOOOOOOOOOO!!!!!!
    Partons à l'offensive chers indépendantistes!!! Nous avons un peuple à libérer et un pays à bâtir!!
    En passant, j'y serai à Trois Rivière, seul de Gatineau, vendredi soir avec rien à faire... Si ça intéresse quelques membres qui si rendent la veille du Congrès, on prend un verre ensemble??? Appelez-moi au 819-360-3265(cell) si celà vous intéresse!
    À SAMEDI À BÉCANCOURT!
    GUY RACICOT
    QUÉBÉCOIS, CORPS ET ÂME!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Ya-t-il quelqu'un qui peut nous traduire du catalan au français ce documentaire extraordinaire sur la lutte pour l'indépendance nationale menée par les nations du Québec, de la Catalogne, du Groendland et de l'Écosse?

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Enfin! La fausse souveraineté est morte, vive la vraie indépendance!
    Une Québécois décanadianisé depuis longtemps

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Enfin! La fausse souveraineté est morte, vive la vraie indépendance!
    Une Québécois décanadianisé depuis longtemps

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    @ Serge Savoie,
    Devant l’unanimité et la forte conviction des intervenants sur cette ligne d’opinion, je dois me rallier au mot "Indépendance". Je vais en informer Jean-Martin Aussant et M. Julien pourra intervenir au congrès.
    Merci
    PS: Séparatistes était un mot qu'on nous avait imposé. Le temps serait peut-être venu de faire savoir autour de nous que nous sommes indépendantistes et fiers de l'être.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Le PQ est le maître de l'emballage, monsieur Jean!
    Pendant 42 ans, ils ont tenté d'emberlificotter les électeurs en leurs parlant de souveraineté associative, partenariale, associative et quoi encore leurs évitant de nous parler de l'indépendance du Québec.Ce temps est révolu!
    Voici le mentra du PQ: Le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir, le pouvoir.
    Ca fait 42 ans qu'on nous sert cette malhonnêteté intellectuelle qui prétend qu'il nous faut prendre le pouvoir d'abord. Et le pouvoir pour quoi faire? Sûrement pas pour faire l'indépendance parce que 42 ans après la fondation du PQ; cette indépendance reste encore à faire.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Souveraineté est un mot juridique,
    indépendance est un mot révolutionnaire. À la population qui veut de la
    nouveauté apportons donc de la nouveauté
    Nous sommes maintenant mûrs pour la phase II de la révolution tranquille. CAP SUR L'INDÉPENDANCE!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Ce n'est pas en criant plus fort qu'on va convaincre les gens.
    Il y a beaucoup de gens, sur ce forum, qui ne comprennent pas que pour réaliser la souveraineté/indépendance...il faut prendre le pouvoir.
    Or QS ne prendra pas le pouvoir...et, pire encore, pour QS l'indépendance c'est de second ordre.
    Il reste quoi?
    C'est pas vrai qu'en criant plus fort on va convaincre plus de gens à notre option.
    Il y a de moins en moins de souverainistes/indépendantistes péquistes sur ce forum...!!! Pas parce qu'il y a moins de péquistes.....!
    Ce n'est pas vrai qu'en changeant l'emballage, on va convaincre plus de gens! Ce qui est vrai:pour réaliser l'indépendnace, il faut prendre le pouvoir!
    Je suis un péquiste "vendu", "molasson"! Avis à certains: je suis aussi convaincu de l'indépendance que ceux qui crient le plus fort ici. Et je prétends prendre le moyen approprié: élire un parti qui peut prendre le pouvoir. Élémentaire!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Devant l'unanimité et la forte conviction des intervenants sur cette ligne d'opinion, je dois me rallier au mot "Indépendance". Je vais en informer Jean-Martin Aussant et M. Julien pourra intervenir au congrès. Faisons place au nouveau et laissons tomber les vieilles croûtes.
    Mes salutations

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Parce qu'un pays monsieur Sallinger, ça ne veut rien dire dans le combat québécois qui nous occupe. Pays veut dire un coin de terre. Il y le pays de la Loire,le pays de Cocagne, le pays perdu, les enfants du pays. Ce n'est pas un concept politique précis.INDÉPENDANCE, tout le monde comprend ce que cela veut dire!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Ce même Daniel Breton qui a contribué activement à faire élire ses amis du NPD au Québec!
    Aussi,qui pensez-vous qui occupent les postes de personnel politique et attachés politiques dans les bureaux des députés du NPD du Québec? Des militants actifs de Québec-Solidaire! C'est un simple retour d'ascenseur.Quand cesserons-nous de nous faire baiser par les nôtres?
    Et si souveraineté et indépendance veulent dire la même chose, alors pourquoi les péquisses en sont-ils si allergiques? Tout est là!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    À tous ceux qui disent que ça n'est là que sémantique je dis que, dans la vraie vie, les mots comptent. Souveraineté est un mot juridique, indépendance est un mot révolutionnaire. À la population qui veut de la nouveauté apportons donc de la nouveauté
    Encore une fois, a tous ceux qui croient que tout cela n'est que sémantique je demande où ils ont vu apparaître le mot souveraineté dans la prise de pouvoir sur les anglais par les États.Unis. On n'y a pas palabré longtemps sur la souveraineté à venir. Leur guerre de l'indépendance a été suivi d'une déclaration d'indépendance.
    @Denis Julien et Guy Racicot
    Obtenez que les documents de fondation d'Option nationale enterrent le mot souveraineté sous celui d'indépendance et je prends ma carte le 26 au matin, ne serait-ce que pour contribuer à mettre ON suffisamment sur la carte pour forcer des alliances lors des prochaines élections tout en obligeant le PQ à révéler à la population ses vraies couleurs.

  • Stefan Allinger Répondre

    22 février 2012


    Une idée m'est venue. Laissons faire les mots souverain et indépendance.
    Pourquoi ne pas dire que l'objectif d'Option National est de faire du Québec un Pays?
    Stefan Allinger

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Sur le plan politique, il y a 2 mots qui sont super brûlés au Québec et qu'on aurait avantage à mettre sur la glace pour un bon petit bout de temps : souveraineté et référendum.
    La petite "chouveraineté ronronnante et mollassonne" et le "référendum dans la semaine des 4 jeudis" du PQMarois.
    Tout ce qui cautionne cette démarche louvoyante, manipulatrice, ambiguë, "provincialeuse", confuse, "désinformante" me pue littéralement au nez.
    Je le dis et je le répète : pour atteindre le statut d'État souverain le Québec doit acquérir d'abord son INDÉPENDANCE par rapport au Canada.
    Il n'y a pas de véritable souveraineté de l'État possible sans déclaration d'indépendance. Pas d'indépendance pas de souveraineté complète.
    Ce n'est pas une question secondaire de sémantique. C'est une question politique essentielle, car elle traduit un euphémisme de base qui a toujours existé au PQ depuis sa fondation.
    Mais J.C. Pomerleau ne le sait pas. Il n'était pas là. Il n'a jamais été là d'ailleurs. Il ne connait rien ni de l'histoire, ni des programmes ni des statuts du Parti Québécois. Rien. Absolument rien.
    Il cherche à nous planter la "chouveraineté ronronnante et mollassonne" du PQMarois dans le nez parce qu'il veut contribuer à l'élection de son ami Daniel Breton, celui qui nous promet l'étapisme écologique et énergétique en 3 actes sur une période de 50 ans....
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    @ J.C Pomerleau
    Face à la dépendance chronique actuelle du Québec dans le régime fédéraliste "canadian", il faut employer un mot fort, à connotation psychologique, qui est contraire à la dépendance, soit le mot INDÉPENDANCE. Si ce mot avait été utilisé, à partir de la fondation du PQ en 1968, la cause de l'indépendance du Québec aurait évolué beaucoup plus rapidement qu'en utilisant le mot souveraineté qui n'a aucune résonance sur la fibre nationaliste des Québécois. Voilà une autre preuve que le PQ a tout fait pour retarder l'indépendance du Québec au profit du carriérisme de ses dirigeants dans le système fédéraliste "canadian".
    De toute façon, l'indépendance est inévitable malgré les obstacles que nous rencontrerons encore sur notre chemin. Il faut continuer de nous battre avec détermination si nous voulons notre pays qui est là et qui ne demande qu'à être reconnu par les instances internationales suite à une déclaration unilatérale d'indépendance, assortie d'une constitution québécoise à être approuvée et votée par le peuple du Québec. Monsieur Pomerleau, vous essayez de créer de la confusion et de la division chez les forces indépendantistes. VIVE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE ET LIBRE DU QUÉBEC!
    André Gignac 22/2/12

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Avez-vous remarqué que ceux et celles qui défendent encore le mot souveraineté sont tous et toutes des militants péquistes actifs?
    Ca fait longtemps qu'on parle de dépéquiser le débat. Que c'est devenu une nécessité urgente.Et pendant ce temps; le PQ continue de vouloir tout contrôler le mouvement indépendantiste et de prétendre que hors de lui pas de salut!
    Cela s'appelle du sectarisme et les militants indépendantistes comme moi en ont assez du chantage qui nous tient en otages depuis trop longtemps.
    L'indépendance nationale appartient au peuple québécois et le peuple appuiera le parti qui lui parlera d'indépendance nationale.
    On en a ras-le-bol de faire des élections sur les listes d'attente,les garderies à 5,7 ou 8$ et de toute façon tout le monde sait que PQ comme PLQ nous ont démontré qu'ils n'étaient pas mieux l'un que l'autre ni en santé comme en éducation.
    Yen a pas un qui va me faire sortir de chez-moi pour aller voter si le choix de l'indépendance nationale n'est pas sur la table.

  • Stéphane Sauvé Répondre

    22 février 2012

    En bref, nous voulons tous se donner le maximum de moyens pour devenir le meilleur de nous-même, non ? N'est-ce pas ainsi que l'on peut voir si le Québec s'assume ? N'est-ce pas ainsi que les Québécois se respectent eux-mêmes ?
    Les Québécois constatent la corruption en dehors comme à l'intérieur du Québec. Ils se sentent pris au piège et les médias les maintiennent dans ce piège. Changer de bateau mais garder les mêmes capitaines, ca ne les intéresse pas. Donc, parlez de souverainisme ou d'indépendantisme ou même de fédéralisme sans changer l'esprit et le fond de nos approches, ca ne veut absolument rien dire pour le commun des mortels québécois.
    ________
    Souverainistes ou indépendantistes, les deux propositions de Cloutier sont dans le mille.
    Primo, on courcircuite les médias par d'autres moyens, comme celui des Technologies de l'information et des communications (TIC);
    Secundo, on courcircuiter le processus de lobbying et de concentration de pouvoir en faisant confiance aux citoyens, et en leur donnant une place dans les nouveaux navires de gouvernance du Québec.
    ___________
    Comme l'a écrit quelqu'un sur Vigile, si Option Nationale a du succès sans que les TICs aient été pleinement mises à contribution, c'est que le loup est encore dans la nouvelle bergerie. On y échappe pas. La victoire passe par une nouvelle facon de faire. Point.
    Ce n'est pas tant dans la sémentique que nous avons besoin de fraîcheur que dans notre facon de penser et faire. Nous entrons dans un nouveau millénaire...un changement de paradigme est en pleine réalisation.
    PS: Monsieur Cloutier, je reste toujours surpris de voir tant de génie et de cohésion dans vos idées et en même temps, tant de gaspillage de votre encre pour des arguties portant sur des virgules du paragraphe. M. Pomerleau ou d'autres méritent votre respect même si leur approche, leur compréhension voire même leur courage ne sont pas de même nature que le vôtre. Vous nous permettrez d'avancer d'autant plus. Cela étant dit, je préfère de loin votre franchise au mièvre et non engagé.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Vous faites erreur monsieur Richard.La distinction entre les deux mots est fondamentale. Tous les gens que je rencontrent sur la route, dans le cadre de mon travailà travers tout l'est du Québec, me le disent. Ils ont utilisé le mot souveraineté parce qu'ils avaient peur d'appeler un chat un chat.On quitte la maison familiale non pas pour être souverain mais pour être indépendant. L'indépendance est l'état normal des gens qui se prennent en mains.Il en va des peuples comme des individus.
    Répondez à ma question qui est très claire et précise. Pourquoi le premier ministre Salmon d'Écosse parle-t-il d'INDEPENDANCE FIRST?
    Pourquoi l'Inde, fête-t-elle le HAPPY INDEPENDANCE?
    Allez voir sur internet, on n'y parle de souveraineté nulle part!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Que les écossais participent eux-mêmes en leur nom à des compétitions internationales nous démontre à quel point on a du chemin à parcourir.
    Jamais le Canada accepterait une équipe autonome du Québec dans quelle que compétitiuon sportive internationale.Donc, nous avons encore plus de raisons de faire notre indépendance nationale. C'est le Québec qui remporte le plus de médailles olympiques mais pas en son nom.

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    22 février 2012

    "Tu veux encore nous passer la "chouveraineté mollasonne et ronronnante" du PQMarois à travers la gorge, mais on n’embarquera pas là-dedans." (P Cloutier)
    Je m'étonne qu'une personne qui a une formation en droit ne sache pas que le statut rechercher est celui d'État souverain.
    Donc pour cadrer la réflexion sur un projet qui vise à changer le statut d'un État, de province à État souverain, il faut parler le langage statutaire. Celui que tous les États souverains parlent entre eux.
    Rien à voir avec les crispations conceptuels,rigidité, souvent chargées d'affects qui caractérisent le débat des idéalistes du Grand Soir sur ce site.
    Pourquoi j'utilise cette expression. Parce que l'idéaliste en politique prends ses racine chez Platon, celui dont Aristote disait qu'"il pensait creux". Et c'est aussi pour frapper l'imaginaire de ceux qui dorment pour mieux rêver.
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Absolument d'accord avec J.C.Pomerleau. Je pense qu'il ne faut pas s'enfarger dans ses lacets de bottines. L'indépendance étant le résultat de la rupture menant à l'exercice de la souveraineté.
    Or, pour accéder à l'indépendance/souveraineté, il faut prendre le pouvoir.
    Ce n'est pas en nous divisant et en nous subdivisant qu'on va atteindre l'objectif visé: indépendance/souveraineté.
    Je suis *un vendu péquiste* qui se désole de ces subdivisions sempiternelles.
    Je comprends pourquoi, sur ce forum, il n'y a pas de députés péquistes qui interviennent.Et, de moins en moins,
    de péquistes tout courts!
    Allez dire aux membres du nouveau Comité de la souveraineté qu'ils sont des *vendus*, des *molassons*. Au constitutionnaliste Henri Brun, à Daniel Paillé, à la jeune et brillante avocate Véronique Hivon, à Claudette Charbonneau l'ex-présidente de la CSN, au maire Morin de Rivière-du-Loup et aux autres.
    Pour réaliser l'indépendace/souveraineté, il faut prendre le pouvoir. Élémentaire!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Je me frotte les yeux avec incrédulité. C'est un triste spectacle de voir autant de gens s'enfarger dans les fleurs du tapis et faire un débat entre deux synonymes. C'est comme si des ingénieurs qui n'ont même pas encore défini des aspects fondamentaux du design d'un avion à construire arrêtaient tout le processus de développement pour commencer un débat Elvis Grattonien sur le motif décoratif du tissus des banquettes. Laissez faire comment les USA appellent ca, Souveraineté cest la définition du dictionnaire pour un Etat indépendant (par opposition à un film indépendant, une suspenssion indépedante, etc). Mais je ne vais pas perdre plus de temps la dessus, je me contre fiche du mot qu Option nationale utilisera, il peut bien utiliser indépendance du moment que c'est pas "Casque de Bain" ou "Souveraigneté-association" ce qui compte cest le programme et l'ensemble des propositions. Mais ca c'est mon opinion.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 février 2012

    Non monsieur Dubé; ce n'est pas rassembleur d'utiliser les deux, c'est tout le contraire!
    On n'a qu'à parler de souveraineté dans un café de Québec pour constater la réaction agressive et le ras-le-bol instinctifs des gens. On n'obtient pas la même réaction en faisant le même exercice avec le mot indépendance. Les gens sont interrogatifs et curieux d'entendre ce que vous avez à dire.Ils ne se referment pas comme des huitres. Ils manifestent une ouverture d'esprit du moins une curiosité intellectuelle et cela est bon signe.
    Et si c'était la même chose, pourquoi l'avoir enfoui dans la penderie pendant 42 ans. Pourquoi Lévesque avait-il appelé son mouvement Souveraineté-Association? Et pourquoi les souveraineux ont-ils la bouche en accent circonflexe lorsqu'il le prononce comme si le mot leurs brûlait la bouche?
    Je pense au contraire qu'on tient quelque chose d'important ici. Je félicite monsieur Racicot de Gatineau d'en son désir de présenter et supporter cela au congrès de Bécancour.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    Message à J.C.Pomerleau
    Encore là, tu fais de la diversion et de la désinformation qui ne tient pas la route.
    Pour être reconnu par la communauté internationale et atteindre le statut d'État souverain, le Québec doit d'abord et avant tout faire une déclaration d'indépendance par rapport à l'État suzerain, c'est-à-dire l'ordre juridique supérieur, en l'occurrence le Canada.
    Il n'y a pas dans le cas du Québec de souveraineté possible sans une déclaration d'indépendance vis-à-vis le Canada.
    Tu veux encore nous passer la "chouveraineté mollasonne et ronronnante" du PQMarois à travers la gorge, mais on n'embarquera pas là-dedans.
    Cela fait 40 ans que les péquistes nous répètent comme l'ancien bloquiste Antoine Dubé que souveraineté = indépendance.
    Alors, messieurs, si souveraineté=indépendance pourquoi n'utilisez-vous jamais le mot indépendance?
    Je vais vous le dire, moi, pourquoi.
    Parce que vous êtes des hyper conservateurs, des gens qui pensent en termes de politique partisane professionnelle provinciale et que vous pensez que les péquistes ont plus de chances de se faire élire en utilisant le mot souveraineté plutôt qu'indépendance.
    La même chose est arrivée au Bloc avec le résultat que l'on connait.
    Le mot indépendance, est, dans le présent contexte, un mot de libération. De libération nationale mais aussi de libération psychologique pour la plupart des péquistes qui ont tellement peur du Canada qu'ils en font dans leur froc.
    Je vais arrêter ici car je sens la moutarde me monter au nez.
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    Moi aussi je prends ma carte de membre si ce parti «flush» la souveraineté pour l'indépendance!

  • Antoine Dubé Répondre

    21 février 2012

    Cher M.Julien,
    En politique tout est possible puisque c'est avant tout un monde de perception. Vous pouvez vous adhérer à ce que vous voulez, c'est votre droit.
    C'est un fait qu'un pays peut déclarer son indépendance mais pour se joindre aux Nations-Unis, il faut qu'il soit reconnu comme un état souverain par la majorité des pays-membres et ne pas être bloqué comme la Palestine par un pays qui détient un droit de véto.
    Bonne chance dans votre lutte pour faire disparaître le mot souveraineté dans le programme de l'Option Nationale même si , pour moi, les mots indépendance et souveraineté désignent essentiellement la même réalité. Je trouve plus rassembleur d'utiliser les deux.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    Bonsoir M. Julien,
    Justement, en temps que membre d'Option nationale, j'ai préparé la proposition ci-dessous que j'ai l'intention de présenter à M. Aussant et aux délégués présent lors du congrès de fondation de notre parti. Voici la proposition.
    QUESTION SÉMANTIQUE:"SOUVERAINETÉ" OU «INDÉPENDANCE»???
    M. Aussant, tout a commencé pour nous quand vous avez décidé de quitter le Parti Québécois, il y a déjà 6 mois et de former votre propre parti. Le Parti Québécois, que vous avez quitté veut réaliser la « SOUVERAINETÉ » du Québec, tout en demeurant un bon gouvernement provincial et de tenir un référendum au moment jugé approprié par eux. Donc, selon le PQ, , un pays dans la semaine des 4 jeudis et seulement si le vent souffle dans la bonne direction !
    Notre parti, Option nationale, doit se démarquer de ces 42 ans d’attentisme péquiste !
    Selon Me Pierre Cloutier et je cite « sur le plan sémantique, ce qui frappe c’est l’absence du mot « INDÉPENDANCE ». Le Parti Québécois ne veut pas « réaliser l’indépendance du Québec».Il a comme objectif de «réaliser la souveraineté du Québec.» (1) tout en demeurant un bon gouvernement provincial. (1)
    « Le mot « INDÉPENDANCE » selon Cloutier « est un terme beaucoup plus juste et plus exacte… C’est simple à comprendre. Si les souverainistes veulent se débarrasser de la peur qui tenaille bon nombre d’entre eux, la première chose à faire, sur le plan psychologique, est de se débarrasser du mot « souveraineté » de le renvoyer dans les poubelles de l’histoire et d’utiliser le bon mot, celui qui correspond le plus à la réalité des choses et qui a un sens beaucoup plus « libérateur » tant sur le plan psychologique que politique ». (2) pour les Québécoises et Québécois.
    Donc, en suivant la logique de Me Cloutier, je propose que notre parti, Option nationale, éradique complètement le mot « souveraineté » et qu’on le remplace par le mot « INDÉPENDANCE » dans tous documents officiels du parti, dans toutes interactions avec les médias par vous, notre chef et par nos futures 124 candidates et candidats qui présenteront au peuple québécois un projet de PAYS , claire et précis, aux prochaines élections.
    Il faut passer en mode offensive et parler « INDÉPENDANCE » du Québec ! Pouvons–nous votez sur cette proposition à ce moment , M. Aussant ?
    Guy Racicot
    Gatineau, Québec
    (1, 2, 3) Cloutier, Me Pierre , Indépendance : Le PQ a trahi ses mil

  • Jean-Charles Morin Répondre

    21 février 2012

    Il serait temps en effet de tordre le coup aux euphémismes péquistes. Le parler "politiquement correct" a fait son temps. Beaucoup de Québécois cesseront d'avoir peur d'un Québec indépendant le jour où ils constateront que ses partisans ont cessé d'avoir peur des mots et sont maintenant fiers des idées qu'ils défendent.

  • Jean-Pierre Bélisle Répondre

    21 février 2012

    J'appuie votre appel, Monsieur Julien.
    En juillet dernier, j'écrivais: "Ce 'souverainisme' qui donne la nausée - C’est l’indépendance que nous voulons!"
    http://www.vigile.net/Les-sacristains-les-bedeaux-et-les
    Oui, finissons-en avec la régression, les demi-mots et les restrictions mentales!

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    M. Julien,
    Comme vous, j’associe le mot souveraineté à échec. Je crois qu’il faut cependant résister à ce genre de symbole et aller au-delà des mots. Jadis, les fédéralistes tentaient d’associer le mot "séparatisse" aux nationalistes québécois afin de soutenir leur stratégie de la peur. Ils avaient réussi à nous déstabiliser. Les dirigeants et militants d’Option nationale sont suffisamment solides pour contrer ce genre de comportement à l’avenir. Je crois qu'il ne faut pas juger la valeur d’un parti politique, essentiellement, aux choix des mots mais bien à l’ensemble de sa démarche, de son programme et de ses représentants. J’espère que le congrès de cette fin de semaine saura vous convaincre qu’ON est incontestablement indépendantiste.

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    21 février 2012

    Indépendance et souveraineté : Même chose.
    L'indépendance désigne le moment de rupture d'un cadre constitutionel.
    La souveraineté, le statut d'un État (194 pays ont ce statut)
    L'indépendance de le cas présent désigne l'intensité d'une conviction. Laquelle ne garantie en rien les résultats; surtout quand elle mène au déni de la condition première qui mène au changement de statut d'un État: Bâtir le rapport de force favorable.
    La proposition politique de ON a pour conséquence de laisser notre État aux mains des prédateurs, histoire de leur permettre de finir la job de sape totale. Une manière de bâtir le fameux rapport de force selon certains.
    JCPomerleau

  • Pablo Lugo Herrera Répondre

    21 février 2012

    Excellent Denis. Si nous voulons avoir un pays, on doit parler d'indépendance. J'appelle les militants aussi à voter CONTRE une coalition avec les vendus péquistes!

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012


    « Je lance un appel solennel aux militants de l’Option nationale réunis en congrès, à réserver un enterrement de première classe au mot souveraineté afin de rompre définitivement avec la démarche péquiste, référendiste et perdante qui a conduit le mouvement nationaliste québécois dans une impasse totale, démotivante, et démobilisant les plus loyaux de ses supporteurs. Cela dure depuis 40 ans et cela doit cesser ! »
    Bravo ! Bon courage !
    Et bonne chance pour votre résolution !
    Michel Rolland

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    21 février 2012

    M. Julien, le mot indépendance devrait pourtant séduire tout le monde puisque c’est l’expression de la non-dépendance. Et le Canada nous le refuse autant qu’il le réclame pour lui-même sur sa frontière nord. Même Charest voudrait bien y associer son Plan nord en faisant miroiter un port en eau profonde à Kuujuarapik (Baie d’Hudson) même s’il se situe hors du passage du Nord-Ouest : « le passage du Nord-Ouest, est un des principaux enjeux géopolitiques des prochaines années. Un passage dont la propriété est contestée tant par les Européens que par les Américains. «Nous, Québécois et Canadiens, on a intérêt à s'en occuper», a fait valoir Jean Charest. »
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/336999/un-plan-nord-a-geometrie-variable
    http://www.pc.gc.ca/fra/progs/spm-whs/itm3/site8/page3.aspx
    Intéressant aussi, sur le site Parc Canada, la description du parc QUTTINIRPAAQ qui nous parle d’indépendance au nord, 4500 ans avant les Européens.
    http://www.pc.gc.ca/fra/progs/spm-whs/itm3/site8/page3.aspx
    Englobant les terres situées à l’extrême-nord du Canada, à 720 kilomètres seulement du Pôle nord, le Parc national du Canada Quttinirpaaq (37 775 km2) couvre la partie septentrionale de l’île d’Ellesmere. Quelques aires herbagères recouvertes de carex hautement productif subviennent aux besoins d’une diversité d’animaux sauvages de l’Arctique, dont le bœuf musqué, le lièvre arctique, le loup et une espèce menacée d’extinction, le caribou de Peary. Les principales vallées du parc sont un élément central de l’une des routes suivies par les premiers Autochtones qui passèrent de l’Arctique canadien au Groenland.
    Tous les groupes culturels pré-européens qui sont connus pour avoir occupé l’extrême Arctique canadien, dont les groupes de
    l’Indépendance I (de 4500 à 3000 ans avant aujourd’hui) et de
    l’Indépendance II (de 3000 à 2500 ans env. avant aujourd’hui), le peuple de la fin du
    Dorsétien (de 1300 à 800 env. avant aujourd’hui) et le peuple
    thulé (de 900 à 300 ans env. avant aujourd’hui), sont représentés par des sites archéologiques présents dans le parc.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    Ca y est les amis! C'est parti!
    Il nous faut regarder vers l'avenir et le mot souveraineté doit désormais faire partie du passé.
    VIVE L'INDÉPENDANCE DU QUÉBEC!

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    J'appuie sans réserve votre proposition, M. Julien.
    Il n'y a pas un peuple dans l'Histoire qui a déclaré sa souveraineté; on déclare l'INDÉPENDANCE et, par la suite, on défend sa souveraineté.
    -

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    Monsieur Julien
    Texte court mais allant à l'essentiel! Si ce parti se prononce carrément pour l'INDÉPENDANCE du Québec, à son prochain congrès, j'embarque et je signe ma carte de membre. Pour moi, la souveraineté c'est fini et je ne veux plus en entendre parler ! 44 années de perdues avec le PQ, c'est terminus!
    André Gignac 21/2/12

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2012

    J'acquiesce. Il faut appeler un chat un chat.