Andrée Ferretti - le peuple Québécois se prend lui-même comme référence
Actualité québécoise - vers une « insurrection électorale »?
Andrée Ferretti124 articles
"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille mod...
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"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille modeste, elle fut
l'une des premières femmes à adhérer au mouvement souverainiste québécois
en 1958.Vice-présidente du Rassemblement pour l'indépendance nationale, elle
représente la tendance la plus radicale du parti, privilégiant l'agitation sociale
au-dessus de la voie électorale. Démissionnaire du parti suite à une crise
interne, elle fonde le Front de libération populaire (FLP) en mars 1968.Pendant
les années 1970, elle publie plusieurs textes en faveur de l'indépendance dans
Le Devoir et Parti pris tout en poursuivant des études philosophiques. En 1979,
la Société Saint-Jean-Baptiste la désigne patriote de l'année.
Avec Gaston Miron, elle a notamment a écrit un recueil de textes sur
l'indépendance. Elle a aussi publié plusieurs romans chez VLB éditeur et la
maison d'édition Typo.
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4 commentaires
Archives de Vigile Répondre
6 août 2010Le discours de Mme Ferretti va à l'encontre du discours dominant chez les jeunes. Dire des choses aussi sensées que: "le peuple Québécois doit se prendre lui-même comme référence" est vu comme une posture ethnocentrique et xénophobe, quasiment "nazie".
Les jeunes sont éduqués dans l'idéologie postmoderne axée sur l'abolition des frontières nationales, l'immigrationnisme, le dénigrement des cultures nationales (occidentales) et l'exaltation des cultures étrangères (non occidentales). Tout l'Occident est englouti dans cette idéologie hystérique et suicidaire promue chez nous par Bouchard-Taylor et cie.
Le Parti québécois en est traversé et ne réalise pas à quel point, ce faisant, il se tire dans le pied.
Archives de Vigile Répondre
1 août 2010Dans l'horizon ténébreux du Québec d'aujourd'hui qui est dominé par les soumis inconditionnels, Madame Ferretti est le phare qui n'a cessé de briller d'un éclat puissant depuis 50 ans, nous rappelant sans cesse la voie de la dignité et de la responsabilité nationale.
Espérons que la jeune génération entendra ce message clair qui indique « les chemins de l'avenir » où le courage, la solidarité, la responsabilité et l'indépendance nationale sont de véritables valeurs à défendre sans compromis.
Soyons unis Québécois !
Michel Laurence Répondre
1 août 2010J’ai récemment publié, ici dans Vigile, « Pour se battre, il faut être debout ! »
http://www.vigile.net/Pour-se-battre-il-faut-etre-debout
Je travaille depuis plus d’un an à ressusciter le R.I.N, justement pour canaliser cette belle énergie des Québécois, au moins des 2 308 360 qui ont voté OUI en 1995.
Le Rassemblement pour l’indépendance nationale (R.I.N.) est un mouvement citoyen. Le R.I.N. n’est pas un parti politique. Le R.I.N. ne se transformera pas en parti politique. La mission du R.I.N. est de rassembler les indépendantistes de la société civile québécoise pour travailler à l’indépendance du Québec. Un mouvement citoyen assez puissant pour forcer n’importe quel gouvernement de l’Assemblée nationale à engager un processus menant à l’avènement du pays du Québec: un pays démocratique, pacifique, laïque, écologique, un pays qui reconnait l’égalité entre les femmes et les hommes, un pays dont la seule langue officielle sera le français, un pays libre de ses choix politiques, économiques, juridiques et sociaux, libre de ses alliances et pleinement maître de son destin.
http://bit.ly/99MMPL
Je terminerai par une citation de Pierre Bourgault : « On aurait tort de vouloir réduire un désir naturel de liberté à une simple réaction de ressentiment. »
Archives de Vigile Répondre
1 août 2010J'aurais beaucoup aimé, entendre madame Ferretti...