Adieu Québec ?

L’équipe libérale gouverne en dépit du bon sens et les rues sont vides de Québécois en colère.

Indépendance - le peuple québécois s'approche toujours davantage du but!

Mon pays ce n’est pas un pays... et ce ne le sera jamais. Les Québécois l’ont abandonné aux mains des Canadiens.
Les souverainistes ont parti le bal en se faisant plus Canadiens que les Canadiens, en s’ouvrant sur les autres pour se fermer sur tout ce qui est québécois. Le Québec n’est pas plus laïc qu’il n’est français. Il est géré comme la Caisse de dépôt et de placement, c’est-à-dire sans discernement et, par des Anglais. Est-ce le fruit d’une incompétence crasse ou d’une destruction programmée ? Toujours est-il que le Québec est en passe de devenir une république de bananes, sans république, sans bananes...
Des chantiers sont lancés au prix fort tandis que les ressources sont cédées aux moins offrants. Les dépenses de l’État augmentent avec l’immigration et le vieillissement de la population. Pas grave. Il n’y a qu’à couper dans la francisation, les programmes sociaux, la santé, la culture, l’éducation. L’équipe libérale gouverne en dépit du bon sens et les rues sont vides de Québécois en colère.
L’avenir québécois s’annonce anglais et endetté jusqu’à l’os. Le chômage et la pauvreté vont entraîner une hausse notable de la criminalité. Les moyens pour la combattre seront plus qu’insuffisants. Les listes d’attente en soins de santé vont aller en s’étirant. Qu’importe, la privatisation enlèvera une épine dans le pied des riches. Les Québécois deviendront minoritaires et ridicules avec leur parler désuet. Bof ! Ils n’en seront que plus nombreux à se prendre pour des Anglais.
Un pays qui se refuse à naître, c’est triste. Un peuple qui disparaît davantage chaque jour au profit d’un autre l’est tout autant. Tout le monde en porte la responsabilité. Les politiciens qui trahissent la population en lui faisant croire que l’indépendance du Québec est au cœur de leurs préoccupations, la population qui se laisse manger la laine sur le dos, les Québécois qui se battent aux côtés de ceux qui nous méprisent et qui ne s’en cachent même pas.
***
Moi, je dis que le Québec est un pays. Et je le dis haut et fort. Et je le répéterai tant et plus. Je refuse cette identité canadienne qui n’est pas la mienne. Je suis Québécoise pure laine. Je le suis dans ma langue, dans mon écriture, dans mon sang latin, dans ma tête, dans mon cœur. Je refuse ce passeport qui fait de moi une anglo-saxonne, alliée inconditionnelle d’Israël et des pétrolières; une guerrière. Je veux pouvoir avoir mes opinions et pouvoir les défendre. Le Canada n’a pas à parler en mon nom ni à dépenser mon argent. Je lui dis non et non.
Un pays, une langue officielle, des langues autochtones, des ressources naturelles, des projets novateurs, un siège à l’ONU, à l’UNESCO… il faut le vouloir et y croire. Il faut le dire, le répéter, refuser de jouer le jeu canadien, cette souricière. Assez de discussions ! Soyons maîtres chez nous !
http://www.youtube.com/watch?v=3YEUcD-dUUY
http://www.youtube.com/watch?v=SAWF2668jss

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Caroline Moreno476 articles

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Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
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Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
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17 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    25 novembre 2011

    @ JFlQ,
    "est-ce que les esclaves noirs, aux États-Unis, étaient bien traités ? "
    Vous avez parfaitement raison! Et à un moindre degré, les Louisianais... Les assimilés seront tout autant méprisés (ce qu'ignorent les béniouioui) et ils serviront de porte-valise à leurs maîtres qui auront repris en main les affaires: enrichissement de l'État pour revitalisation des villes pour meilleur commerce et renouveau des industries. Ce territoire déborde de richesses et c'est pourquoi le Canada refuse de le céder. Quand il aura fini de lui couper les ailes pour discréditer les vaincus qui tentent encore de se relever, il le fera reluire comme sou neuf, canadian.
    C'est cette face cachée de Harper que devra montrer la coalition de tous les indépendantistes réveillés.

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    24 novembre 2011

    @ O:
    «Il y a là contradiction car, quand le Québec sera anglais, il ne sera plus endetté...».
    Vous croyez, O ?
    Nous étions, avant la Révolution tranquille, les «White niggers of America», ou enfin, on nous appellait parfois ainsi. Mais la comparaison est intéressante...
    Une fois anglicisés, minoritaires, incapables de faire l'indépendance, vous croyez que nos oppresseurs vont subitement nous considérer comme leurs égaux et leurs amis?
    Le Canada anglophone, veut que nous redevenions les Nègres blancs d'Amérique. Une nation québécoise forte, émancipée, bien française, c'est le cauchemar du Canada!
    Une réflexion, comme ça: est-ce que les esclaves noirs, aux États-Unis, étaient bien traités? Leurs maîtres de l'époque leur avaient enseigné à parler anglais, comme eux, pourtant...?

  • Archives de Vigile Répondre

    24 novembre 2011

    Salutation citoyennes et citoyens,
    Madame Moreno, vos propos sont toujours aussi pertinents et percutants. Et il revient à chacun(e) de verbaliser son mécontentement au sujet de la situation actuelle au Québec.
    "...les rues sont vides de Québécois en colère...". Et bien, actuellement le Mouvement Montréal Français se démène ! Le 1ier décembre prochain, il y aura une 4ième sortie des drapeaux. Et cette fois-ci, ce sera pour dénoncer ce qui se passe à la Caisse de Dépôt ! Le bilinguisme institutionnel se répand-t-il ?
    Gilles Brassard

  • Archives de Vigile Répondre

    24 novembre 2011

    Madame Moreno,
    Merci d'avoir partagé vos propos avec nous lecteur
    de ce site tellement essentiel pour notre survit.
    Rncourageant, motivant et qui nous donne le goût
    de poursuivre notre combat.
    Edgarson de Sherbrooke

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Tout se met en place, Harper travaille plus que le Bloc à Ottawa, il creuse ce fossé... Le Canada s'éloigne progressivement du Québec. Restons aux aguets, soyons patients, l'heure est proche, très proche... ce réveil nationaliste arrive et se prépare... Vous verrez !
    Ne pas désespérer svp et ne pas céder au jeu des fédéralistes, demain sera le nôtre.!
    M. Dion
    Charlevoix

  • Antoine Dubé Répondre

    23 novembre 2011

    Madame Moreno,
    Je comprends très bien votre découragement devant ce qui déroule actuellement au Québec mais dites-vous que tout contexte politique suit un cycle et même plusieurs cycles à la fois.
    Je suis persuadé que le mouvement souverainiste n'est pas mort et qu'il vivra des jours meilleurs. Je sens d'ailleurs poindre une lumière au bout du tunnel pour la prise de conscience populaire sur le déclin du français et que certains indices de renaissance commence à apparaître comme le ras-de-bol contre la conception du gouvernement actuel au fédéral de la justice.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Pour reprendre en partie ce que je viens d'écrire dans un autre commentaire: Souhaitons seulement que les manoeuvres des deux sous-fifres étasuniens, Harper et Charest, éveillent maintenant la conscience nationale Québécoise.
    Je dois ajouter: éveillent aussi le devoir de militer pour l'indépendance du Québec qui ne se fera qu'en remplissant aussi cette condition. On peut militer simplement en se tenant debout et en refusant de se compromettre à l'anglicisation, d'une part.
    D'autre part, le Parti Indépendantiste, ses militantes et militants pensent exactement comme vous Madame Moreno. Son programme est sans conteste indépendantiste et sans compromis. Nous voulons le Pays du Québec français et indépendant du canada.
    Le P.I. est bien vivant et accueille les personnes qui ont votre conscience et votre désir de liberté pour Nous.
    Cela dit, vos textes soulèvent le sentiment patriotique, tout aussi important.
    Continuez de Nous en offrir.
    [Réjean Pelletier]

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Court extrait: "L’avenir québécois s’annonce anglais et endetté jusqu’à l’os."
    Il y a là contradiction car, quand le Québec sera anglais, il ne sera plus endetté... Là est la ruse: étouffer Montréal sous ses infrastructures, démoraliser la population par la terreur des ponts et viaducts, leurrer la jeunesse dans la culture "on est rendus ailleurs", endetter et vider le territoire de tous ses avoirs... c'est la victoire de Durham: le français s'estompe enfin dans l'anglais. C'est alors que le Reform Party de Harper s'étend sur le territoire pour le remettre en valeur, enfin canadianisé.
    Caroline, vous, vous vivrez the nice dream of one wealthy country, one language!

  • Guillaume Labelle Répondre

    23 novembre 2011

    "La prochaine fois, c'est maintenant."
    L'élection de Bonaventure, espérons-le, passera à l'histoire. Soyons patient. :)

  • Yves Rancourt Répondre

    23 novembre 2011

    Madame Moreno,
    Moi ce qui me choque par dessus tout, c'est qu'alors que nous avons la force du nombre( nous sommes encore 80% de francophones dans ce pays du Québec) et que nous pourrions à la prochaine occasion reprendre le contrôle de notre État et la route de notre libération nationale, nous nous tirons dessus à qui mieux mieux, entre autres sur ce site. Moi, mon désespoir il est d'abord là, madame; nous avons le moyen de contrôler notre avenir mais nous nous refusons de le faire. Ce ne sont pas les Anglais qui nous auront eu, c'est notre refus d'agir de façon solidaire qui nous aura fermer la porte de la liberté .
    Mes salutations respectueuses.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Dans l'ère actuelle de capitalisme néo-libéral mondialiste, même la souveraineté des peuples est à vendre au nom d'un développement économique temporaire mais à crédit. C'est particulièrement observable dans la bien nommée zone dite «euro» et non plus Europe.
    Le Québec n'échappe pas au modèle économique dominant, avec Charest le vendeur à escompte. L'éolien québécois appartient principalement aux Français, à qui notre Vandal national a consenti quelque chose comme 9 ou 12 cents du kw pour 25 ans, pendant qu'Hydro vend son énergie entre 4,5 et 6 cents. C'est l'ensemble des Québécois qui paieront pour le saupoudrage de retombées dans le Québec rural.
    Les gaz de schiste sont surtout le fait d'entreprises de l'Ouest canadia à qui le territoire a été cédé à 10 cents l'hectare. L'étude stratégique des pots à casser sera payée par l'ensemble des Québécois, qui paieront aussi le saupoudrage de retombées dans le Québec rural.
    Le Plan nord, c'est le même modèle, notamment pour La Romaine qui produira une énergie à 10 cents pour l'aluminerie Alouette à 4,5 cents.
    Pour l'heure, ça brasse en certains pays européen, mais pas au Québec. Les Québécois penseront probablement à descendre dans la rue quand ça commencera à faire mal, en 2014, quand les tarifs d'électricité bondiront.
    Mais ne parlons pas de ça. Parlons plutôt d'économie, comme Charest, Legault, la Chambre de commerce, le Conseil du patronat, Desjardins (Pop), etc.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Madame Caroline Moreno,
    J'ai eu envie de vous copier ce texte de 1895,signé Paul Bourget -Sensations de Nouvelle-France-.
    Ah! ma pauvre France chérie, la vois-tu bien là, maintenant, ton erreur, et sais-tu pourquoi ton oeuvre d'Amérique devait fatalement péricliter, puis se fondre et s'évanouir devant le colosse anglo-saxon? A quoi songeais-tu donc quand, pour coloniser ce pays, tu croyais qu'il était avant tout nécessaire d'ouvrir de pauvres âmes de sauvages à l'infini de ta foi, et de lancer, dans de sublimes et folles équipées, tes missionnaires, tes soldats, tes coureurs des bois, dans les profondeurs de cet immense continent. Il t'eût pourtant été si facile de te tasser, te concentrer dans ton coin, et là, estimant que charité bien ordonnée commence par soi-même, de surveiller tranquillement, toi aussi, ton pot-au-feu. Qui sait, tu serais peut-être devenue, à ton tour, ce que l'on est convenu d'appeler une personne pratique, c'est-à-dire serrant de près ses intérêts, et ramenant tout à un égoïsme froid et calculé, à un mercantilisme d'où la part d'idéal est sévèrement bannie.
    Mais vois donc, en effet, la leçon de l'histoire. Tandis que, du septentrion au midi, des rivages glacés du Labrador jusqu'aux flots bleus du Golfe du Mexique; et du levant au couchant,depuis les premiers contreforts des Alleghenies jusqu'aux Montagnes Rocheuses; tandis que, dis-je, dans toute cette infinie région, il n'y avait que toi qui vivais, qui palpitais, qui semblais immuable, presque éternelle, tes ennemis peu nombreux ne possédaient, eux, qu'une étroite lisière de terre faisant face à l'Atlantique. Tu ne t'en souciais guère, estimant leur existence bien précaire, confiante dans la puissance de tes armes et dans la valeur de tes troupes; montrant pour toute réponse, aux timorés, tes drapeaux solidement cloués aux hampes de tes bastions,et qui claquaient fièrement, orgueilleusement, à toutes les brises. Et pourtant, et tu le vois bien maintenant, il te manquait alors ce qui faisait leur force à eux: tu n'avais pas le "sens pratique."
    Deux mots dont on abuse, je le veux bien; quelque chose de très vulgaire, de très mesquin aussi, j'en ai bien peur, mais qui doit être par contre bien utile, voire nécessaire, puisque c'est cela même qui aujourd'hui est en train de révolutionner le monde. La soupe, vois-tu, la soupe des Puritains accroupis sur ce rivage de Plymouth, c'était là l'important. dans le temps. Et faute de cela, pour t'être tenue le ventre creux et la cervelle farcie de vaines glorioles, la marée montante de tes ennemis, soudain, a fondu sur toi au dépourvu, puis t'a submergé, ne laissant plus debout, de ton antique puissance,que ce groupe de Canadiens-Français de la Province de Québec.
    Chère et belle France, tu sais que je nargue, n'est-ce pas ? Oh! va, comme je t'aime et t'en admire davantage d'être restée, dans ce Nouveau-Monde, ainsi fidèle à l'atavisme qui te veut fière, désintéressée, même irréfléchie, et d'être tombée, il est vrai, mais du moins avec les honneurs de la guerre, c'est-à-dire en te gardant "toi-même" jusqu'au bout.
    Alors, il nous manque encore ce sens pratique ? On patauge dans la marre ? On rêve ? On s'en fout? 40,000,000,000 dilapider par des mesquins et des vulgaires et on dit entre nous :"Voyons donc ! Ça ne se peut pas." On arrive pas à compter jusque là ? C'est trop ? Nous sommes des incapables? Nous recevons à TLMEP des immigrés qui viennent nous dire que l'on doit sortir du Québec ? Marde ! On reçoit un Legogo et des hommes d'affaires qui puent le fédéralisme des oligarques. Deux fois marde !
    1895-2011.
    Quelqu'un s'est levé aujourd'hui, en vue des prochaines élections, pour dire :"Nous faisons le pays maintenant".

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Madame Moreno,
    moi aussi, comme vous, j'enrage de voir les moutons québécois se laisser manger la laine sur le dos! Mais il ne faut pas commettre l'erreur d'abandonner le combat.En toute occasion dénoncer le Cacanada, cette merde idéologique,anglosaxonne et monarchique, cette camisole de force qui nous brime et nous infantilise. S'il n'y a pas d'élection ce printemps pourquoi pas une campagne de promotion de l'Option-Québec à partir de la St-Jean et qui culminerait par un immense Happening de crevage de ballons à l'effigie de la reine d'Angleterre et autres symboles monarchiques. S'amuser à peter la baloune du Cacanada monarchique le premier juillet!Il ne faut pas minimiser la puissance des gestes symboliques pour nourrir l'imagination et la détermination. Personnellement je sortirais de ma campagne pour participer à un tel événement qui je l'espère se déroulerait sur les lieux mêmes du frauduleux "love in" de 1995.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    "par des Anglais"...
    Des vrais Anglais, descendants des îles britanniques, il y en a de moins en moins au Québec... disons plutôt par des immigrants anglicisés... et qui pensent que parce que le fédéral ramène les symboles monarchiques, ils sont devenus ethniquement britanniques.
    Mais les Québécois de souche sont eux aussi de plus en plus nombreux à désirer envoyer leurs enfants à l'école anglaise. S'ils perdent le français, ils n'auront qu'eux à blâmer.
    Mais je peux comprendre l'attrait de l'anglais. Ce n'est pas seulement au niveau de la langue. Il y a une réalité que personne n'ose mentionner dans le "politically correct". C'est le fait que les individus originaires des îles britanniques constituent la population qui a le mieux conservé les traits physiques de la race blanche très blanche, c'est à dire la race nordique, probablement à cause du naguère isolement des îles britanniques du continent européen.
    J'ai l'impression que cette caractéristique a toujours suscité l'envie parmi les autres peuples de la terre et, du même coup, une certaine convoitise d'accaparer ce qui est "britannique" à son compte...

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Madame Moreno, j'endosse vos propos. «MAÎTRES CHEZ NOUS», quel beau slogan pour un parti qui se voudrait résolument indépendantiste; même s'il a déjà été utilisé par les libéraux de Jean Lesage dans les années soixante... Il démontrerait à l'évidence que nous ne le sommes pas encore, et que le seul et unique moyen d'y parvenir c'est de se donner un pays!
    Vive le Québec libre!
    Jacques L. (Trois-Rivières)

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Ne lâchez pas Caroline, vos paroles nous habitent et stimulent en nous notre étoffe de guerrier prêt à se battre à vos cotés. Bravo
    Daniel Dupuis

  • Archives de Vigile Répondre

    23 novembre 2011

    Je vous ramène à une réflexion plus vaste...
    "Ainsi, au-delà de doutes raisonnables et d’évolutions normales d’une société, agir avec conviction et foi – c’est de la foi que l’on peut entrer dans l’espérance, non du doute- sur l’essentiel. La force d’une société s’observe et se construit à la fois par sa manière utile de répondre aux obstacles et aux situations de problèmes et par la solidarité qu’elle développe au fur et à mesure qu’elle résout ou atténue ces situations de problèmes. Ainsi se bâtirent les grandes Nations: c’est l’histoire des États-Unis, et sa déchéance serait déjà annoncée dès maintenant, peut-on supputer- par ses discordes présentes sur des problèmes qu’ils avaient réussi à surmonter auparavant dans leur histoire ... "
    et aussi à ce déjà fut dit de la cohésion et de la résilience: http://www.vigile.net/Sur-le-theme-de-la-cohesion ; http://www.vigile.net/Resilience-et-conscience-nationale