Signer la constitution de 1982 - la subordination dans l'effondrement national

Réplique à Benoît Pelletier

Le légalisme constitutionnel ennuyeux



Je ne sais pas si monsieur [Benoît Pelletier, qui écrivait dans Le Devoir du 14 octobre dernier,->22527] a réellement lu les sept parties du rapport du Groupe Avenir Québec intitulé Pour un avenir plein de promesses, document que j'ai présenté récemment. Nous sommes en droit de nous poser cette question, car il aurait dû à sa lecture constater que le rapport ne se veut pas une thèse de maîtrise ou de doctorat, ou u...

DANS MA MIRE

Avenir Québec démissionne et rampe à deux genoux

Jamais rien lu d'aussi rétrograde, d'aussi à-plat-ventriste depuis fort longtemps.


Au moment où Gilles Taillon prenait la tête de l'ADQ (Action démocratique du Québec avec deux voix de plus que son adversaire Éric Caire , le père spirituel fondateur de ce parti qui se voulait ultra nationaliste de droite, M. Jean Alaire effectuait un virage à 180 degrés au sujet de l'historique résistance québécoise face aux visées exterminatrices et multiculturelles des néo-colonialistes canadian. En l...

La paille et la poutre



M. Pelletier ne manque pas de culot: s'il y a un gouvernement dans l'histoire du Québec moderne qui n'a jamais osé évoquer l'ombre de la possibilité que le Québec puisse éventuellement en avoir assez d'être l'éternel dindon de la farce, c'est bien celui dont il a fait partie. D'ailleurs, un fédéralisme un peu moins inconditionnel lui aurait peut-être facilité la tâche au cours des dernières années.

Réponse à Me Jean ALLAIRE

Vers une "démission" nationale



En conclusion, je crois que vous abandonnez trop facilement un pouvoir de négociation dans les mains du Québec, celui de tenir un autre référendum sur la sécession du Québec. Plusieurs pays dans le monde, dont la Suisse, utilise ce procédé démocratique éprouvé. Et de plus, historiquement, je constate que les référendums de 1980 et de 1995 sont des repères majeurs qui unissent les esprits des Québécois et des “Canadians” comme par magie.

Vers une réconciliation nationale, mais à quel prix?



j'aime mieux présenter le Canada comme la meilleure option pour le Québec plutôt que de faire comme les membres du Groupe Avenir Québec et de présenter ce pays comme la seule option. Cela est, me semble-t-il, plus respectueux du droit des Québécois de choisir librement et collectivement leur destin.

Les chiens battus



À la lecture du document de M. Allaire et de ses amis, on est frappé par sa similitude avec le rapport que le comité présidé par Benoît Pelletier avait présenté en octobre 2001: mêmes demandes, même constat que «le fruit n'est pas mûr», même refus de fixer un échéancier, même recours à l'expédient des ententes administratives.

Les nouvelles réflexions de Jean Allaire

Le Groupe avenir Québec suggère de remplacer le ministère de la Santé par une société d'État


Alec Castonguay - Le Québec fait du surplace. Et cet immobilisme appauvrissant n'est plus tolérable. La province doit se secouer. Pour y arriver il faut des idées nouvelles, quitte à mener des débats sur fond de controverses. Aux grands maux, les grands remèdes. C'est le constat fait par un nouveau groupe de réflexion mené par Jean Allaire. Les collaborateurs de Groupe avenir Québec ont rendu public...

Signer la Constitution: la nouvelle méthode Allaire



Dans un rapport intitulé Pour un Québec plein de promesses, Jean Allaire revoit les conditions en vertu desquelles le Québec devrait, selon lui, adhérer formellement à la Constitution de 1982. Ce chapitre se veut une mise à jour du rapport produit sous sa direction sur le même sujet au lendemain de...

Jean Allaire propose de signer la Constitution



Le Québec doit tourner la page sur les crises constitutionnelles, signer la Constitution canadienne et revoir en profondeur le fonctionnement de sa société et de son économie pour assurer son avenir.

En attendant le livre de M. Parizeau en novembre

"Pour un Québec plein de promesses"

Le message du GROUPE AVENIR QUÉBEC


Le Québec doit tourner la page sur les crises constitutionnelles, signer la Constitution canadienne et revoir en profondeur le fonctionnement de sa société et de son économie pour assurer son avenir. C'est le message du 8 octobre 2009 du groupe de réflexion dirig...