Québec 2007 - Après un OUI - Charest et la partition

Intégrité territoriale et droits des nations autochtones

Charest et son lapsus partitionniste



Le mardi 6 mars, Jean Charest déclarait dans une entrevue que le Québec serait divisible après un OUI à la souveraineté dans un référendum. En soirée, il publiait en catastrophe un communiqué où il soutenait avoir commis un « lapsus » et où il réitérait que le territoire du Québec est indivisible. Les jours suivants, il soulevait de nouveau le danger de la partition du Québec suite à la souveraineté. Face aux mena...

The truth behind the 'P' word



Why on earth would Jean Charest bring up the subject of partition? Charest was leading in the polls when he decided to inject a note of reality into the election campaign. Big mistake. Obviously, territorial borders would be up for discussion in the event that Quebec were to declare independence with close to half of its own population dead set against the idea. The Supreme Court suggested that one would h...

Dure est la vérité



Dans ces élections où se profile un référendum, qu'on le nie ou pas, la victoire appartient à celui qui rassurera davantage qu'il fera peur. Cette vérité impopulaire est dure à entendre mais elle est incontournable.

Rien de sûr

"Il serait imprudent de considérer que l'intégrité territoriale du Québec serait garantie par le droit international"


De nombreux acteurs du débat politique ont soutenu au cours des derniers jours que l'intégrité du territoire québécois dans l'éventualité de l'accession du Québec à la souveraineté est garantie par le droit international et par la Constitution canadienne. Ce n'est pourtant pas l'avis du juriste José Woehrling, à qui le gouvernement de Bernard Landry avait demandé, en 2002, de mettre à jour l'étude qu'il avait fait...

Lunettes roses et lunettes noires



Sommes-nous en campagne électorale ou en campagne référendaire? La réponse s'impose d'elle-même. Le principal enjeu du prochain scrutin est l'élection d'un gouvernement dont les Québécois voudraient qu'il soit le meilleur possible. Néanmoins, on ne peut pas éviter que soit abordée la question de l'avenir politique du Québec, ce qu'on a fait abondamment ces derniers jours. Qu'il en soit ainsi ne devrait surprendre...

Partition

Stéphane Dion reste évasif



En 1995, Stéphane Dion avait déclaré que « la règle de base est que si le Canada est divisible, le Québec est divisible aussi ».

Le Québec n'est pas divisible

Deux profs de droit réfutent la thèse de la partition


Cliche, Jean-François - Avec ou sans lapsus, la partition d'un éventuel Québec indépendant ne trouverait de fondement ni dans la Constitution canadienne, ni dans le droit international, ont affirmé hier au Soleil deux professeurs de la faculté de droit de l'Université Laval. Le premier ministre Jean Charest a rallumé ce débat mardi en affirmant que la question du morcellement du territoire québécois se poserait ...

Votez libéral et évitez la partition

Du fédéralisme de chantage, clame Boisclair - Charest n'est pas capable de gouverner le Québec, dit Dumont


Après avoir commis son «lapsus» mardi au sujet de la partition du Québec advenant une victoire du OUI, le chef libéral, Jean Charest, a refusé hier de s'engager, quoi qu'il advienne, à se porter à la défense de l'intégrité du territoire québécois. En fait, il a évité de répondre à la question, même si elle lui a été posée plusieurs fois en matinée et en après-midi, au massif de la Petite-Rivière-Saint-François et ...

ANALYSE

Charest et la partition: la leçon oubliée



Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. C'est encore plus vrai en politique et Jean Charest l'a appris à ses dépens depuis deux jours. Encore hier, il a tenté de clore un débat qu'il avait lui-même lancé, en déclarant «ne pas croire que le Québec serait indivisible», au lendemain d'une victoire souverainiste au référendum. Sa volte-face quelques heures plus tard, en soirée mardi, n'a pas suffi à corriger le t...

Of course partition is possible



Are you enjoying the referendum campaign so far? The answer, for most Gazette readers and for that matter for most Quebecers, will surely be a resounding "no." The big issue is once again eclipsing all the other issues Quebecers really care about, and Tuesday was a good example. First it was Andre Boisclair promising to work, as premier, to ask Canada's allies and friends in the world to help him break up t...

Les Premières Nations sont incontournables



Une large proportion de la population québécoise l'ignore: les droits et titres des Premières Nations sur un vaste territoire québécois n'ont jamais été éteints ou cédés. S'appuyant peut-être sur cette méconnaissance, les gouvernements du Québec ont trop souvent agi comme si ces droits n'existaient pas, voire comme si les Premières Nations n'existaient pas. Cela doit changer; cela va changer. En effet, à l'aven...

It's Boisclair. No, it's Dumont. No, it's Charest. No, it's ...



The Quebec election campaign has so far unfolded as a dramatic personal tragedy for the tall, handsome, usually broadly smiling André Boisclair. The 40-year-old leader of the Parti Québécois carries in his person not just the darkening fortunes of his party, but also the dream of Quebec's independence. And so the PQ members have been extraordinarily demanding of their leaders since the party was founded by R...

Harper's nation resolution opened the partition can of worms

Clarity Act, demergers comfort federalists who would want to separate from Quebec


Liberal leader Jean Charest has set off a furor with his off-the-cuff remark that "I don't believe Quebec would be indivisible" in the event of a Yes vote on sovereignty. Parti Quebecois leader Andre Boisclair deplored his lack of judgment. And Action democratique du Quebec leader Mario Dumont huffed: "If that's what he really thinks, he's not qualified to lead Quebec." Whatever this particular premier thinks o...

Use of 'p-word' sends Quebec into uproar

Talk of partitioned province evokes 10-year-old debate


The Quebec election campaign seems to have lurched into a time warp over the past two days, with leaders for the three major parties, in a flashback to 1995, arguing over the spectre of partition. A day after Quebec Premier Jean Charest referenced the long dormant idea of splitting up Quebec if Quebecers one day vote to split from Canada, the province is now wrestling with its old demons. Christi...

Fuel for separatists

Par Neil WAUGH


Right on, Rick George. Beauty, Ed Stelmach. Way to go, Monte Solberg. Because the Suncor president, Alberta’s rookie premier and Stephen Harper’s human resources minister may have just made the province’s out-of-control oilsands boom a key topic of conversation in the Quebec election. A vote, it should be pointed out, in which the breakup of Canada is again the No. 1 item on the agenda. ...

Charest refuse de s'engager à défendre l'intégrité du Québec



Martin Ouellet - Jean Charest a beau affirmer que le Québec est «indivisible», il a refusé aujourd'hui de s'engager à défendre l'intégrité du territoire québécois advenant une victoire référendaire souverainiste. La meilleure façon d'éviter le débat sur la partition est de voter pour le Parti libéral du Québec (PLQ) à l'élection du 26 mars, a répété à plusieurs reprises M. Charest à un reporter qui lui dema...

La déclaration de Charest n’était pas un lapsus



Fausse note, confusion, lapsus que cette déclaration de Jean Charest à l’effet que «le Québec ne serait pas indivisible » dans l’hypothèse d’une victoire référendaire des souverainistes ? Il faut s’appeler Michel C. Auger pour se laisser berner par une telle manoeuvre. Bien sûr, Jean Charest le premier ministre a par la suite contredit ce que Jean Charest du Comité du Non avait affirmé en 1995, mais le message était...

La Blatte de GESCA en a sorti une meilleure... <a href="http://www.vigile.net/ds-souv/partition.html">Lisez !</a> (Vigile)

M. Boisclair en sort une bonne



En point de presse ce matin, le chef du Parti québécois, André Boisclair, en a sorti une bien bonne. Interrogé sur l’intégrité territoriale du Québec au lendemain d’un OUI à un référendum sur la souveraineté, M. Boisclair a soutenu que le terriroire québécois était protégé «par le droit constitutionnel canadien et par le droit international». Comment un chef souverainiste, i.e. qui veut sortir le Québec du cadre c...

Québec

Charest brandit le spectre de la partition



Hugo de Grandpré et Tommy Chouinard - Un référendum gagnant entraînerait le Québec dans un «trou noir» et pourrait mener à sa partition, a affirmé le premier ministre Jean Charest, hier. Cette déclaration fracassante, démentie trois heures plus tard, a ramené en force la question nationale dans la campagne électorale. «Je ne crois pas que le Québec serait indivisible, mais vous savez quoi ? Je ne pense pas que ...

Charest agite le spectre de la partition

Le chef libéral soutient avoir commis un lapsus


Jean Charest menait campagne hier à Deux-Montagnes, où il a déclaré que le Québec n'était pas indivisible. Il a plus tard déclaré qu'il avait commis un lapsus. Jean Charest a affirmé hier en anglais: «Je ne crois pas que le Québ...

Quel «lapsus» ?!

Jean Charest prouve aux Québécois qu’il n’est pas avec eux et se rangera dans le camp canadien


On savait que celui qui courtise présentement l’électorat pour obtenir un second mandat à la tête du Québec aurait préféré faire de la politique ailleurs. Le chef du Parti libéral a effectivement quitté la direction du Parti conservateur du Canada à regret, en 1998. Sa dénonciation, à l’automne 1996, du projet de Jean Chrétien de questionner la Cour suprême au sujet du droit unilatéral du Québec de déclarer l’indép...

Quebec, too, may be divisible

Premier Charest's Past back to haunt him; But his office was quick to issue a denial


Premier Jean Charest found himself in damage-control mode yesterday after he evoked the possibility of the partition of Quebec in the event of a Yes vote on sovereignty. "I don't believe Quebec would be indivisible," Charest told reporters as he campaigned north of Montreal. Three hours later, Charest's office issued a statement saying the premier had misspoken when he said he didn't believe Quebec could not be div...

Le spectre



Il y a des choses dont on ne peut pas parler au Québec, des mots qu’on ne peut pas prononcer. Ainsi, les Québécois jonglent depuis 30 ans avec l’idée de se séparer du Canada. Mais il est hors de question d’évoquer quelque conséquence négative possible d’une telle décision! Les souverainistes peuvent dire que le taux de natalité augmenterait dans un Québec souverain, que la Gaspésie serait tout à coup plus prospè...

Jean Charest s'est trahi...



Plus le temps passe, plus Jean Charest déçoit. Quand il n'est pas mesquin pour ses adversaires, ou méprisant pour les 45 % de Québécois qui croient encore à la souveraineté, il est carrément arrogant comme un militant du Parti libéral du Canada! S'il continue, il ne sera bientôt plus d'aucune utilité pour Stephen Harper...

Le récupérateur de GESCA... (Vigile)

Un lapsus. Heureusement!



Mais qu’est ce qui a pu passer par la tête de Jean Charest, le politicien, pour qu’il oublie, ne serait ce que deux secondes, qu’il était aussi le Premier ministre du Québec? Même le temps d’un lapsus. Parce que, pour le Premier ministre du Québec, évoquer le spectre de la partition du Québec, même en évoquant un projet politique qu’il combat, ce serait d’une irresponsabilité incroyable. Un manque on ne peut plus ...

Un homme d'État indigne : Jean Charest



Jean Charest nous fait encore une fois la démonstration qu'il est indigne de la fonction qu'il occupe. Cet individu occupe la fonction de Premier ministre d'une nation. Il se gargarise de la reconnaissance du Québec comme nation par Harper - un juste retour des choses après les années du déni trudeauiste. Seulement la reconnaissance de Harper le machiavélique n'était pas exempte de fourberie - à condition qu'on n'y pre...

PLQ

Le débat sur la partition s'enflamme



De passage à Deux-Montagnes, au nord de Montréal, pour présenter les intentions de son parti en matière de développement durable, le chef libéral Jean Charest a suscité un orageux débat en évoquant le risque d'une partition du territoire québécois dans l'hypothèse d'une victoire référendaire des souverainistes. « Je ne crois pas que le Québec serait indivisible », a laissé tomber M. Charest, en réponse à la quest...