Les Américains multiplient les embûches devant Keystone
OIL
Court invalidates state's Keystone pipeline approval
Une cour du Nebraska a invalidé la décision du gouverneur de l'État consistant à autoriser le passage du pipeline Keystone XL.
Les Américains multiplient les embûches devant Keystone
OIL
Une cour du Nebraska a invalidé la décision du gouverneur de l'État consistant à autoriser le passage du pipeline Keystone XL.
Le feu vert? Pas si vite M. Harper
JEFFREY SIMPSON
Les médias cette semaine on clamé haut et fort que le feu vert était donné au projet Keystone XL par le Département d'États américain. Les choses ne sont pas si simples.
Le sort du pipeline Keystone XL entre les mains d'Obama
Le projet Keystone XL devrait normalement recevoir le feu vert, basé sur un rapport d'impact environnemental américain. Le président Obama conserve tout de même son veto.
Parcours du combattant ou chemin de croix ?
SABLES BITUMINEUX
Le projet n’aurait pas d’impacts significatifs sur la pollution atmosphérique, conclut le rapport
Le projet Keystone XL n’a pas d’impact significatif sur l’émission de gaz à effet de serre. Voilà ce qui ressort du rapport du département d’État américain sur le controversé projet d’oléoduc de la compagnie TransCanada.
L'opposition américaine au pipeline Keystone XL prend de l'ampleur et de la visibilité
Stephen Harper effectuera une apparition-surprise sur la scène internationale mardi soir - bien qu'il s'en serait probablement bien passé.
L'exaspération des « pétroleux »
L'administration Obama ne se laissera pas bousculer par le gouvernement Harper dans le dossier de l'oléoduc Keystone XL, a fait savoir vendredi le secrétaire d'État John Kerry à la sortie d'une rencontre avec son vis-à-vis canadien, John Baird.
Israël est désormais le seul ami sûr du gouvernement Harper
Le gouvernement des États-Unis entend prendre tout le temps qu’il lui faudra avant d’annoncer sa décision sur le projet canadien d’oléoduc Keystone XL, a prévenu vendredi le secrétaire d’État américain, John Kerry, alors qu’il se trouvait aux côtés de son homologue canadien, John Baird.
Harper annonce aux Américains que le Canada va se fâcher si Obama refuse d'autoriser le projet Keystone XL. Ils vont sûrement avoir très peur...
Le premier ministre Stephen Harper a prévenu que le Canada n'accepterait pas de voir les États-Unis lui refuser les autorisations nécessaires pour la construction du pipeline Keystone XL, et que les seuls empêchements étaient des considérations politiques.
Harper en est rendu à mendier l'approbation d'Obama au projet Keystone XL
Ottawa pourrait resserrer ses règles environnementales afin d’obtenir le soutien de Washington
Le gouvernement canadien serait prêt à resserrer ses règles environnementales afin d’obtenir le soutien de Washington pour le projet d’oléoduc Keystone XL.
C'est arrangé avec le gars des vues. Nos « bons amis » les Américains sont en train de niaiser le Canada à grande échelle
Un milliardaire de San Francisco a mis au défi le patron de TransCanada, Russ Girling, de l'affronter en débat. Tom Steyer, un des principaux collecteur de fonds du Parti démocrate, qui s'est publiquement opposé au projet de pipeline Keystone XL, a lancé l'invitation mardi dans une lettre ouverte adressée à M. Girling.
Excellente analyse
Hugo Séguin
Le projet Keystone XL de la compagnie TransCanada subit un déculottage en règle de la part du président Obama. Les arguments utilisés par ses promoteurs sont battus en brèche les uns après les autres, victimes de l’opposition des écologistes et de citoyens riverains, d’une analyse plus rationnelle de ses impacts économiques éventuels et, surtout, d’un bouleversement imprévu dans la production pétrolière américaine. Il apparaît aujourd’hui douteux que celui-ci s’en remette. La pression se fera d’autant plus forte pour que les Québécois autorisent le passage du pétrole albertain vers les marchés de raffinage.
Une autre manoeuvre du gouvernement américain pour repousser l'échéance du projet Keystone XL
Le Département d'État américain enquête afin de savoir si l'évaluation de l'impact environnemental du projet de pipeline Keystone XL n'a pas été biaisé par Foggy Bottom, le contracteur engagé pour compléter les analyses et qui est soupçonné de conflit d'intérêts.
C'est ce que Vigile annonce depuis six mois
Lorsque le président Obama, dans un changement de cap radical, a prononcé son discours sur les changements climatiques au mois de juin, autant les supporteurs que les détracteurs du projet Keystone ont crié victoire. Mais les derniers commentaires suffisants d'Obama sur le pipeline Keystone destiné à transporter aux États-Unis le pétrole des sables bitumineux laissent présager que les chances de voir ce projet se réaliser sous son mandat sont en train de s'évanouir.
L'ambassadeur du Canada à Washington menace indirectement les Américains de subir le sort de Lac-Mégantic si le projet Keystone XL n'est pas approuvé
John Daly
Gary Doer, l'ambassadeur du Canada à Washington, a déclaré que si le président Obama ne donnait pas son accord à la construction du controversé pipeline Keystone XL, ce dernier devrait s'attendre à ce que des trains chargés de pétrole comme ceux du Lac Mégantic, voire des camions, entreraient aux États-Unis.
Obama se prépare à dire non
Obama insiste sur l’impact que pourrait avoir Keystone XL sur le climat planétaire
Washington — Le président américain Barack Obama a évoqué mercredi les conséquences que pourrait avoir l’approbation du projet de pipeline Keystone XL sur le climat de la planète lors d’une réunion générale avec les représentants et les sénateurs démocrates au Capitole, à Washington.
La claque annonciatrice d'Obama
Le président américain exprime des doutes sur les projections d'emplois des partisans du projet d'oléoduc
Le président américain Barack Obama a exprimé mardi de nouveaux doutes sur la pertinence de donner le feu vert au projet d’oléoduc Keystone XL, défendu depuis des mois par le gouvernement Harper. Selon le chef de la Maison-Blanche, cette infrastructure pétrolière ne créerait que « 50 emplois permanents » dans son pays, signe du faible impact économique attendu du projet.
Le Canada à genoux devant les États-Unis
L'ambassadeur canadien aux États-Unis a envoyé une lettre au Secrétaire d'État John Kerry le pressant d'approuver la construction du pipeline Keystone XL, et l'avertissant que les sables bitumineux allaient être exploités de toute façon, avec l'adoption d'une nouvelle règlementation sur la protection de l'environnement.
Les Canadiens anglais commencent à comprendre que les Américains pourraient bien ne pas avoir besoin du pétrole albertain
Et si les États-Unis n'avaient plus besoin du pétrole canadien dans un avenir rapproché? ExxonnMobil affirme, dans ses projections de 2013, que la demande en hydrocarbures va chuter d'au moins 20% de 2010 à 2040 en Amérique du Nord. Les conséquences seront majeures pour le Canada.
Le choc des intérêts nationaux se profile à l'horizon
Le Canada et les États-Unis partagent la plus longue frontière démilitarisée au monde et ont les deux économies les plus intégrées de la planète. Ils sont du club des économies les plus énergivores de la planète et sont parmi les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre par habitant dans le monde. Ils sont tous deux producteurs de pétrole, et les trois quarts des exportations du Canada sont destinés aux États-Unis.
La patate chaude d'Obama
Barack Obama pose ses conditions en présentant son plan de lutte contre les GES
Barack Obama a promis mardi d’« agir » pour lutter contre les changements climatiques en dévoilant un plan qui doit notamment conduire à une réduction des émissions des centrales électriques au charbon. Insistant sur le fait que les Américains payent déjà le prix d’années d’« inaction » à Washington, il a cependant soutenu que le projet Keystone XL doit être approuvé s’il n’augmente pas de façon « significative » la production de gaz à effet de serre.
Comme [Vigile l'avait annoncé le 24 février dernier->http://www.vigile.net/Ne-nous-enervons-pas]
TransCanada prévoyait démarrer ses projets vers la fin 2014, début 2015. Puisque le processus de règlement se prolonge de plus en plus, les possibilités d'atteindre cette cible sont de moins en moins probables. TransCanada cherche maintenant à atteindre sa nouvelle cible, désormais fixée à la fin 2015.
Le gouvernement Harper tente de faire peur aux États-Unis
«Rejeter ce projet constituerait un sérieux revers dans la relation énergétique de longue date entre nos deux pays»
Le gouvernement Harper continue de peser de tout son poids pour tenter de faire approuver la construction du controversé pipeline Keystone XL. Le ministre canadien des Ressources naturelles, Joe Oliver, a d’ailleurs fait le voyage jusqu’à Washington mercredi afin de mettre en garde le gouvernement américain contre un éventuel rejet de ce projet de transport de pétrole des sables bitumineux à travers les États-Unis.
L'opposition la plus féroce ne vient même pas du Québec
Après des années de bataille autour du projet d'oléoduc Keystone XL entre le Canada et le Texas, des auditions publiques sont organisées jeudi dans la région au coeur de la controverse environnementale, le Nebraska, en plein centre des États-Unis.
Keystone XL : Décidément, l'approbation n'est pas dans la poche
« Que ce soit le projet de pipeline Keystone XL, ou ... [les] dommages enregistrés en Arkansas, les Américains se rendent compte que le transport de grandes quantités de ce corrosif et polluant carburant est une mauvaise affaire pour les contribuables américains, et pour notre environnement », a déclaré le représentant Ed Markey, un démocrate du Massachusetts.
Pipeline Keystone XL : Une voie discordante dans l'Ouest
Peut-être que la meilleure chose qui puisse arriver pour le Canada serait que le président Barack Obama se lève contre la traversée de la pipeline Keystone XL. Une telle couverture serait certainement une mauvaise chose pour les Américains, mais c'est leur affaire. Ça pourrait tout à fait nous aider, ici, au Canada.
Coïncidence ou influence ? La Presse reprend dans un sous-titre une manchette de Vigile deux jours plus tôt : [Les autochtones sur le sentier de la guerre->http://www.vigile.net/Native-leaders-vow-to-stop?var_mode=calcul]
Les autochtones sur le sentier de guerre - À la CBC, le ministre fédéral des Ressources naturelles, Joe Oliver, a enjoint les gens à respecter la loi. «Si ces infrastructures ne se réalisent pas, avec des pipelines pour amener nos ressources sur les côtes et aux marchés qui veulent ces ressources, elles seront coincées et notre héritage sera perdu», a-t-il déclaré.
Pauline en Alberta ? Hâte-toi lentement !
La première ministre de l'Alberta, Alison Redford, était de passage hier à Ottawa afin de promouvoir une stratégie nationale en matière d'énergie. En entrevue avec La Presse, elle a soutenu que cette stratégie vise l'intérêt supérieur du pays, elle s'est félicitée de la collaboration avec le gouvernement péquiste de Pauline Marois et a fustigé le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Thomas Mulcair, pour son opposition au projet de construction du pipeline Keystone XL.
C'est maintenant l'Alberta qui dicte la politique étrangère du Canada
La première ministre albertaine Alison Redford a averti que le rejet du projet de pipeline Keystone XL par l'administration Obama porterait atteinte à la relation économique entre les deux pays, et renforcerait la détermination du Canada à chercher de nouveaux marchés pour ses ressources.
Keystone XL: Les obstacles s'accumulent aux États-Unis
Dans ses apparitions publiques au cours de sa visite de trois jours à Washington et à New York, M. Mulcair a dit à maintes reprises, qu'il favorise un pipeline ouest-est au Canada, tout en refusant de prendre position sur Keystone.
Stupéfaction et inquiétude au Canada anglais
Dans son principal éditorial de samedi dernier, le New York Times recommandait au président Obama de déclarer la guerre aux sables bitumineux canadiens.