IDÉES - la polis

Renouveler un projet politique exemplaire !



Les récents bouleversements qui sont apparus dans le paysage politique québécois, même à travers certains effets paradoxaux, sont des indices évidents de mutations politiques en cours. Il s’agit pour les citoyens d’avoir plus de proximité avec un pouvoir politique que l’on souhaite plus démocratique, plus transparent, dynamique et interactif, et aussi d’avoir la possibilité de s’exprimer plus directement, avec moins...

Psychodrame au PQ

Notre démocratie en crise

Vers une plus grande démocratie


La crise au PQ illustre fort bien les maux de notre système de parlementarisme à la britannique. Ce système fait de nos élus des béni-oui-oui qui doivent nécessairement endosser et répéter les propos de leur chef. Le premier ministre, pour la durée de son mandat, est un véritable dictateur. la ligne de parti et son pouvoir sur les ministres lui donnent plein pouvoir. Les deux principes essentiels de la démocratie so...

Vers une plus grande démocratie



Nous nous devons de bonifier notre système démocratique. Si nous croyons véritablement en la démocratie, nous n’avons pas le choix. C’est devenu une nécessité.

Présidentielle

Comment en finir avec l’oligarchie, dialogue entre Eva Joly et Hervé Kempf



Eva Joly, candidate aux primaires écologistes, et Hervé Kempf, journaliste et essayiste, dressent le même constat : une oligarchie gouverne la France et l’Europe. De « la bande du Fouquet’s » aux banquiers, des dirigeants des grands médias au lobby nucléaire, ils servent d’abord leurs intérêts particuliers. Comment en finir avec cette domination ? Faut-il d’abord nationaliser les banques ou instaurer u...

Une société hyperindividualiste

Le bling-bling, la porno et les nouveaux réacs



Président marié à une chanteuse pop et ex-mannequin, Sarkozy instrumentalise sa vie privée, refuse la critique, avilit la fonction présidentielle — on se rappelle son célèbre «Casse-toi, pauv'con!» —, affiche un goût prononcé et assumé pour les marques de luxe et s'avère ultradoué dans la «pipeulisation» de la mise en scène politique...

"L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie" - Hervé Kempf

« Il est vital pour l’oligarchie de maintenir la fiction d’une démocratie »

il est impératif de revenir en démocratie. Et mettre fin à l’oligarchie, régime actuel qui maintient les privilèges des riches au mépris des urgences sociales et écologiques


Privilèges _ Hervé Kempf : « Il est vital pour l’oligarchie de maintenir la fiction d’une démocratie » Par Linda Maziz (10 mars 2011) Les puissances d’argent ont acquis une influence démesurée, les grands médias sont contrôlés par les intérê...

La démocratie, l'enfant pauvre de notre système politique

Stephen Harper premier ministre avec 23,9% de l'électorat canadien

La démocratie représentative sera-t-elle toujours celle des oligarchies?


La définition que nous donne le Petit Larousse de la DÉMOCRATIE est à l’effet que « le peuple exerce sa souveraineté lui-même ou par représentants interposés » Dans le cas du Canada, les électeurs et électrices votent non pas pour un parti politique, ni pour un Premier ministre, mais pour des représentants à la Chambre des communes. Là se trouve le véritable pou...

Barrières, murs et frontières

Des murs invisibles



Un pêcheur lance son filet près de la clôture bordant la frontière entre l’Inde et le Banglade...

Barrières, murs et frontières

Les démocraties emmurées



Au lieu de reconnaître le besoin (économique et démographique) d'immigration dans un continent vieillissant, ces acteurs politiques ont entretenu la peur de l'Étranger, sous la forme de la menace de dilution démographique et du refus du métissage culturel.

À vous de jouer!

Aujourd'hui, le pouvoir appartient aux électeurs. Une boîte, un bulletin, un crayon. C'est tout simple. Cela s'appelle la démocratie.


Avant et après le scrutin, ça s'appelle comment?... Lobbies, manipulations médiatiques, enveloppes brunes, ça aussi c'est la démocratie... Vraiment "tout simple". Zépais! Font chier, ces larbins qui, le jour du scrutin, célèbrent la démocratie, en sachant que, pendant quatre ans, ils seront payés pour rendre "juste" ce qui est "profitable" aux oligarques, que cela s'accorde ou non avec le choix des citoyens voteurs... ...

Les élections fédérales

La religion détient-elle la balance du pouvoir ?



Paradoxalement, maintes organisations religieuses qui devraient combattre cette corruption n'y voient pas d'injustice. Certaines sont encore à s'infiltrer dans les coulisses du pouvoir dans l'espoir d'y faire prévaloir des privilèges ou des dogmes dont la société actuelle ne veut plus.

Frilosité, Bloc et poteau



S'il existe une constante dans la vie politique canadienne, c'est bien celle du rejet des idéologies et des choix tranchés ou radicaux. On fuit le noir et le blanc, le Bien et le Mal, pour chercher la posture rassurante et rassembleuse. Ni droite, ni gauche, ni rouge, ni noir, mais des demi-teintes; rose pâle ou gris bleu pour ne pas faire fuir l'électeur habitué depuis si longtemps au non-dit.

L'affaire Wikileaks

L'émergence d'un espace public en réseau



Dimanche dernier, Wikileaks a encore frappé en dévoilant 779 fichiers secrets en lien avec les détenus de la prison de Guantán...

Le cynisme va-t-il nous emporter?



«Nous avons perdu le sens du vivre-ensemble, dit Claude Béland. Mais on peut le faire renaître» pour tenter d’atténuer la prolifération du cyni...

Angélique Manon!

Le poids d'un vote



La meilleure façon d'amener les gens, et surtout les jeunes, à exercer leur droit de vote est de leur offrir une bonne raison de le faire. Avec des partis réellement ouverts aux débats d'idées, capables d'offrir des choix pertinents, menés par des chefs qui inspirent confiance et respectent la démocratie. Et pour compléter le tout, un système qui donne un poids réel à chaque vote.

Réponse aux romantiques du vote

Mon devoir de citoyen: l'abstention

le refus de voter dans le système politique actuel nous apparaît être une action tout à fait valable


Tout le monde parle de démocratie, mais peut-on réellement considérer démocratique l’acte...

Qui a le goût de la politique ?



Il n’est donc pas étonnant que pour les membres de la société gastronome, il n’y ait plus de recettes collectives, que du divertissement public et de la cuisine privée.

Avant de pouvoir voter, il faut savoir penser

Je n’ai jamais voté pour une démocratie parlementaire



Les effets de mode et de masse se répètent mais sont toujours aussi vides de sens. Les « honnêtes gens » (Ah! Molière, que tu nous manques donc!) croient qu’ils pensent en exprimant leurs opinions. De l’opinion, voici ce que dit Maurice Blanchot :

Interculturalisme 2011 - Détournement d'inquiétude à Montréal



Il faut s'inquiéter d'une réalité moins visible que la concentration de quelques groupes dans des quartiers diversifiés, à savoir les inégalités sociales qui se manifestent à différentes échelles de la métropole et qui touchent des populations diverses.

Contre le conformisme généralisé

Stopper la montée de l’insignifiance

Aujourd’hui dans notre « pseudo- démocratie », accéder au pouvoir signifie être télégénique, flairer l’opinion publique.


La société capitaliste est une société qui court à l’abîme, à tous points de vue, car elle ne sait pas s’autolimiter. Et une société vraiment libre, une société autonome, doit savoir s’autolimiter, savoir qu’il y a des choses qu’on ne peut pas faire ou qu’il ne faut même pas essayer de faire ou qu’il ne faut pas désirer.

Partis politiques siamois



La population est complètement désabusée et résignée d’observer ces partis politiques, financés grassement par le patronat, faire le contraire de ce qu’elle veut, préférant plutôt satisfaire les intérêts particuliers et égoïstes des grands de ce monde.

France, ta Révolution est morte !

Patrice Gueniffey revisite les "Histoires de la Révolution et de l'Empire" (Perrin). Il constate que la Révolution est morte. Et, avec elle, la politique.


Ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui elle ne permet plus de décrypter la politique. On a changé de décor. Le citoyen, l’État, la nation, la souveraineté : toutes ces notions et ces institutions qu’elle avait inventées sont mortes.

Le carnaval perpétuel



Il y avait autrefois un débat public. Aujourd’hui, il n’en reste plus qu’un simulacre. Derrière les partis qui font mine de se disputer pour mieux s’entendre sur l’essentiel, on trouve souvent un grand consensus pour refouler les questions fondamentales aux marges de l’espace public.

Le peuple est-il un enfant ?

Eternelle schizoïdie des marchands qui flattent leurs clients et les méprisent à la fois.


par Alain Garrigou - Dans la polémique sur les révélations de Wikileaks [1], un ancien ministre des affaires étrangères français s’indignait sur les plateaux : la politique était selon lui comme les familles, il y a des histoires qu’on ne raconte pas aux enfants. Il faut une certaine fatuité pour oser cette comparaison. Hubert Védrine ne se rendait pas compte qu’il reprenait la vieille justifica...

Mort de la globalisation

Par John Saul


LA MORT DE LA GLOBALISATION! Nous vivons actuellement une période qui ressemble étrangement à celle qui a précédé la Révolution française, à savoir une exploitation hont...

L'engagement citoyen - La vraie démocratie



Mario Laprise - Québec - Les politiciens traditionnels, tels que MM. Jean Charest et Steven Harper, conçoivent la démocratie comme étant le privilège qu'ont les citoyens de voter tous les quatre ans. Entre-temps, une fois élus, ces messieurs, manipulant leur parti, peuvent faire ce qu'ils veulent, c'est-à-dire répondre aux attentes et aux besoins de leurs bailleurs de fonds: les firmes d'ingénierie ...

Les saboteurs



Le Canada et le Québec ont élu deux gouvernements conservateurs qui s'avèrent des saboteurs. Saboteurs des acquis. Saboteurs de la démocratie.

Une démocratie en action comme en pensée.



Au Canada comme au Québec, les politiciens « professionnels » adoptent toujours la même attitude paternaliste et œdipienne pour instrumentaliser le citoyen, le « castrer » de sa faculté de penser le monde.