Impossible de civiliser les barbares
4 octobre 2021
Pour illustrer l'état de barbarie et d'arriérage de certains peuples et la résistance opiniâtre au changement, voyons ce que disait un traducteur afghan.
Référence:
Une explication de l’échec des États-Unis en Afghanistan d'après un interprète afghan
(extrait d’un texte publié dans le Washington Post par un interprète afghan ayant travaillé avec les forces spéciales américaines)
«Oui, parfois, nous construisions de bonnes choses grâce à l'aide des forces alliées — des cliniques, des écoles, des puits. Mais lorsque la construction était terminée, nous partions aussitôt. Non seulement les talibans s’empressaient-ils de détruire les nouvelles installations, mais ils se méfiaient davantage de la communauté environnante parce qu’elle avait accepté des “cadeaux” de l’Amérique.
Autre problème. Les troupes envoyées au front ne recevaient pas la moindre initiation à la culture afghane. Par exemple, les Marines avec qui je travaillais étaient choqués de me voir partager mes versets préférés du Coran avec des compatriotes afghans. Ils prenaient cela pour de l’extrémisme religieux.
De la même manière, quand nous rencontrions des gens, les Marines n’enlevaient pas leurs lunettes de soleil. De quoi susciter la méfiance, dans un pays qui valorise les contacts visuels. Dans bien des cas, ils s’approchaient des femmes du village pour leur adresser directement la parole, ce qui est inconcevable dans la culture des régions rurales de l’Afghanistan.»
Source : The Washington Post
Cette dernière observation montre à quel point ces peuplades destructrices sont arriérées et engoncées dans leurs moeurs archaïques et dépassées. Imaginez: un homme qui n'a pas le droit d'adresser la parole à une femme! Rien à faire avec eux.
C'est pourquoi il ne faut accepter aucun réfugiés ou immigrants des pays de misère, tous incapables de s'adapter ou d'évoluer tellement ils sont endoctrinés à jamais depuis l'enfance.
20 ans de tentative de moderniser leur société se sont soldés par un échec dû à leur propre faute. Qu'on les laisse donc péricliter à leur guise en coupant toute forme d'aide internationale. Ils l'auront cherché.