Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
29 juillet 2023
L'autochtone Casey Oakes était un passeur de migrants illégaux, et faisait de la contrebande de drogue à Akwesasne en zone interfrontalière dont profitent les autochtones pour commettre toute la gamme des illégalités, incluant la contrebande d'armes à feu qui tuent la population.
L'homme de 30 ans était disparu depuis la mort de huit migrants dans le Saint-Laurent, en mars dernier.
Des familles roumaine et indienne avaient péri en tentant de passer illégalement aux États-Unis par bateau. Les corps de huit personnes, dont deux enfants, avaient été retrouvés et dûment identifiés.
On apprend que M. Oakes n'a jamais été accusé en lien avec la traversée qui a tourné au drame, mais la police d'Akwesasne a indiqué en avril que ses enquêteurs avaient des raisons de croire que l'homme était lié aux huit victimes». Encore un cas ou on n'accuse pas un criminel parce c'est un indien et que les autorités ont peur de mal paraître s'ils s'en prennent à des indiens.
Source: Un criminel indien échappe aux accusations
Oakes avait été reconnu coupable de contrebande de marijuana en 2017 et, en 2021, condamné à neuf mois de prison fédérale américaine pour avoir enfreint les conditions qui lui avaient été imposées en échange de sa libération conditionnelle.
Affichant la prédispostion génétique à la dépendance propre à tous les autochtones, il luttait à l'époque contre la toxicomanie et la dépression, selon les archives judiciaires américaines.
2 ados autochtones sur 3 sont déjà accros à quelque chose, tant la poussée vers les substances est forte et héréditaire.
Voici des statistiques du Gouvernement du Canada:
- Malgré une diminution de la prévalence du tabagisme et une augmentation du nombre de tentatives d’abandon du tabac, les jeunes autochtones étaient cinq fois plus susceptibles de fumer que les jeunes non autochtones.
- Les jeunes autochtones, en particulier les garçons, avaient commencé à consommer de l’alcool et du cannabis à un âge plus précoce que les jeunes non autochtones.
- Les garçons autochtones étaient 1,8 fois plus susceptibles que les garçons non autochtones d’avoir consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois, tandis que les filles autochtones l’étaient 2,8 fois plus que les filles non autochtones.
Sources: 2 ados autochtones sur 3 sont déjà accros
Consommation à un âge plus précoce des autochtones