Y-a-t-il anguille sous roche?
27 janvier 2011
Je souhaite bonne chance aux libéraux avec des candidatures aussi volatiles. Bouchard comme Lemieux n'ont pas la réputation de terminer leurs mandats. N"oublions pas que premier, après avoir planté là son ami premier ministre fédéral, s'est poussé une fois lui-même devenu premier ministre provincial. Quant à Lemieux, après avoir quitté elle-même le PQ en plein mandat, elle en a fait autant avec le maire Tremblay, dont elle était pourtant devenue le bras droit. Y aura-t-il d'autres parachutes dorés en perspective ?
Ton commentaire reste très pertinent, Roger. Quand on en est rendu à emprunter des candidats chez les anciennes étoiles du camp adverse, il semble qu'il y ait péril dans la demeure. Une tactique qui pourrait se retourner contre les libéraux, qui donnent ainsi l'impression de ne plus faire confiance en leurs propres ténors.