Coup de théâtre à Victoriaville
6 mai 2012
"Mais non ! Ils (les policiers) sont restés là pendant plus d’une heure à se faire lancer des roches", dites-vous. Pas de doute, une heure, c'est long. Votre conclusion : Jean Charest a spéculé sur les dégâts anticipés de manifestants radicaux, et il a gagné. Si vous avez raison, et votre démonstration est plausible, à défaut d'être tout à fait convaincante, ses adversaires auront contribué à son succès, à moins qu'on en arrive à suspecter une quelconque infiltration gouvernementale parmi les manifestants. Sinon, il faudra bien en arriver à admettre la part de responsabilité d'écervelés dans le désastre de Victoriaville. It takes two to tango...