De l'intolérance de Julie Miville-Dechêne à celle de Françoise David...
22 septembre 2013
Oui, M Gignac, c'est bien elle et c'est sans doute pourquoi, nommée par les libéraux, elle rue dans les brancards sous les péquistes. Gageons qu'un mandat implicite de ramener dans le droit chemin le CSF, favorable à l'interdiction des signes religieux dans la fonction publique, a pu lui être donné par les libéraux, que ce sujet dérange, en raison de l'appui électoral des minorités culturelles. Pendant ce temps, on nommait l'ancienne présidente, Christiane Pelchat, ambassadrice au Mexique...