Serions-nous quelque chose comme un grand flop ?
13 juillet 2011
Il ne s'agit pas d'être optimiste ou pessimiste, mais d'imager notre vraie réalité: Notre peuple se meurt de ne pouvoir être, et entraîné par la platitude de sa propre décision à se refuser le droit d'exister pour et par lui-m^eme, il se complaît dans les influences de ceux qui ont intérêt à son inertie.
Prétendument sain d'esprit, il consent à sa propre curatelle et il s'invente mille et une raisons pour justifier son choix, faisant ainsi mille et une fois la preuve qu'il ne s'appartient plus mais qu'il est sous influences d'autrui.
Les peuples trop longtemps asservis se dévalorisent, perdent confiance en leurs moyens et deviennent facilement influençables et contrôlables par ceux qui les ont asservis, d'autant plus que ces derniers sont en cela aidés par une élite collaboratrice dont le temps semble avoir légitimé la traîtrise. Ces peuples-là sont facilement sujets à être hypnotisés par leurs maîtres qui leur vendent leur refus d'exister comme une vertu d'ouverture sur le monde: Comme s'il fallait renoncer `a l'existence de son peuple pour s'ouvrir sur le monde!