À écouter et lire nos habituels dénigreurs et ''rapetisseurs'' fédéralistes de la promotion de l'indépendance du Québec, le premier ministre de l'Écosse, monsieur Alex Salmond ne désirait pas se faire photographier avec la première ministre du Québec, madame Pauline Marois lors de leur rencontre à Édinbourg.
Et pourtant..., il ya au moins une première page d'un journal d'Écosse, qui prouve le contraire, celle du Herald Scotland:
http://www.heraldscotland.com/politics/referendum-news/premier-of-quebec-tak
Nos habituels dénigreurs et rapetisseurs fédéralistes d'un Québec Pays!
Que ce soit au Québec, en Écosse ou Ailleurs, ils demeurent les mêmes!
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3 commentaires
Archives de Vigile Répondre
31 janvier 2013Désolé, monsieur Messier! Il semble que mon lien du 30 janvier 2013, qui fonctionnait alors, était attaché à la ''Une'' du Herald Scotland du 30 janvier 2013 mais qu'aujourd'hui il mène à la ''Une'' du HeraldScotland du 31 janvier, qui, bien évidemment, est différente de celle d'hier. Néammoins, à cette ''Une'' d'aujourd'hui de ce journal, apparaît, à côté de son premier article ''Poll Question agreed but voters demand answers'', une liste de 9 autres articles qui sont suggérés, dont le deuxième ''Premier of Quebec takes hope on visit to Scotland'', sur lequel, si on clique dessus, mène à mon lien d'hier.
Autre façon d'y arriver, à la ''Une'' de Vigile du 30 et 31 janvier 2013 apparaît cette image commune de Monsieur Salmond et de madame Marois, à laquelle reférait mon lien d'hier, sous le titre de ''Visite en Écosse - Premier of Quebec takes hope on visit to Scotland ( HeraldScotland - 30 janvier 2013). En cliquant sur HeraldScotland de cette ''Une'' de Vigile, on arrive à mon lien d'hier, mais, par contre, si on clique sur le lien internet qui y renvoie ( http://www.heraldscotland.com/politics/referendum-news/premier-of-quebec-takes-hope-on-visit-to-scotland.2013015892 ), il se peut qu'on on arrive encore à la ''Une'' du HeraldScotland d'aujourd'hui et non à celle d'hier.
Je m'excuse, si tout cela est pour le moins laborieux et compliqué, mais c'est la seule manière, que j'ai trouvée pour arriver à mon lien du 30 janvier 2013.
Archives de Vigile Répondre
31 janvier 2013Dommage, votre lien ne mène pas à la une en question.
Pourriez-vous la trouver et la mettre en ligne?
Archives de Vigile Répondre
30 janvier 2013Je ne suis pas surprise du tout de la part de ces dénigreurs, toujours les mêmes. Je crois que les journalistes, animateurs, commentateurs ont un profond examen de conscience à faire surtout que ce sont eux qui font le plus de dommage au Québec.
Il devrait être interdit, que tous ces gens de l'information soient ambauchés par des entreprises qui manipulent l'information à des fins d'intérêts particuliers. Tous les médias devraient être indépendants. Une société qui se fait manipulée autant devrait réfléchir à prendre les moyens pour que tout ça cesse. Est-ce possible? Je crois que oui, il doit y avoir une volonté pour changer cette industrie de manipulation. Où sont t'ils les penseurs dans ce secteur d'activités, complètement à coté du travail qu'ils devraient faire avec honnêteté. Il n'y a pas de règles strictes, pas d'éthique, pas de réflexion, de recherche etc. Il n'y a que propagande, nouvelles à consommer et jeter, que de la vente au plus offrant. C'est pathétique. Le pire c'est que tous nous le savons, les médias y compris mais ça continu. Fallait entendre ce matin Jean Lapierre et Mario Dumont, ils étaient aux anges de dénigrer M. Marois. Pitoyable leurs propos.
La situation de l'Écosse et du Québec sont complètement différente. Lors du dernier référendum, nous savons comment le Canada s'est mêlé de choses qui ne le regardait pas, jusqu'à enfreindre ses propres règles. J'aimerais savoir si dans l'entente de l'Écosse avec le Royaume Uni il y a justement une règle de non ingérence dans le processus prévu automne 2014. Peut-être que eux aussi verront débarquer les drapeaux de l'Union Jack avec des je T'aime Écosse pour finalement se faire voler leur indépendance. Mais si cela arrivait peut-être aussi qu'ils ne partiront pas chez eux avec la queue entre les deux jambes comme cela s'est passé ici.