Pratiquement tous les féminicides récents sont d'origine ethnique ou autochtone
1 juin 2025
Considérant le nombre limité que les inuits sont, on s'étonne de la quantité incroyable de féminicides violents perpétrés de sang froid, impulsivement et sous le coup de l'alcool ou de la drogue.
Il est navrant de voir comment la mentalité tribale n'a pas évolué en 10 000 ans. Le degré d'évolution limité des cerveaux autochtones primitifs est la cause tous ces assassinats. Les prisons sont pleines de ces féminicideurs qui ne semblent ressentir aucun remord de leurs actes abjects. Pour eux, c'est comme tuer un phoque ou un caribou. C'est un coup de couteau comme un autre, rien de plus, ça ne porte pas à conséquences.
À consulter: Liste des 200 pays classés par ordre d'intelligence, de développement humain
Un nouveau cas déplorable:
Presque deux ans après son crime, l'inuit anglophone Joanassie Weetaluktuk a reconnu sa culpabilité dans le meurtre non prémédité de Raingi Tukai, à Inukjuak, un petit village de moins de 2000 âmes.
Le criminel inuit anglophone Joanassie Weetaluktuk écope automatiquement de la prison à vie.
L'inuit anglophone Joanassie Weetaluktuk devra purger de 10 à 25 ans de pénitencier avant d’être admissible à une libération conditionnelle.
Au nom de la protection publique, il faut faire en sorte que les autochtones restent sur leurs réserves pour ne pas mettre en danger la population. Le risque est beaucoup trop grand.