[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8a...
[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]
[Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.
M. Charest disait hier attendre les propositions du PQ. Il n'a pas à attendre. Il est premier ministre. C'est à lui que revient de prendre les devants, d'adopter un ton plus conciliant et d'ouvrir la voie à un compromis.
Voici que, pour la première fois, le gouvernement a les moyens de faire ce qu'il s'était engagé à faire.
Cette résolution adoptée mercredi par l'Assemblée nationale, aussi absurde qu'unanime, ne renforce pas la cause du Québec dans le reste du pays. Au contraire, elle nous affaiblit. Pire, elle nous rend ridicules.
Comment cette réflexion pourra-t-elle avoir lieu si les députés péquistes choisissent leur camp avant qu'une seule idée n'ait été mise de l'avant?
Parmi ces engagements à court terme, il y en a deux, en particulier, que nous applaudissons : une baisse des impôts pour les particuliers et le dégel des droits de scolarité
La manoeuvre est tout simplement incompréhensible. Suicidaire.