[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8a...
[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]
[Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.
Un an après la guerre du Liban, Human Rights Watch a publié deux rapports exhaustifs sur les victimes civiles du conflit.
Bref, ni l'action des Forces armées canadiennes ni les faits sur le terrain ne justifient le scepticisme qu'expriment maintenant les libéraux à l'égard de la mission et leur empressement à y mettre fin.
S'il y a un « nous », il y a forcément un « eux »
Si l'adoption d'une constitution québécoise pourrait avoir un effet mobilisateur, il ne faut pas négliger le risque qu'au contraire, elle exacerbe les tensions.
Certaines choses n'ont pas changé. En 1942, cette majorité avait tort. Il en est de même aujourd'hui.
Dans leur for intérieur, les Québécois ne préféreraient-ils pas que les immigrants soient non seulement francophones, mais athées? Autrement dit, qu'ils se fondent dans le décor?
Malheureusement, nos politiciens ont choisi de débattre de l'immigration en sacrifiant les faits sur l'autel de l'idéologie et de l'esprit partisan. Dans un domaine aussi délicat et crucial que celui-là, il s'agit d'une attitude irresponsable.