[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8a...
[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]
[Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.
Pour les jeunes, le rapatriement unilatéral de la constitution, l'échec de Meech, c'est de l'histoire ancienne. Par contre, ils ont vu le Parlement fédéral reconnaître la nation québécoise et le gouvernement Harper régler le déséquilibre fiscal.
une forte majorité de Québécois (68%, dont la moitié des électeurs péquistes) suggère à Mme Marois d'"abandonner son idée de faire du Québec un pays souverain" pour adopter plutôt une position autonomiste traditionnelle
Pour sa part le fédéralisme permet de gérer de façon fort efficace les inévitables collisions d'intérêts divergents. C'est bruyant et lassant, c'est vrai. Mais, en définitive, ça marche.
« Cette attaque révèle encore une fois la menace grandissante de l'antisémitisme au Québec», poursuit M. Adel. Ici, le bât blesse. Peut-on vraiment parler d'une « menace grandissante de l'antisémitisme au Québec »?
Mais, de grâce, épargnons-nous un débat futile sur l'abolition d'une fonction qui, malgré son côté vieillot, a bien servi le Québec depuis 140 ans.
La Cour n'interdit donc pas tout recours aux lois spéciales. Seulement, elle rappelle aux gouvernements que cette arme ne peut pas être employée à la légère.
Comment Stephen Harper, qui prétend respecter l'esprit véritable de la Confédération, ose-t-il lancer une réforme en profondeur des institutions fédérales sans négocier avec les provinces?
Pour ceux qui l'auraient oublié, le Canada est un pays capitaliste.