À l'Assemblée nationale

Une Haïtienne et une Arabe qui voudraient bien nous mener par le bout du nez

Le tiers-monde à l'assaut de l'Occident

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Tribune libre

C'en est rendu qu'une députée haïtienne et une députée arabe voudraient bien nous mener par le bout du nez.


Voilà le triste constat auquel on arrive lorsqu'on observe de plus près ce qui se passe à l'Assemblée nationale du Québec par les temps qui courent.



Tous les jours au bulletin de nouvelles, vous pouvez être certain d'avoir sous les yeux ces deux personnes qui s'en prennent ouvertement aux Québécois de souche, aux principes établis de la vie en société québécoise, parlant toujours au nom des minorités qu'elles représentent. Elles siègent actuellement dans l'opposition, dans l'opposition aux choix des Québécois. Mais pour qui se prennent-elles donc?


C'est le tiers-monde à l'assaut de l'Occident.



Allons-nousnous laisser intimider, nous laisser dicter notre conduite par des gens issus des pays les plus sous-civilisés, les sociétés les plus rétrogrades de la planète? Il n'en est pas question.


Le Parti libéral du Québec, justement déserté par les francophones pure laine qui ont fini par voir clair dans leurs manigances, est nettement devenu le parti exclusif des anglophones, des allophones, des tiers-mondistes, des communautés ethniques, des musulmans et autres religions importées qui refusent des évidences comme la laïcité et l'égalité homme/femme.



Tout ce beau monde considère les Québécois de souche comme des ennemis à abattre et à remplacer par la submersion migratoire. Ils se liguent ensemble pour s'opposer à notre grand projet d'une société à notre image, dans le prolongement naturel de notre cheminement historique.


Ces minorités veulent toujours plus d'immigration massive originant du tiers-monde miséreux, plus de réfugiés frauduleux, plus de pouvoir, de multiculturalisme, de diversité imposée; ils cautionnent l'islamisation de la société; ils nient l'ensauvagement qui se traduit par une hausse marquée de la criminalité due aux minorités ayant un taux plus élevé de violence innée.



Est-ce vers cela que s'en va notre société?


Ne nous en laissons pas imposer par leurs scènes hystériques, leurs emportements, leurs gesticulations, leur picossage hargneux.



Tous les Québécois d'ici sentent bien les mauvaises intentions derrière toutes ces interventions qui visent à leur faire céder toujours plus de terrain.



Il est risible de voir comment le PLQ maintenant démasqué, ouvertement à la solde des anglophones et des minorités essaie de changer son image en voulant faire croire qu'il est "revenu" de notre bord, qu'il prend nos intérêts à coeur. Foutaise que tout cela. Personne ne sera assez bête pour croire à leur boniment remâché, à leurs salamalecs éculés.



Ces deux cas nous font réaliser la nécessité d'imposer des cotas limitant l'immigration de certaines communautés pour s'assurer qu'elles ne chambardent pas l'équilibre social à notre détriment.


Imaginons le désastre si un jour l'Assemblée nationale du peuple québécois venait à être infiltrée par un député sikh hindou fanatisé ou par un imam musulman intégriste véhément, multipliant les revendications épousant les dogmes de leurs religions dépassées.



En ce sens, les 2 députées dont il vient d'être question ne sont peut-être que la pointe de l'iceberg de ce qui nous attend si on laisse continuer l'immigration de masse débridée. Nous risquerions alors de perdre peu à peu tous nos pouvoirs de diriger notre destinée, lesquels tomberaient aux mains d'étrangers aux priorités fort divergentes des nôtres, avec toujours plus de tentatives de se soustraire à nos lois et nos règles du bien-vivre ensemble.


Que ceux qui font passer les autres avant les Québécois soient confondus!



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Réjean Labrie812 articles

  • 1 403 639

Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 810 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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17 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    17 février 2023

    Une autre étrangère toxique qui aimeraient bien mener les Québécois par le bout du nez.


    Une activiste militante musulmane islamiste voilée, toxique et québécophobe, nommée Amira Elghababy, dénoncée pour ses propos orduriers et répétés envers la nation québécoise, vient d'être nommée par Justin Trudeau en personne pour nous intimider et nous mater.


    L'ensemble des Québécois et de leurs représentants exigent sa démission immédiate.



    Voici ce que l'historien nationaliste Frédéric Bastien a révélé au grand jour:


    D'autres anti-Québécois notoires se joignent à elle:


    Le 3 février dernier, trente personnes complices ont signé une lettre d’appui à Amira Elghawaby. Ils jugent qu’après ses excuses, elle mérite de rester en poste. Il y a beaucoup à dire sur ces derniers et voici quelques exemples. 



    Commençons par Charles Taylor, professeur émérite de l’Université McGill. En 2013, au moment du projet de laïcité du PQ, il avait comparé le gouvernement québécois à la Russie de Poutine. 



    Continuons avec Julius Grey. Cet avocat a déclaré qu’avec la loi 96, l’Office de la langue française a désormais plus de pouvoir que la police. Cela signifierait que «parler anglais est à l’évidence pire qu’un meurtre» au Québec.


    Inégalité hommes-femmes


    Que dire de Samira Laouni? Elle était membre du défunt Canadian Islamic Congress. Ce groupe procharia défendait notamment les attentats-suicides contre les civils israéliens...mais seulement s’ils étaient âgés de 18 ans ou plus! Lors de la crise des accommodements raisonnables, Laouni a visité Hérouxville. Elle a donné un livre à la bibliothèque municipale sur les droits de la femme dans l’islam...écrit par un mollah iranien! L’auteur prône l’inégalité des hommes et des femmes. Cela «répond mieux aux besoins des droits naturels». 


    On compte aussi Ehab Lotayef. En 2020, il a écrit que la loi 21 pourrait amener les policiers québécois à tuer des juifs, des musulmans et des sikhs. Dans les années 90, il a travaillé à la mise en place d’un tribunal islamique au Québec.



    Eve Torres, pour sa part, militait contre l’interdiction du niqab et de la burqa quand elle oeuvrait avec Elghawaby au Conseil national des musulmans du Canada, un autre groupe procharia. En 2019, elle a dû s’excuser d’avoir dit que l’incendie qui a détruit la cathédrale Notre-Dame de Paris était une punition divine contre la France pour avoir inventé la laïcité.


    Au nom du Conseil canadien des femmes musulmanes, Samaa Elibyari défend aussi Elghawaby. Ce groupe a déjà produit une vidéo anti-loi 21. On y voit des images de l’attentat de London en Ontario qui a fait quatre morts. On assimile ainsi la loi 21 à du terrorisme, tout en instrumentalisant la mémoire des victimes et la souffrance de leurs proches.


    Profaner le sacré



    C’est exactement ce qu’a fait Boufeldja Benabdallah. Ce leader musulman a profité d’une récente cérémonie commémorant l’attentat de la grande mosquée de Québec, tenue dans l’enceinte de celle-ci, pour dénoncer la loi 21. Au lieu de respecter le caractère sacré d’un rituel qui aurait dû nous unir dans la mémoire des victimes et le rejet de la violence, Benabdallah a profané cette commémoration pour marquer des points politiques.


    Imaginons maintenant un scénario semblable à ce qu’a fait Elghawaby mais avec un Québécois. Un titulaire d’une charge publique du nom de Tremblay écrit qu’un article de journal traitant de la discrimination subie par les musulmans lui donne le goût de vomir. Il fait aussi un lien entre l’islam et le terrorisme. Est-ce que les alliés d’Elghawaby auraient accepté des excuses? Bien sûr que non.


    La raison pour laquelle ceux-ci veulent lui donner une chance relève du fait qu’ils tiennent eux-mêmes des propos outranciers sur la laïcité québécoise. Avec le budget de 5 millions de dollars dont elle disposera, Elghawaby continuera une campagne de dénigrement à laquelle ses complices participent depuis longtemps. 


    Source: La campagne de dénigrement des sbires d’Elghawaby



    Cette activiste militante musulmane islamiste voilée, toxique et québécophobe, nommée Amira Elghababy, dénoncée pour ses propos orduriers et répétés envers la nation québécoise, doit être démise, déchue de nationalité, et expulsée du pays en tant qu'ennemie avouée du peuple québécois et de ses aspirations légitimes.


    Que nos avocats nationalistes prennent le dossier en charge et s'en occupent.



  • Réjean Labrie Répondre

    7 novembre 2022

    Maintenant qu'une Haîtienne qui voulait tant nous mener par le bout du nez s'est fait montrer la porte de sortie, que nous réserve le Parti libéral du Québec, le parti excusif des anglos et des allos, et totalement renié par les Québécois authentiques?



    Est-ce que ce sera au tour de la femme arabe qui aimerait tellement elle aussi nous mener par le bout du nez, de vouloir tenter sa chance dans le but de représenter la mouvance islamique de la métropole, toujours avide de plus de puissance?



    Source: Dominique Anglade démissionne et quitte la vie politique


  • Réjean Labrie Répondre

    12 octobre 2022

    Une Haïtienne et une Arabe qui voudraient bien nous mener par le bout du nez



    2 étrangères issues de 2 des pays les plus arriérés de la planète qui voudraient nous contrôler, nous dire quoi faire, elles qui ont grandi d'après les principes et la mentalité rétrograde de leurs pays arriérés?



    Si la Haîtienne en chef est démise de ses fonctions, est-ce que ce sera au tour de l'arabe de prendre sa place et de chercher à nous mener par le bout du nez?



    L'islam conquérant, déjà bien installé à Montréal, doit se pourlécher les babines d'avance...


  • Réjean Labrie Répondre

    11 octobre 2022

    C'est la débandade pour Anglade. Et bien méritée de surcroit.


    Aux dernières élections 2022, le Parti libéral du Québec a perdu tout appui des Québécois authentiques, toute crédibilité.



    Seuls les anglos et les allos, alliés concubinaires enclavés à Montréal, ont continué de voter pour elle, confirmant qu'ils continuent de se positionner clairement contre la majorité québécoise et ses aspirations nationales légitimes.


    De 2018 à 2022, le parti libéral est passé de 31 à 21 sièges, de 25 à 14% des votes, correspondant au pourcentage d'anglos et d'allos au Québec.


    Le PLQ a reçu moins de votes que QS et que le PQ.


    Référence: Élections 2022


    Le clivage entre anglos/allos et les vrais Québécois s'accentue. Ils nous font sentir de quel bord ils sont, c'est-à-dire contre Nous, exactement comme les russophones en Ukraine.


    Ceux qui osent encore prétendre que les allophones sont nos meilleurs amis se mettent un doigt dans l'oeil de l'autruche, comme aurait pu si bien le dire l'inénarrable Jean Perron.


    À lire: Les russophones en Ukraine, comme les anglophones au Québec?


    C'est la dégringolade pour Anglade. Et bien méritée de surcroit.


  • Réjean Labrie Répondre

    14 septembre 2022


    Vous l'avez vue au nouvelles d'hier:



    Maintenant que le Parti libéral du Québec est nettement identifié uniquement aux multiethniques et aux anglos, et que le parti est abandonné par les Québécois authentiques, La chef de parti haïtienne qui voudrait bien nous mener par le bout du nez, elle-même venue du pire pays qui régresse, s'entoure maintenant pour faire ses déclarations uniquement de pure souches, alors qu'avant il y avait toujours une femme voilée, un Noir, un anglo et autres non-nés ici.



    L'image politique projetée, quelle hypocrisie!


    La valeur de l'IDH d'Haïti pour 2019 s'établit à 0.510 – ce qui place le pays dans la catégorie « développement humain faible » et au 170e rang parmi 189 pays et territoires du monde entier. Et on s'attend à ce qu'il recule encore. Cette position au classement est partagée avec le Soudan, autre pays particulièrement arriéré.


    Quand on voit ce pays sous-développé où absolument personne ne sait gérer le moindre aspect du bon fonctionnement d'une société, on voudrait qu'une Haïtienne qui en origine s'en vienne nous gérer, nous mener par le bout du nez. Insensé!


    La candidate haïtienne a le devoir moral de retourner sortir son pays de l'ornière en se présentant là-bas plutôt qu'ici.


  • Réjean Labrie Répondre

    21 mars 2022

    C'est maintenant au tour d'une syndicaliste (ça commence mal) de race noire et de tendance woke de vouloir se présenter pour la CAQ dans le comté de Marie-Victorin (Longueuil), du nom de Shirley Dorismond.


    La militante qui veut se faire craindre continue à maintenir la fausse idée de racisme systémique au Québec, contredisant la position de son propre chef de parti.



    Impossible de savoir sur internet de quel pays sont originaires ses parents. Est-ce un haïtienne, une africaine? On cherche à le cacher.


    Toujours est-il qu'elle aimerait bien elle aussi nous mener par le bout du nez...


    Source: une candidate pour la CAQ de race noire accuse le gouvernement de la CAQ de racisme systémique.


  • Réjean Labrie Répondre

    22 février 2022

    Encore un autre étranger qui aimerait bien nous mener par le bout du nez en se présentant comme candidat à une élection partielle provinciale pour QS. Cette fois-ci, c'est un émigré tunisien musulman.



    D'après l'article qui le présente, ce tunisien se positionne du côté des immigrés musulmans qui s'opposent aux lois désirées par les Québécois authentiques.



    Par exemple, il conteste entre autres l'interdiction du port de signes religieux, un geste d'hostilité envers la volonté du peuple.


    Il fait même partie de ceux qui ont lancé le mouvement nous accusant de racisme systémique.


    Dans l'article, il dit expressément qu'il cherchera à défendre sa minorité contre les Québécois.



    Voilà un autre candidat étranger ouvertement anti-Nous qui cherche à nuire aux Québécois et à la sorte de société que nous voulons bâtir.


    Devons-nous nous laisser mener par le bout du nez par de tels étrangers réfractaires à nos lois et à notre mode de vie? La réponse est non.


    Source: Un tunisien musulman se présente comme candidat du côté des immigrés, contre les Québécois


  • Réjean Labrie Répondre

    6 janvier 2022

    Parlant de la députée arabe du Parti libéral du Québec qui veut nous mener par le bout du nez comme sa cheffe de parti la députée haitienne, elle s'est présentée au réseau Global durant le temps des fêtes aux côtés de son mari anglophone.





    Voyez ce que donne l'immigration mal sélectionnée:




    1- cette arabe a choisi un conjoint canadien, et non un conjoint québécois




    2- cette arabe a choisi un conjoint anglophone, et non francophone


    3- cette arabe a choisi pour conjoint un député anglophone du Parti libéral du Québec vendu aux anglos et aux allos




    4- cette arabe profitera du droit acquis de son mari pour envoyer ses enfants à l'école anglaise et en faire des anglos-canadiens




    On comprend clairement que le Parti libéral du Québec périclitant, abaissé au rang de succursale provinciale du fédéral, n'est plus que le parti des anglos et des allophones qui se mélangent entre eux-mêmes, ligués contre les Québécois de souche.




    Ce n'est certes pas avec eux que nous bâtirons un pays à notre ressemblance.


  • Réjean Labrie Répondre

    3 novembre 2021

    Notre Haïtienne qui veut nous mener par le bout du nez semble avoir décidé également de purger le Parti libéral, le parti affiché des anglos et des allos, de tous ses membres de souche, pour les remplacer peu à peu par des importés, en se basant sur le principe du Grand Remplacement.



    Elle vient de sévir contre les députés Marie Montpetit et Gaétan Barrette. Et ce n'est sans doute qu'un début.


    La cheffe du Parti libéral du Québec a retiré aux députés Marie Montpetit et Gaétan Barrette toutes leurs responsabilités dans son cabinet fantôme.


    Elle a montré la porte à sa députée Marie Montpetit, lundi. En entrevue, elle a également soutenu que Gaétan Barrette n’avait pas fait jusqu’ici la démonstration qu’il avait le comportement requis pour faire partie de son équipe de candidats aux prochaines élections.


    Son plan pour un PLQ composé uniquement d'ethniques et d'anglos est en bonne voie de réalisation.



  • Réjean Labrie Répondre

    29 octobre 2021

    C'est maintenant au tour d'un adopté de race noire (impossible de connaître son pays d'origine) au nom emphatique de Bertrand de l’Epinay comme ils en raffolent, qui vient d'être expulsé du parti Démocratie Québec aux élections municipales 2021, cumulant les infractions impayées.


    Ce Bertrand de l’Epinay qui cumule au moins 25 billets d’infractions impayés depuis 2011 totalisant plus de 10 000$ a également reçu un constat en août 2020 pour avoir injurié un agent de police de Québec. Il s’est vu montrer la porte par son chef Jean Rousseau.



    Infraction à répétition  


    Sauf que le candidat traine avec lui un lourd passé en infractions au Code de la sécurité routière et aux règlements municipaux qui sont de surcroit impayés, et ce depuis 10 ans. S’ajoutent aussi trois infractions criminelles pour conduite avec les facultés affaiblies, une sommation pour ne pas s’être présenté en cour sans excuse légitime et des appels téléphoniques harassants qui ont cependant tous été réglés. 


    Par exemple, M. de l’Epinay n’a toujours pas payé son amende pour avoir été arrêté le 11 janvier 2011 à Québec seul au volant alors qu’il était apprenti conducteur. Plusieurs infractions pour conduite sous sanction alors qu’il n’avait pas payé une amende s’additionnent depuis avril 2011, la dernière en lice s’étant produite aussi récemment que cet été. Dans tous les cas ces dossiers sont actifs, donc impayés au greffe municipal de Québec.  


    S’ajoute également une infraction au règlement municipale survenue le 15 août 2020 pour avoir injurié un agent de la paix qui n’a toujours pas été payée 14 mois plus tard et qui revient devant un juge le 10 novembre prochain. «Souvent lorsqu’on peut être persécuté ou quoi que ce soit, arrêté à terre oui il y a des fois où on peut mal réagir», s’est défendu le candidat questionné par le Journal. 



    Six infractions à Magog  


    Son passage à Magog en mai 2018 a notamment été coûteux, bien qu’il n’ait encore acquitté aucune de ces amendes. Quatre infractions ont été émises le 24 mai pour vitesse excessive, pour ne pas avoir son permis de conduire [en main], être apprenti conducteur sans être accompagné, et conduite pendant sanction.  


    Huit jours plus tard, toujours à Magog, il était de nouveau arrêté pour conduite pendant suspension. Au greffe de la cour municipale de Magog on indique avoir envoyé un avis de non-paiement d’amende à la SAAQ pour qu’il suspende son permis de conduire en mars 2019. Une ordonnance pour qu’un huissier lui remette les factures en souffrance ont été émises, mais celui-ci n’ont pas trouvé d’adresse valide.   


    À Québec, un avis de non-paiement d’amende à la SAAQ a également été émis, cette fois en avril 2019. Dans les deux cas, ces dossiers sont toujours actifs de sorte que M. de L’Epinay doit plus de 10 000$ en infractions impayées.  



    Permis de conduire  


    Au cours des dernières semaines, des journalistes du Journal ont observé le candidat de Démocratie Québec se présenter en voiture à des conférences de presse pendant la campagne électorale en cours. Lorsque questionné sur la validité de son permis de conduire, M. de l’Epinay a été flou. 


    «J’ai eu des infractions qui ont enlevé mon permis, mais c’est entrepris», a-t-il dit. «J’ai eu des laisser-aller certes, mais c’est réglé», s’est-il défendu en affirmant avoir pris des ententes de paiement.  


    M. de L’epinay, mécontent, a fait valoir qu’il s’agissait «d’attaques personnelles», avant d’expliquer la situation dans laquelle il se trouvait à cette époque. «Il y a aussi une grande dépression reliée à ça. Je n’ai pas un parcours conventionnel, mais je pense que je m’en suis très très bien tiré et c’est ça que je veux mettre de l’avant». 


    Il assure d’ailleurs que son chef, Jean Rousseau est au courant de ses difficultés en ce sens. «Je n’ai rien à cacher à ce niveau-là sauf que je n’aime pas en parler sur la place publique, je reviens extrêmement de loin», assure-t-il.  



    Démission  exigée


    Appelé à réagir, le chef de Démocratie Québec Jean Rousseau a dit que cela illustrait «un manque de sens des responsabilités» de la part de son candidat. 


    «Je viens de lui demander de démissionner parce que je ne peux pas cautionner de tels comportements», a-t-il adjugé.  


    Qu'est-ce qui leur prend à tous ces étrangers issus des pires pays de misère sous-civilisés à rechercher des postes de contrôle et de commande sur les Québécois? de quoi dépend cette soif insatiable de puissance sur les autres?


    Qui acceptera de se laisser dicter sa conduite par ces gens-là?


    Source: Un candidat de Démocratie Québec qui cumule les infractions impayées se voit expulsé



  • Réjean Labrie Répondre

    25 octobre 2021

    Une Haïtienne et une Arabe qui voudraient bien nous mener par le bout du nez, c'est déjà aberrant en soi


    .


    Mais imaginez maintenant un arabe! Et pas n'importe quel: le sévère et austère président du Centre culturel islamique de Québec qui l'a même fondé, l'Algérien musulman Boufeldja Benabda allah, personnage tout en morgue, à l'attitude hautaine et méprisante des plus typique.



    Au élections municipales de Québec en 2021, l’équipe de Marie-Josée Savard (successeur de l'équipe Labeaume) soutient la candidature de l'Algérien arabe musulman Boufeldja Benabda allah, cofondateur du Centre culturel islamique de Québec, un personnage avide de visibilité et de vitrines médiatiques, qui correspond exactement à l'idée du porteur de visées hégémoniques.



    Cela fait partie de la stratégie islamique que de s'infiltrer dans nos institutions par la porte d'en arrière et de gruger de plus en plus de pouvoirs à leur avantage.



    Mais il y a des solutions légales. Voyez comment la France, plus atteinte que nous, vient tout juste de s'y prendre pour combattre l'islamisation pernicieuse en adoptant une série de mesures musclées qui leur mettra des bâtons dans les roues.


    Référence: Nouvelle loi française anti-islam adoptée




  • Réjean Labrie Répondre

    19 octobre 2021


    C'est maintenant au tour d'un jamaïcain anglophone de race noire du nom de Banarama Holness de vouloir nous mener par le bout du nez.



    Un certain Banarama Holness se présente comme candidat à la mairie de Montréal. Il a été qualifié de suprémaciste anti-Québécois par l'un de nos chroniqueurs chevronnés pour ses propos anti loi 101 et ses visées partitionnistes rejetant le peuple québécois.



    Je cite le chroniqueur: "les Québécois sont méprisés chez eux et un candidat à la mairie de Montréal veut même les exproprier de leur métropole, les rejeter politiquement de chez eux. Je ne connais pas de plus grand discours haineux actuellement."



    Le jamaïcain anglophone de race noire du nom de Banarama Holness prévoit également imposer le définancement de la police pour que les gangs de rue noirs puissent commercer en paix.



    Les plaintes contre son style autoritaire s'accumulent.


    Le gouvernement québécois s'insurge également.



    Jusqu'où ira leur soif de pouvoir et de domination?


  • Réjean Labrie Répondre

    22 septembre 2021

    Qui d'autres parmi les tiers-mondistes voudraient bien nous mener par le bout du nez?


    2 inquiétants personnages qui se présentaient comme candidats aux élections avant qu'on découvre leur passé trouble..


    Les élections municipales montréalaises de 2021 donne lieu des 2 côtés à la nomination de candidats de race noire qui font face à de nombreuses accusations criminelles.


    Du côté de Valérie Plante, le candidat noir Will Prosper fait face à de graves accusations.



    N’en déplaise à la mairesse Plante qui évoque « une erreur », les gestes reprochés à Will Prosper étaient si graves qu’on l’a forcé à démissionner de la GRC. Pourtant, d’autres policiers pincés pour une consultation injustifiée des bases de données n’écopent souvent que de quelques jours de suspension.



    On soupçonnait aussi l'individu d’avoir coulé de l’information à des amis d’enfance, membres de gang de rue qui faisaient l’objet d’une enquête pour meurtre à Montréal.


    Dans la décision, on décrit la conduite de Prosper comme « scandaleuse » et on souligne que ses gestes « soulevaient de grands doutes quant à son honnêteté et à son intégrité ».


    À ce cas litigieux, on peut ajouter du côté de Denis Coderre le candidat haïtien Ali Nestor, récemment accusé et réputé pour sa superbe et son amour-propre arrogant.



    L'ex-boxeur et entraîneur Ali Nestor haîtien a été formellement accusé de voie de fait et d'agression sexuelle envers sa conjointe.


    Son ex-conjointe a déposé une plainte contre lui pour voies de fait et agression sexuelle.


    Même le média ultra-diversitaire La Presse a dit de lui:


    "Actif membre de gangs de rue au cours d'une adolescence jonchée de cadavres, Charles Ali Nestor est aujourd'hui propriétaire d'un gymnase d'auto-défense.


    Pris dans l'engrenage des petites violences quotidiennes, des délits, de toutes les menaces entre gangs de rue, Charles Ali Nestor, après avoir plusieurs fois frôlé la mort, fréquente à deux reprises les centres jeunesse, avec des sentences sévères."


    Des individus avides de puissance et de contrôle tentent par tous les moyens de s'immiscer dans les rouages de nos institutions, avec menace de déraillement. Une fois en poste, sur quoi fermeraient-ils les yeux?


  • Réjean Labrie Répondre

    21 septembre 2021

    Le titre de l'article: Une Haïtienne et une Arabe qui voudraient bien nous mener par le bout du nez,


    pourrait être maintenant reformulé ainsi:


    Une Haïtienne, une Arabe et une Africaine sénégalaise qui voudraient bien nous mener par le bout du nez


    Comment peut-on concevoir que des gens issus des pays les plus corrompus, conflictuels, chaotiques et anémiques de la planète puissent nous apporter autre chose que le recul, la détérioration, l'enveniment des choses?


    Explications:


    Une Sénégaise africaine de race noire du nom de Lydie Olga Ntap se présente comme candidate aux élections municipales de Longueuil 2021, et cela en dépit de ses nombreux démêlés avec la justice québécoise, allant même jusqu'à la radiation.


    Avons-nous besoin de toujours plus de tiers-mondistes issus des pays les plus sous-civilisés de la planète, au passé et aux agissements douteux?



    Une autre candidate du parti Longueuil Ensemble cache un passé trouble. De multiples sanctions ont coûté à l’avocate Lydie Olga Ntap trois radiations du Barreau du Québec au début des années 2000, a appris le 24 heures.


    La liste interminable des actes reprochés:


    Mensonges, négligence, pratique illégale de la pratique d’avocate: la Sénégaise africaine de race noire du nom de Lydie Olga Ntap, candidate du district Fatima-du-Parcours-du-Cerf à Longueuil, a été sanctionnée à plusieurs reprises par des conseils disciplinaires entre 1998 et 2007, selon des documents juridiques consultés par le 24 heures. 


    L’avocate spécialisée en droit criminel, des affaires et de la jeunesse a été blâmée à quatre reprises par le Conseil de discipline du Barreau et a été condamnée 5 fois devant la Cour des petites créances pour avoir négligé des mandats qui lui ont été confiés et pour avoir prétendu être avocate lors de sa période de radiation. 



    Radiée au bout de deux ans  


    Les faits remontent à mai 1998, année où la Sénégaise africaine de race noire du nom de Lydie Olga Ntap est radiée du Barreau une première fois pour ne pas s’être conformée aux exigences de son ordre, deux ans seulement après être devenue membre. Elle devient alors consultante en immigration et représente des clients devant le Tribunal administratif du Québec. 


    Les choses se corsent en 2002, alors qu’elle est reconnue coupable d’avoir exercé illégalement la pratique d’avocate à deux reprises. Elle se présente alors comme «avocate/conseil», distribue des cartes professionnelles portant l’inscription «avocate» et a même donné des avis en droit civil au moment où elle était radiée de l’ordre professionnel. 



    Négligence et mandats non exécutés  


    C’est entre 2002 et 2004 que quatre plaintes pour «appropriation et négligence» envers des clients lui valent deux radiations consécutives de cinq mois. On lui reproche notamment de s’être approprié plusieurs milliers de dollars en avance d’honoraires de clients «peu fortunés et fragiles en raison de leur statut incertain face à l’immigration canadienne», selon la décision rendue. Elle aurait aussi fait preuve de négligence en n’exécutant pas les mandats reçus en plus d’avoir falsifié des signatures. 



    Lors du conseil de discipline, on lui reproche de n’«avoir rien fait pour indemniser les victimes» dans un délai raisonnable, d’«avoir menti» en faisant croire qu’elle avait rempli les mandats demandés et d’avoir «tenté de détruire la réputation et la crédibilité» de l’un de ses ex-clients. Le Comité de discipline souligne également «le peu de sens éthique» de l’avocate en regard des avances d’honoraires, «une faute grave qui touche à l’essence même de la profession, soit l’intégrité.» 



    La Sénégaise africaine de race noire du nom de Lydie Olga Ntap a également fait l’objet de six recours devant la Cour des petites créances entre 2001 et 2007 pour des mandats en matière d’immigration. Dans cinq cas sur six, la Cour a donné raison aux clients de Me Ntap qui a fait preuve de négligence en n’exécutant pas les mandats reçus pour lesquels elle a été payée. 


    Comment peut-on concevoir que des gens issus des pays les plus corrompus, conflictuels, chaotiques et anémiques de la planète puissent nous apporter autre chose que le recul, la détérioration, l'enveniment des choses?


    Source: Une Sénégaise africaine de race noire du nom de Lydie Olga Ntap coupable de nombreux méfaits


    En complément de lecture: 


    DÉCIVILISER LE QUÉBEC À TOUT PRIX? NON MERCI


  • Réjean Labrie Répondre

    8 mai 2021

    Le plus récent sondage Léger confirme que les Québécois authentiques ne désirent pas le moins du monde qu'une haïtienne et une arabe les mènent par le bout du nez.


    À 10 % d'appui chez les francophones , le PLQ est dans un creux historique dont il ne se remettra pas.


    Le PLQ est sans l'ombre d'un doute devenu le parti exclusif des anglophones et des allophones qui se positionnent ouvertement contre le Québec des Québécois de souche, le parti vendu qui veut nous mettre des bâtons dans les roues par tous les moyens.



  • Réjean Labrie Répondre

    12 février 2021

    Le chef de l’opposition à l’Hôtel de Ville de Québec Jean-François Gosselin ne s'en est pas laisser imposer par les sparages de nos deux mégères étrangères qui voudraient bien nous mener par le bout du nez.


    Il a pointé du doigt la cheffe libérale, Dominique Anglade, et la nouvelle porte-parole des dossiers de la capitale, Marwah Rizqy, deux « élues de Montréal », a-t-il pris la peine de souligner.


    « Mesdames, en tout respect, votre position par rapport au projet de tramway à Québec déraille, mais pas à peu près. Votre position ne reflète en rien la réalité de Québec, et je vous invite très respectueusement à aller consulter les citoyens de Québec », a lancé ce farouche opposant au projet du maire visiblement outré de leurs sorties respectives en chambre la veille et de leur appui à Régis Labeaume


    M. Gosselin nous indique la voie à suivre.


    Source: deux mégères étrangères remises à leur place


  • Réjean Labrie Répondre

    17 janvier 2021

    Une troisième étrangère du tiers-monde sous-civilisé à vouloir nous mener par le bout du nez.


    Fâcheuse tendance, à ces deux mégères inapprivoisables dont il est question dans l'article plus haut vient de s'ajouter une deuxième arabe musulmane, radicale cette fois-ci, au poste de commissaire contre le racisme des pures laine, nommée avec la complicité tacite de la mairesse Plante, qui ne cache décidément plus ses couleurs "les ethniques passent avant les de souche".



    Cette militante arabe, musulmane, tunisienne, étrangère, est intimement liée à des organisations belligérantes comme le Conseil musulman canadien qui s'en prend continuellement aux lois voulues par le peuple québécois et qui sont décidées pour eux par le gouvernement qui les représente.


    Une telle inculquée vendue à sa cause islamique ne saura jamais au grand jamais faire preuve d'objectivité dans ses agissements. Son biais sera toujours du bord des ethniques aggressants et jamais du bord des Québécois de souche qui veulent vivre dans leur pays selon leurs critères évolués, et non pas ceux des pays arriérés d'où ces immigrés viennent.



    Imaginez: cette militante aveuglée a osé traiter publiquement la grande et noble loi 21 sur la laïcité de l'État de suprémacisme blanc et de racisme. Ce faisant, elle a de fait amalgamé tous les Québécois dans ce qui devient une insulte grave à la population entière et à sa conception légitime du bien-vivre ensemble.


    Cette arabe musulmane doit être limogée sans délai avant même son entrée en fonction pour qu'elle ne commette aucun irréparable dégât.



    Elle doit être remplacée par un Québécois de souche nationaliste affiché qui saura défendre la population native contre les attaques répétées des minorités radicales et religieuses qui devront être constamment remises à leur place, afin de les astreindre à vivre au Québec selon nos règles établies, mais surtout pas les leurs.


    Devons-nous laisser une femme musulmane, arabe, tunisienne, étrangère, particulièrement vindicative, considérée comme militante radicale, dicter leur conduite aux Québécois? La réponse est non, pas question.