Saborder le navire amiral

PKP va démissionner au profit de Jean-François Lisée

Tribune libre

Démissionner n'est pas démissionner. C’est une évidence.

Ainsi libéré, Pierre-Karl Péladeau pourrait consacrer toutes ses énergies à combattre les Desmarais sur un même pied. Cela changera le calvaire de PKP mais en rien la position du Parti québécois; le navire amiral qui prend l’eau de toutes parts.

Le bateau amiral prend l’eau et ne se rendra jamais à bon port. C’est mission impossible!

Le Parti libéral souhaite que le PQ survive, que l’emblème du PQ flotte au haut du mat le plus longtemps possible, c’est une évidence. Vous savez tous pourquoi…c’est une évidence.

Alors pourquoi nous battons-nous? Pour un bateau qui prend l’eau? Pour changer le capitaine? Pour rapiécer le bateau? Pour un emblème terni par un parti peinturé dans le coin, ou pour l’indépendance? Se battre dans un tel contexte est devenu anti-démocratique, ou plutôt, faut le dire, les chiffres ne sont plus là; les anglophones et les immigrants sont la majorité «démocratique». C’est mission impossible. Compter «seulement» sur les desouches, pour embarquer dans ce bateau, est une utopie; le bateau a subit trop d’avaries. Il faut le changer et changer sa mission pour que les anglophones, les immigrants et les desouches embarquent.

La mission. Parlons-en de la mission. Elle doit être changée : pour rallier les anglophones (actuellement obligés de voter libéral), pour rallier les immigrants «économiques» qui ne veulent surtout pas entendre parler du Parti québécois, fauteur de troubles, qui leurs rappellent pourquoi ils sont ici. Quelle serait la nouvelle mission porteuse? Une seule est envisageable : faire du Québec un endroit plus prospère que les autres provinces, plus démocratique pour que nos intérêts soient défendus bec et ongles.

Le capitaine. Parlons-en du capitaine PKP. Ne devrait-il pas démissionner au vue de la nouvelle mission? Bien sûr…mais pour nous présenter un nouveau bateau qui accueillerait aussi les anglophones et les immigrants. Si la nouvelle mission est porteuse, encore lui faudra-t-il rétablir sa crédibilité vis-à-vis l’ensemble des votes qui vont actuellement automatiquement au Parti libéral. Beau défi pour un capitaine sur un nouveau bateau qui n’est pas encore enregistré avec le DGE (Directeur général des Élections)! J’oubliais, tant que le nouveau bateau n’est pas enregistré, les lois ne s’appliquent pas à lui…

Que fait-on de l’ancien bateau «le Parti québécois»? Jean-François Lisée doit le saborder.

J’entends vos cris.


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18 commentaires

  • Robert J. Lachance Répondre

    11 février 2016

    Jean-François s’est très bien exprimé sur ses raisons de la défaite.
    http://jflisee.org/remous-meninges-sur-une-defaite/
    Beaucoup d’autres aussi dont Google a le secret.
    D’accord pour l’émergence, vous avez oublié Pierre Céré, ce n’est pas rien.
    Concernant la vérité, j’aime bien, sans fanatisme, cette chanson de Guy Béard :
    https://www.youtube.com/watch?v=jA3hNz5KQ34
    « Se pourrait-il que quelque soit les aménagements consentis par le PQ que ni anglophones ni les allophones ne quitteront l »
    Je ne comprends pas la question telle que formulée. Pouvez vous la refaire ?
    Ne tardez pas, le sujet s’immergera dans les catacombes de Vigile, bientôt, et alors qui lira ? Qui ? L’internaute qui demande à voir ici le moins récent en cliquant sur Tribune libre sous la liste, à la page d’accueil.

  • Gélinas Claude Répondre

    11 février 2016

    Moins de trente mois avant la prochaine élection et avant le printemps 2017 date du congrès national du PQ il s'impose de réfléchir au projet de pays. Car, il faut le reconnaître à ce jour, l'aggiornamento sur les causes des défaites successives du PQ et du BQ n'a pas été fait. L'on a préféré se mettre la tête dans le sable et se précipiter dans une course à la chefferie.
    Une course qui a vu l'avance constante de PKP, le retrait stratégique de BD récompensé par sa nomination comme leader parlementaire et l'émergence d'une relève dynamique dont font partie Alexandre Cloutier, Véronique Hivon et Martine Ouellet.
    Quant à JF Lisée il s'est disqualifié pour avoir dit la vérité autant sur la fiducie sans droit de regard que sur les paradis fiscaux dont il a su taire l'existence. Se pourrait-il que quelque soit les aménagements consentis par le PQ que ni anglophones ni les allophones ne quitteront l

  • Robert J. Lachance Répondre

    11 février 2016

    La question de démissionner ou pas pour PKP ne se posera que lors du congrès national du PQ au printemps 2017.
    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201512/14/01-4931259-le-prochain-congres-du-pq-au-printemps-2017.php
    Jean-Marc Salvet du Soleil s’attend à ce que le PQ y revoit son article 1 :
    «Aspirant à la liberté politique, le Parti québécois a pour objectif premier de réaliser la souveraineté du Québec à la suite d'une consultation de la population par référendum tenu au moment jugé approprié par le gouvernement.»
    Selon l’article 22 des Statuts du parti, PKP aura à y gagner un vote de confiance.
    LE VOTE DE CONFIANCE
    22. Lors du premier congrès national qui suit une élection générale au Québec, les déléguées et les délégués procèdent à un vote de confiance au scrutin secret à l’endroit de la ou du chef du Parti. Dans le cas où la ou le chef du Parti n’aurait pas obtenu la majorité des suffrages exprimés, le Parti doit procéder à l’élection de la ou du chef du Parti selon les dispositions prévues à la section V du présent chapitre.

    Ce seront les délégués à ce congrès et non tous les membres du PQ qui auront à se prononcer sur l’adéquation de PKP comme chef du parti.
    Malgré 76,2 % d’appui à ce vote de confiance en 2005, Bernard Landry avait démissionné.
    http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/nouvelles/200506/04/003-demission-landry.shtml
    Lors du récent congrès d'ON, Sol Zanetti a obtenu 99,01 % d'appui des membres présents.

  • Archives de Vigile Répondre

    10 février 2016

    Je pense qu'il faut revoir le projet souverainiste et le faire évoluer vers un projet de vraie confédération pour le Canada car bien que j'aimerais un référendum gagnant sur l'indépendance demain matin, il n'y a plus de volonté au Québec de la part de la majorité de se séparer complètement du Canada. La population du Québec a peur et ne veut pas s'engager dans ce processus. On le voit par les résultats des élections de 2014 au Québec, de 2015 au fédéral et par le dernier sondage.
    Je pense qu'on devrait au PQ réécrire le programme et l'article 1 et écrire que bien que le souhait du Parti Québécois a toujours été l'indépendance du Québec, ce parti s'engage à proposer un référendum pour faire du Canada une vraie confédération et récupérer tous les pouvoirs en matière de langue, culture, intégration des immigrants, programmes sociaux (pension, assurance-emploi, allocation familiale aux enfants, perception des impôts des particuliers), ressources naturelles et transport.
    Le fédéral s'occupera de l'armée, monnaie, poste, affaires étrangères, douanes, sécurité du territoire canadien, vétérans, péréquation. Chaque province aura le pouvoir de récupérer tous les pouvoirs que le Québec aura s'il le souhaite.

  • Archives de Vigile Répondre

    10 février 2016

    Un texte sur lequel je suis tombé ce matin et que j'aurais aimé partager avec PKP et JFL:
    "Howard Zinn observe que le politicien souffre d’un défaut inhérent à sa position (et qu’on ne peut, par conséquent, lui reprocher qu’avec une certaine modération) ":
    « Sa lecture du monde est statique et ne tient pas compte des mouvements réformateurs, en cours ou imminents, qui modifient l’équilibre des forces au moment même où il prend une décision. En conséquence toutes les décisions politiques ont tendance à être conservatrices. Plus encore, le politicien est si occupé à évaluer les forces en présence qu’il en oublie de tenir compte de son propre pouvoir. Un pouvoir dont il se sert pour lire l’opinion publique et non pour essayer de la faire bouger »
    Howard Zinn, L’Impossible neutralité, Autobiographie d’un historien et militant, Traduit de l’anglais par Frédéric Cotton, Editions Agone, 2006, p. 134.
    Tiré de: http://promphilo.blogspot.ca/2007/05/la-politique-le-langage-et-la-culture.html

  • François Ricard Répondre

    10 février 2016

    M. Gauthier,
    Si la question identitaire n'est pas à la base de notre quête d'indépendance et qu'il faudra la reprendre seulement après que nous ayions atteint cette indépendance, pourquoi ne pas la mettre de côté pour de bon?
    Accepter de nous assimiler, faire de l'anglais la langue officielle du Québec seraient des atouts considérables pour amener les anglophones et les allophones à se joindre à nous. La grande indépendance: notre disparition complète.

  • Robert J. Lachance Répondre

    10 février 2016

    Méchante prédiction en titre !
    Vous êtes-vous inspiré de ce sondage ?
    http://www.ledevoir.com/documents/pdf/sondage020816_qc_pol.pdf
    Le PQ chute de 3 %, de 32 à 29 dans l’intention de vote hypothétique; PKP de 5 %, de 22 en novembre dernier à 17 début février 2016, au dépend de Françoise David et aucun de quatre.
    Les autres partis que le PLQ, le PQ, la CAQ et QS bondissent de 3 à 5 % dans la province, en particulier dans la RMR de Québec. ON, le PCQ ou le Parti des sans parti ?
    Le Québec est un territoire habité par un peuple fondateur, en trois périodes, plurinational : les Premières-Nations, la Deuxième, la Troisième. La Deuxième majoritaire doit le reconnaître autant pour la Troisième que pour les Premières. Ce n’est pas le cas dans le projet Liberté-Nation de Me Guy Bertrand ni dans les Statuts récemment adopté chez ON.
    J’imagine que c’est encore moins le cas au PQ ou chez QS tout comme dans le chapitre VIII, L'État du Québec, de La souveraineté du Québec : Hier, aujourd'hui et demain de Jacques Parizeau, 2009.
    Avec ce changement dans la présentation du projet, je ne m’attendrais pas à terriblement plus de oui des anglophones mais à plus de oui des francophones et des allophones après exposition d’un projet excitant et sécuritaire sur trois générations dont l’objet ne serait pas particulièrement la prospérité mais entre autre la réduction des inéquités présentes et à venir.
    Comme il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu, il faut rendre à PKP ce qui est à PKP et à JFL ce qui est à JFL. Je suis assez d’accord avec D. Drouin 10 février 02h05 à ce sujet. Une constitution saurait permettre au peuple de faire la part des personnes. À ce titre, une bonne main pour le Parti des sans parti et pour l’Assemblée constituante citoyenne du Québec (ACCQ).
    http://sansparti.org/le-parti/
    http://constituantecitoyenne.quebec

  • Archives de Vigile Répondre

    9 février 2016

    Quelle idée saugrenue, monsieur! Et quel discours défaitiste et pessimiste.

    Jean-François Lisée possède de grandes qualités: il est efficace à l'Assemblée nationale, très intelligent et dévoué dans son comté. Il s'exprime bien mais je ne pense pas qu'il soit rassembleur. Il n'a pas plus de charisme que PKP. Et depuis qu'il a eu la mauvaise idée de qualifier publiquement de bombe à retardement le double rôle de PKP comme chef de parti et actionnaire de contrôle de Québecor durant la course à la chefferie, pour certains militants son chien est mort.
    Les militants ont mis leur confiance en PKP parce que son seul objectif est de faire l'indépendance et non de la "petite politique". D'ailleurs, il n'aime pas la politique. Il veut faire du Québec un pays, point. Ils l'ont choisi parce qu'il représente l'homme d'affaires d'expérience qui a réussi et qui saurait rendre plus prospère le pays du Québec. Parce que c'est un battant, un entêté qui ne supporte pas l'échec. Et même si ce n'est pas apparent, je pense que c'est aussi un habile stratège qui n'abat son jeu qu'au moment crucial.

    Je vous concède qu'il a ses défauts, qu'il commet des maladresses, fait trop parler de lui pour les mauvaises raisons. Mais j'ai l'impression qu'on n'a pas encore vu le vrai PKP. Le PKP qui au moment le plus opportun sera de tous les chefs celui qui aura pagayé avec le plus de force et d'acharnement pour mener le bateau à bon port. En attendant, il hisse les voiles.
    J'espère que vous réalisez que remplacer PKP par Jean-François Lisée ferait à coup sûr couler le navire amiral dont vous parlez.

  • Peter Benoit Répondre

    9 février 2016

    @ Richard Gauthier
    Les anglophones et leurs immigrants sont beaucoup plus intéressés à partitionner le Kwaybeck que de faire une quelconque alliance...
    Bientôt, je l'espère, le PQ et/ou l'Institut sur l'indépendance proposeront un projet de constitution du pays du Québec. Il y aura sûrement des enjeux sur les minorités anglophones et des Premières Nations qui devraient faire l'objet de discussions. Or, c'est dans ce cadre qu'on verra s'ils ont vraiment un intérêt à prospérer avec ou sans nous.
    Histoire à suivre.

  • François A. Lachapelle Répondre

    9 février 2016

    Richard Gauthier est un provocateur, plus agent double qu'espion. Sa conclusion " J'entends vos cris " est son aveu.
    Ce provocateur pêche en eau trouble, celle de PKP et du PQ: que se passe-t-il sous les eaux troubles de la surface ? Quant aux eaux troubles du PQ, cela devrait concerner en premier lieu les élus du PQ. Espérons qu'ils auront la sagesse ensemble de récurer leurs écuelles au profit de tout le Québec: c'est un souhait urgent que j'exprime.
    Revenons au provocateur Richard Gauthier. Je retiens cet extrait de son texte: « Quelle serait la nouvelle mission porteuse ? Une seule est envisageable : faire du Québec un endroit plus prospère que les autres provinces, plus démocratique pour que nos intérêts soient défendus bec et ongles
    Gauthier semble faire une équation, une égalité entre 2 notions: Québec + prospère = Québec + démocratique.
    L'équation qui prévaut actuellement est loin de celle proposée par Gauthier. En ce moment au Québec: nous vivons dans un Québec + oligarchique = un Québec de moins en moins démocratique.
    Il faudrait que Richard Gauthier nous explique comment faire le passage d'un Québec oligarchique à un Québec démocratique. À vous la parole Richard Gauthier. Nous verrons de quel bois vous vous chauffez.

  • Richard Gauthier Répondre

    9 février 2016

    Monsieur Ricard, il ne s’agit pas de renier l’aspect identitaire, bien au contraire, il s’agit d’en faire un atout…après l’indépendance. Un atout «économique» pour nous distinguer dans cette mer anglo-saxonne d’Amérique. Quand nous avions presque la majorité, c’était bien de défendre notre identité; maintenant, mathématiquement il est trop tard.
    La raison principale de cette quête d’indépendance identitaire passe par un projet qui doit intéresser les anglophones et les immigrants : la langue, notre culture n’est pas vendeur, l’économie, notre richesse potentielle dans nos seules mains? Réunis dans un nouveau vaisseau amiral, sous une nouvelle bannière qui ne porte pas l’héritage de nos chicanes de familles, accueillants; pourrons-nous utiliser la culture québécoise comme outil de développement économique. Oui. Les anglophones et les immigrants seront avec nous, unis, pour notre plus grande prospérité.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 février 2016

    ''Oh!...'' Dirait le roi confiant en sa protection divine... ''Oh! Vous qui savez, préservez-moi de mes proches, mes adversaires et mes ennemis, je m'en occupe...''

  • Lise Reid Répondre

    9 février 2016

    En complet désaccord avec votre position . Soit vous êtes tombé dans le piège de
    radio-canada et compagnie soit vous êtes un joker.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 février 2016

    Monsieur Gauthier,
    Ce qui se passe avec PKP était inévitable. L'homme manque de charisme mais pas d'intelligence. Pour le moment, il a ma confiance.
    Lisée a été conseiller de Bouchard lors de la fusion des villes et l'affaire Michaud. J'aime bien ce qu'il dégage mais son intelligence s'apparente peut-être à celle du serpent. J'espère me tromper.
    Pour l'heure, PKP observe... et fait le ménage au sein de ses troupes. Peut-être qu'en effet le PQ est un navire troué et irréparable. J'attends de voir le courage se pointer le nez chez le PQ et surtout des éléments solides sur le plan stratégique.

  • Richard Gauthier Répondre

    9 février 2016

    Monsieur Ricard, votre intervention est très pertinente. La mienne faisait justement la critique de ce chemin que nous prenons pour y arriver. Pas parce que vous avez tord, mais plutôt parce que ce chemin «direct» nous mène dans un cul de sac que le nombre de «desouches» ne permet plus. L'hypothèse que je soulève n'était pas complète en effet. L'hypothèse aurait dû se poursuivre avec la culture. Disons que nous somme indépendant; sur la base que j'ai identifiée comme rassembleuse (prospérité pour tous les québécois: anglais et immigrés unis aux desouches). Comment allons-nous être plus prospère en y ajoutant notre culture en priorité (j'oublie sciemment la notion de décisions rapprochées qui nous donneraient les moyens de penser à nous en priorité)? C'est là que votre remarque prend tout son sens. Pour prospérer il faut offrir quelque chose qui est unique et à de la valeur en Amérique du nord. Je parle justement ici de la culture québécoise francophone. Maintenant unis avec les anglos et les immigrants, je fais le pari qu'ils seront les plus heureux du monde de promouvoir la culture québécoise? Car nous prospérerons. Je parie que PKP ne sera pas loin pour nous conseiller?

  • Archives de Vigile Répondre

    9 février 2016

    M Richard Gauthier.
    Je ne fait personellement jamais dans la personnalitée, mais cette fois par respect pour le bon sens, je crois que vous n'y connaisser absolument rien.

  • François Ricard Répondre

    9 février 2016

    Renier l'aspect identitaire de l'indépendance est, à toutes fins pratiques, reconnaître que l'indépendance n'est pas nécessaire.
    Pourquoi voulons-nous nous donner un pays? Quelle est la raison principale de cette quête d'indépendance? C'est de nous assurer d'abord et avant tout de la pérennité de notre nation en sa culture, sa langue et son histoire. Et ni les anglophones ni les immigrants n'auront jamais à coeur pareil but.
    Nous savons aussi qu'en devenant indépendants, nous serons maîtres de toutes les grandes décisions qui relèvent d'un état: l'économie, les ententes, les services, etc.Mais ce sont là les fruits que nous récolterons de l'indépendance.

  • Normand Paiement Répondre

    9 février 2016

    Monsieur Gauthier,
    Pour rappel, aujourd'hui est Mardi-Gras, jour de Carnaval par excellence où les "fous" sont libres de s'exprimer en toute liberté.
    Bravo pour votre prestation!
    Au suivant...
    Normand Paiement