Je suis Sylvain Dorais, j'étais le témoin principal dans l'affaire d'une poursuite en diffamation qui opposait Claude Blanchet et Pauline Marois contre le journal The Gazette.
Après avoir été convoqué chez la firme d'avocat (du couple Blanchet - Marois mercredi le 9 mars 2011) Heenan Blaikie pour la préparation de mon témoignage, quelle ne fut pas ma surprise lorsque le lendemain monsieur Blanchet m'annonçait au téléphone que finalement le journal The Gazette a décidé de donner gain de cause au couple Blanchet/Marois et un règlement hors cour est survenu libérant monsieur Blanchet et Pauline Marois hors de tout doute et qu'ils avaient fait les choses en bonne et due forme.
Grâce à une simple personne déterminée à faire la lumière sur cette histoire et à enlever l'étiquette de diffamation contre le couple, j'étais prêt à aller témoigner en cour avec la ferme intention de faire ravaler les écrits et les paroles du journal The Gazette et de tous les autres mauvais journalistes comme TVA et leur connard de journaliste d'André Jobin qui n'avait pas aimé ma parution dans son torchon de reportage.
Je tiens aussi à dire que cette même firme TVA a passé plus de deux heures à essayer sur le terrain de mon père à lui faire dire que le chalet n'existait pas et que tout ça avait été orchestré, j'ai été profondément offusqué que de voir un minable journaliste essayer de s'en prendre à une personne de 85 ans qui n'a plus tous ses moyens pour se défendre.
Je tiens aussi à dire que Paul Arcand avait eu un tempérament très hautain lorsque j'avais passé en entrevue et qu'il ne croyait pas lui non plus que ce que je disais était la vérité.
Franchement, vous êtes une bande de journalistes minables et incapables de prendre de vraies informations.
Non, on préfère se fier au ouï-dire de taré de journalistes anglophones qui viennent salir la réputation d'honnêtes gens.
Mais le plus hautain et surtout le plus cave d'entre toute cette bande de minables et mauvais journalistes est sans doute Jean-René Dufort qui se prend pour une super star mais qui dans le fond est plutôt un cancre de la pire espèce en fait de journaliste.
Alors moi, simple citoyen qui côtoie monsieur Blanchet lorsque je vais rendre visite à mon paternel, lui ai offert mon aide et ce, bénévolement, afin que Pauline Marois puisse se débarrasser de cette fausse étiquette qui lui avait imposée par toute une bande de vautours de mauvais journalistes.
Grâce à mon témoignage, j'ai réussi à faire trembler le puissant journal The Gazette et ils n'ont pas voulu se présenter devant le juge car ils savait à ce moment que leur chien était mort et que plutôt que de perdre la face aux yeux du monde, The Gazette a décidé de régler hors cour en faveur de Pauline Marois et Claude Blanchet qui ont été transparents dans cette affaire et qui ont utilisé le droit du chalet, qui a bel et bien existé et a été habité jusqu'à la fin de 1979 par Marcel Turcotte.
Je tiens à féliciter mes deux amis Claude Blanchet et Pauline Marois de leur victoire et il faut le clamer haut et fort que The Gazette est un torchon qui vend une salade avariée.
Je joins le subpoena de la poursuite en guise de preuve de ce que j'avance