Devant toutes les promesses d’amélioration du fédéralisme au Canada, on nous permettra d’être sceptiques. D’abord, on les réalise rarement (pensons à Trudeau père mettant son siège en jeu pour du « changement » en 1980…). Ensuite, n’étant pas constitutionnalisées, leur nature est fragile.
L’ère Harper s’ouvrit sur le projet de « fédéralisme d’ouverture », lequel devait mettre fin, martelait le chef conservateur, au « fédéralisme dominateur » des années Chrétien-Martin.
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FÉDÉRALISME À L’ÈRE JUSTIN TRUDEAU
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