Un de mes amis m’avouait dernièrement : « j’ai remarqué dans les médias une certaine recrudescence des « intégrismes » au Québec ». Je lui ai dis qu’il y a longtemps que les « intégrismes » en mène large au Québec. Une affirmation « gratuite » diront certains. Peut-être, mais cela ne m’étonne pas d’eux puisque la notion de gratuité dépasse leur facultés humaines; ils préfèrent nous vendre avec intérêts le débat du hijab, du niqab et du «pukapab». Ces trois crucifix de parlements, ces trois entité laïque et religieuse devenus le «saint» des «saint» du discours démocratique canadien.
Une façon détourné de piper le véritable débat celui qui fait rage depuis la nuit des temps : comment un peuple lorsqu’il est soumit à un autre peut-il obtenir sa liberté de façon pacifique ou politique ? Pas évident si on considère le fait que le peuple soumit se voit dans l’obligation de transiger avec celui qui le maintient sous sa coupe. Surtout n’essayez pas de vendre une mule à un «pur-sang» il vous accusera de le prendre pour un âne.
Pas étonnant que nos chers «médias de messe» préfèrent nous faire faire la promenade du débat multiculturel sous influence plutôt que de nous avouer qu'ils couvent eux aussi- pour faire l'analogie - du «prêtre pédophile».
Non ils ne l'admettrons pas. Ils préfère nous faire faire le voyage «du Lys» en bateau en passant entre Charybde et Scylla, en évitant Israël, la Palestine et surtout la réalité de la majorité québécoise au sein d'un Canada amnésique. Appelons cela aller de Jérusalem en Jérusalem ou l'idéologie de l'oublie doublé d'un immobilisme précambrien.
Un débat à sens unique qui ratisse large: économique religieux, politique, philosophique, juridique sans oublier le «sociologique». Aussi ne vous demandez pas pourquoi au Québec le sociologue mange maigre et n'en mènent pas large lorsque vient le temps de se dénicher un emploi.
Question «lucidité d'expression» on pourrait demander à « Lulu in the skie with diamond » pourquoi au Québec un état forcément laïque la question de «l'affichage religieux» refait surface au dépend de l’affichage de la langue française tout court voir l'affichage du problème relatif à la lente assimilation du peuple québécois ?
Vous pouvez aussi vous demandez pourquoi notre «Lucide national» s’est déchiré la soutane de force sur la place publique ? Pourquoi avoir choisit ce moment précis et ce débat en particulier pour rompre son vœu de silence ? Certains disent que poser la question c’est d’y répondre: les conditions gagnantes ne doivent pas être loin.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
25 mars 2010La mystérieuse Sainte-Famille B :
« Quand Claude Béland demande à Lucien Bouchard si le Parti québécois participera à ce forum. Il s'étonne de la réponse cinglante de ce dernier : « Le PQ ? Jamais !». Claude Béland constate alors que Lucien Bouchard déteste le Parti québécois, ses militants et son chef. « Il critiquait beaucoup le Parti québécois, avoue Claude Béland. Il n'aimait pas le style de Parizeau...c'est « un parti trop militant...»
Source :
Pierre Duchesne, Jacques Parizeau, T.III, Le Régent 1985-1995, Québec Amérique, 2004, page 177.