INDÉPENDANCE DU QUÉBEC 298

Le premier Canada (4/5)

« L’Angleterre triomphe en Europe et en Amérique ; la France est forcée de demander la paix. »

Chronique de Bruno Deshaies


Le Canada en Nouvelle-France

« La population française de la colonie du Canada

est jetée comme dans une prison

dans le monde anglais. »


Le milieu du XVIIIe siècle en Amérique annonce « un grand triomphe de l’expansion coloniale » britannique et la prépondérance du monde anglo-saxon. Quant à la colonie française du Canada, elle subira, en première place, son intégration dans l’Empire britannique et le choc de l’anglicisation. Par conséquent, après 1760, les Canadiens sont plongés dans le gouffre de « la prépondérance de la zone anglaise sur toute l’Amérique ». Ils ne sont plus seuls maintenant et, surtout, ils sont collectivement désorganisés. Comme l’a écrit l’historien Guy Frégault, collègue de monsieur Séguin au Département d’histoire de l’Université de Montréal, dans La société canadienne sous le Régime français : « En 1760, le Canada est écrasé. […] En 1760-1763, le Canada n’est pas simplement conquis, puis cédé à l’Angleterre ; il est défait. […] En 1763, il reste encore des Canadiens, il ne reste plus de Canada. » (Brochure No 3 de la Société historique du Canada, 1954.) Pourquoi ? Frégault répond : « Défaite signifie désintégration. Une armée subit la défaite : il peut rester des soldats, il ne reste plus d’armée. » (Ibid.)
Croire que nous pouvons fêter le 400e anniversaire de la fondation de Québec comme l’acte de naissance du Canada anglais actuel, c’est d’une fumisterie inimaginable (cf. NOTES). Constater que des souverainistes se prêtent de bonne grâce à toute cette mascarade tient inévitablement du processus d’assimilation qui est en cours dans la conscience même d’une majorité de Québécois-Français. La propagande fédéraliste fonctionne à fond de train sous nos yeux et on n’y voit que du feu. Vive les contestations pacifistes, les révoltes contre les pollueurs de l’environnement, les indépendantistes encouragés par leur révolte anti-péquiste, etc. On agit peu pour faire du travail de sape nécessaire afin d’extirper le virus du fédéralisme qui imprègne toute la conception du politique au Québec contre le séparatisme québécois. Regroupons-nous solidement au plan des idées, comme me le laissait entendre un ami de Québec, pour mettre fin à « la chicane dans la cabane » !
Bruno Deshaies
***
HIST 585 Introduction à l’histoire du Canada
Maurice Séguin
Synthèse générale de l’évolution

politique et économique

des deux Canadas
III – Probabilités
1- POUR LA FRANCE :
Elle n’est certes pas menacée dans son intégrité politique ou économique, mais dans [sa] prépondérance.
2- POUR LE CANADA : DEUX POSSIBILITÉS :
a) abandonner l’immense territoire indéfendable et replier ses forces pour tenter de ne conserver que la vallée du Saint-Laurent.
b) agacée par une colonie française en Amérique l’Angleterre exigera que la France se retire ; il restera à la colonie à disparaître ou à devenir l’appendice d’un monde anglais en perdant son intégrité.
IV – Premier choc (1701-1713)
1- CAUSE :
La France hériterait du monde espagnol, ce qui est intolérable de la part de l’Angleterre… la guerre commence en Amérique en 1703…
2- RÉSULTATS :

En Europe : succès des Anglais et des coalisés ;

En Amérique : les Français connaissent le succès au début, mais en 1710, les Anglais s’emparent de l’Acadie.
3- LE MONDE ANGLAIS EXIGE LE RETRAIT :
de l’Amérique française, mais est près à laisser à la France la vallée du Saint-Laurent. Sur papier, la France et le Canada acceptent, mais en pratique…
4- C’EST UN REFUS :
acceptation théorique qui est un refus en pratique
V – Deuxième choc (1760)
1- CAUSE :
En Amérique, dans la vallée de l’Ohio ; choc entre les deux colonies.

La guerre est voulue par les deux systèmes coloniaux : les Français veulent effacer le traité de 1713, les Anglais au début veulent obtenir le respect des exigences de ce traité.

La guerre se propage en Europe et partout dans le monde.
2- RÉSULTATS :
L’Angleterre triomphe en Europe et en Amérique ; la France est forcée de demander la paix.
3- L’ANGLETERRE EXIGE L’ABANDON TOTAL :
Elle ne prend pas de chance cette fois-ci et veut régler définitivement la question.
La France doit renoncer définitivement à la colonisation de l’Amérique… elle se retire.
4- LA FRANCE VEUT INTERCÉDER, MAIS… :
La population française de la colonie du Canada est jetée comme dans une prison dans le monde anglais.
C.- 1760 Résultats
I – Résultats mondiaux
1- TRIOMPHE DE L’« ANGLO-SAXONDOM » :
C’est plus que le triomphe de l’Angleterre, plus que le triomphe de l’Empire britannique, c’est celui de toute la civilisation anglaise. À l’origine du grand succès du monde anglo-saxon, qui va connaître une expansion coloniale considérable en Amérique, en Asie et plus tard en Océanie (Australie et Nouvelle-Zélande) ; on jette les bases d’un grand bloc mondial, le monde anglo-saxon. Malgré ce qui pourra arriver aux colonies, il reste un fait indéniable : un grand triomphe d’expansion coloniale.
En 1950, le bloc anglais comprenait : 230 000 000 répartis comme suit : en Angleterre : 50 000 00 ; dans les dominions : 30 000 000 ; aux États-Unis : 150 millions.
2- LA PLUS GRANDE DÉFAITE DU MONDE FRANÇAIS :
Les défaites de Napoléon ne sont rien en comparaison de celle-là : c’est la perte de la vallée du Saint-Laurent, de la région de Chicago et de la région des Lacs pour la civilisation française. C’est la perte de la région la plus riche du monde. La France devra renoncer à être le noyau qui va servir à l’assimilation de petites nations.
II – Résultats européens (suite à la prochaine chronique)
RÉFÉRENCE :
Maurice SÉGUIN, « Synthèse générale de l’évolution politique et économique des deux Canadas. » Notes de cours établies par les étudiants qui ont suivi le cours HIST 585 intitulé « Introduction à l’histoire du Canada » en 1961-1962. Description : « Sociologie du national. Les principales explications historiques de l’évolution des deux Canadas. » (Université de Montréal, Département d’histoire.)
NOTES :
Ne perdons pas de vue les événements prochains en 2008. Le Canada de 1608 est encore présent en nous aujourd’hui. Or, un autre gouvernement tente de se substituer à nous – ce qui est de la subordination par superposition – comme dépositaire et fiduciaire de notre histoire de Canadiens en Nouvelle-France. Quel culot ! Et dire que l’historienne Louise Beaudoin… va y participer pour la francophonie au nom du Canada.
Jacques ROUILLARD, historien. [« Le 400e de Québec à la lumière de... 1908 ! »->9417] Le Soleil. samedi 29 septembre 2007 (« Analyse).

L’auteur s’intéresse, entre autres, aux commémorations. Celle du 400e anniversaire de Québec lui a permis de positionner l’évolution de la pensée politique canadienne-française. Un article particulièrement instructif au moment ou le gouvernement fédéral tente par tous les moyens de monopoliser l’événement à son avantage. L’auteur se questionne sur cette commémoration historique : « Sera-t-elle finalement l’évocation de la naissance de la nation québécoise ou canadienne ? » Comme quoi le présent fait partie de la longue durée en histoire : il façonne notre mémoire collective. Une fois de plus pour dire que « mémoire et « histoire » ne doivent pas être confondues. Mais la mémoire… Or, à la place, si l’histoire guidait les Québécois-Français, ils commettraient moins d’erreur sur le chemin qui devrait les conduire à leur indépendance collective.
Jacques ROUILLARD, historien, [« Du 300e au 400e »->9418]. Cyberpresse.ca

Les visites royales au Canada
1908 : « …Québec, le « berceau » du Canada dans son entier… »

(Société Saint-Jean Baptiste de Québec)


Le prince de Galles a été accueilli chaleureusement par la population de Québec en 1908.

Photo fournie par le Musée de la Civilisation
1951 : Visite Royale de leurs Altesses la princesse Elizabeth
et le duc d'Édimbourg
Le couple effectue sa première visite au Canada du 8 octobre au 12 novembre 1951.
Il parcoure alors le pays d'un océan à l'autre en 36 jours.
Visite à l’université de Montréal. Le quadrilatère entourant les rues de l’université avait été fermé. Une arche de triomphe avait été érigée et deux grands mâts au socle bleu et portant la fleur de lys s’élevaient de chaque côté du grand escalier qu’il fallait alors gravir pour se rendre à la montagne. Les étudiants s’étaient joints à la foule pour applaudir Son Altesse Royale, accompagnée du duc d’Édimbourg.
Une immense cérémonie avait été aussi organisée au stade De Lormier à Montréal.
1964 : Le samedi de la matraque


Photo prise lors de la visite

de la reine Élisabeth II en 1964

Archives Le Soleil
2008 : « Le rappel de la fondation de Québec… sera-t-elle finalement l'évocation de la naissance de la nation québécoise ou canadienne ? »
« La commémoration l’an prochain du 400e anniversaire de la fondation de Québec a donné lieu à un chassé-croisé sur la signification que le comité organisateur devrait donner à la célébration.
Pour les uns, la fête doit signifier la naissance de la nation québécoise ou de la francophonie québécoise alors que pour les autres elle doit comporter
une dimension pancanadienne. » (Jacques Rouillard)
Commentaire : Une célébration paisible et pacifique en 1908. En 1951, l’accueil du couple princier avait été délirant. En 1964, un cortège et une police armée surveille l’événement. Malgré tout, les cérémonies sont perturbées par des manifestations et surtout une intervention « musclée » de la police de Québec. Ce fut la journée qualifiée du « samedi de la matraque. » Au Centenaire de la Confédération canadienne en 1967, la visite de la reine Élizabeth II se fait plus discrète à Ottawa. Elle se rend aussi en visite à l’Expo universelle de Montréal. Pour le 400e anniversaire de Québec, que pourra-t-il bien se passer ? Ainsi l’histoire est faite du passé, du présent et de l’avenir. Hormis tout ce qu’on peut penser, la lutte nationale des Québécois-Français demeure une ligne de force de leur histoire. Il reste qu’elle ne s’est pas encore traduite par l’indépendance du Québec. BD/
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Histoire du temps présent
Deux suggestions de lecture :
– Première lecture
Nelly ARCAN, « Une peur qui fait peur. » Journal ICI, 27-09-2007.
Un concert d’observations sur la mosaïque culturelle du Québec. C’est ce qu’on dit. Mais cette mosaïque prend des allures folles dans l’esprit du «monde». Allez donc vous promener, pour rire, sur [espace.canoe.ca/accommodements/video->espace.canoe.ca/accommodements/video].
Des perles, je vous dis. C’était pourtant à prévoir. Ce qui reste incertain, c’est l’ampleur que va prendre le délire, une ampleur qui déjà en dit long sur notre désarroi devant la «menace» que sont les autres, ce péril venu d’ailleurs.
Ce qui se passe et se dit dans les salles bondées servant aux audiences sur les accommodements raisonnables prend des allures de cirque. Ce n’est pas que le «monde» soit con. C’est juste que le «monde» part un peu dans toutes les directions. C’est juste que le «monde», dans un monde ouvert, se raconte des histoires de peur. On a tous peur ensemble que notre «ensemble» se noie, disparaisse, s’écrase devant une majorité de foulards, de prières adressées à Allah, de kirpans, de juifs hassidiques.
Une amie lobbyste et moi, au hasard des forums sur lesquels on tombe, on se regarde. Dubitatives. On choisit de rire parce que, pour l’instant, c’est encore drôle. Concernant d’hypothétiques lois visant à encourager la natalité au Québec, un homme suggère que soit accordé aux parents le droit de voter autant de fois que ces dits parents ont d’enfants. Motivation rien tordue, un tantinet effrayante pour faire des bébés. Faisons cinq enfants et votons dix fois.
Un désordre dans les interventions rencontrant l’assentiment d’un public qui les applaudit, et qui sont souvent portées par un sentiment de danger, vieux comme le monde, celui d’être plus petits que les autres. On veut que le clan d’ailleurs rentre dans le clan d’ici. Mais ce clan, entend-on entre les lignes, on ne sait pas trop de quoi il est fait. D’égalité entre les sexes, oui. De langue française, oui. De valeurs judéo-chrétiennes. Là-dessus on s’embrouille. Un croyant prend la parole: «Tant pis pour les athées, parce que le bon dieu existe pareil!» Dieu-le-Père revient à nous, sous la forme d’une identité collective.
Un maire se prononce sur la place de la prière, la nôtre, dans les endroits publics: «On les aime ben, les politiciens, mais on ne va pas les laisser s’occuper de la morale de nos enfants.» Le problème, c’est qu’un maire, c’est un politicien.
Une femme se lève soudain, convaincue : «Un kirpan, c’est un couteau. Un couteau, c’est un couteau. Si Raël se promène avec une hache et décide que la hache est un symbole religieux, je voudrais pas voir une armée d’adolescents se promener dans les écoles secondaires avec des haches.» Ne surtout pas oublier que Raël a des armées d’adolescents fréquentant les écoles secondaires sous ses ordres. C’est de notoriété publique.
La petite communauté orthodoxe sikhe se meut, dans la bouche de cette femme, aux proportions d’une armée. Le clan devient une invasion d’adolescents empestés de testostérones, donc soumis à une rage meurtrière. On pense tout de suite aux tueries dans les écoles. Mais derrière l’équation kirpan/Columbine, ce que nous voyons, mon amie et moi, c’est l’incroyable peur de n’être rien, en tant que peuple. La peur de n’être rien d’autre qu’un peuple ouvert.
Il nous semble que les convictions des autres les rendent plus forts que nous, peuple de peu de convictions. Ainsi le voile sous toutes ses formes devient, dans le discours d’une femme, non pas une marque d’une religion millénaire, mais un complot, une pure provocation à la face de nos valeurs.
Il en va ainsi de beaucoup d’interventions. La chaîne des idées va droit à la catastrophe, et la catastrophe est aussi bien celle de notre assimilation par les clans d’ailleurs que celle de notre incapacité à assimiler les autres. Nous étions religieux et nous sommes devenus des gens ouverts, des gens de droits et des libertés individuels, de tolérance.
Qui va manger l’autre ? Et a-t-on raison d’avoir peur ? Une autre femme, la voix éplorée, finit par lâcher à un Gérard Bouchard à l’air, ma foi, consterné : « J’ai presque envie de vous dire de grâce, protégez-nous ! »
Je ne dis pas que cette commission n’est pas utile, je dis qu’elle sert surtout de défouloir où s’emballent les scénarios de fin du monde - le nôtre. Qui crèvera au contact des autres, et à force d’être indéfinissable. Allons. Ressaisissons-nous.
– Deuxième lecture
Bruno DESHAIES. [« JACQUES GODECHOT. Un discours sur l’unité du monde et son rapport à nous. »->archives/ds-deshaies/docs/01-10-25.html] Dans VIGILE.NET. Chronique du jeudi 25 octobre 2001.


Sur la page d’Accueil de Vigile.net 25.10.01
JACQUES GODECHOT

« Un discours sur l’unité du monde et son rapport à nous. »

Bruno Deshaies 25.10.01
« Dans l’histoire canadienne, les Canadiens-Français ont longtemps vu leur passé à travers l’agriculturisme. Aujourd’hui, ils le cherchent dans les chemins de travers de la québécitude et l’américanité. Nous sommes « Québécois », nous sommes des « Américains », nous pourrions même devenir, par la co-intégration, de « nouveaux » Québécois, et ainsi de suite. Notre faconde n’a d’équivalent que celle de nos fantasmes ! La finalité n’est même plus NOUS, mais les AUTRES. »

NOTE COMPLÉMENTAIRE :
S’il y a une leçon à tirer de la politique, c’est qu’un quelqu’un peut changer de « bord » sans se faire tuer et même traverser d’un côté à l’autre le parquet de la Chambre du Parlement ou de l’Assemblée nationale sous des applaudissements.
Quand tout un peuple se refuse de lire les grands phénomènes primordiaux de son histoire, il n’y a plus de surprises quant à son avenir. Il est, comme Nelly Arcan l’a écrit en fin de semaine dans ICI : « Je ne dis pas que cette commission [Taylor Bouchard] n’est pas utile, je dis qu’elle sert surtout de défouloir où s’emballent les scénarios de fin du monde – le nôtre. Qui crèvera au contact des autres, et à force d’être indéfinissable. Allons. Ressaisissons-nous. »

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Bruno Deshaies209 articles

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BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pensée de Maurice Séguin. Vous trouverez son cours sur Les Normes (1961-1962) à l’adresse Internet qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 (N. B. Exceptionnellement, la numéro 5 est à l’adresse suivante : http://www.vigile.net/Les-Normes-en-histoire, la16 à l’adresse qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-15-20,18580 ) et les quatre chroniques supplémentaires : 21 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique 22 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19364 23 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19509 24 et fin http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19636 ainsi que son Histoire des deux Canadas (1961-62) : Le PREMIER CANADA http://www.vigile.net/Le-premier-Canada-1-5 et le DEUXIÈME CANADA : http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-1-29 et un supplément http://www.vigile.net/Le-Canada-actuel-30

REM. : Pour toutes les chroniques numérotées mentionnées supra ainsi : 1-20, 1-5 et 1-29, il suffit de modifier le chiffre 1 par un autre chiffre, par ex. 2, 3, 4, pour qu’elles deviennent 2-20 ou 3-5 ou 4-29, etc. selon le nombre de chroniques jusqu’à la limite de chaque série. Il est obligatoire d’effectuer le changement directement sur l’adresse qui se trouve dans la fenêtre où l’hyperlien apparaît dans l’Internet. Par exemple : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 Vous devez vous rendre d’abord à la première adresse dans l’Internet (1-20). Ensuite, dans la fenêtre d’adresse Internet, vous modifier directement le chiffre pour accéder à une autre chronique, ainsi http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-10-29 La chronique devient (10-29).

Vous pouvez aussi consulter une série de chroniques consacrée à l’enseignement de l’histoire au Québec. Il suffit de se rendre à l’INDEX 1999 à 2004 : http://www.archives.vigile.net/ds-deshaies/index2.html Voir dans liste les chroniques numérotées 90, 128, 130, 155, 158, 160, 176 à 188, 191, 192 et « Le passé devient notre présent » sur la page d’appel de l’INDEX des chroniques de Bruno Deshaies (col. de gauche).

Finalement, il y a une série intitulée « POSITION ». Voir les chroniques numérotées 101, 104, 108 À 111, 119, 132 à 135, 152, 154, 159, 161, 163, 166 et 167.





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