Quelque chose d’irréparable s’était produit
lorsque les hommes avaient accepté de donner aux choses
des noms qui ne leur convenaient pas (…)
Danièle Sallenave
Un printemps froid
Qu’il s’agisse d’accommodements religieux,
linguistiques ou territoriaux,
le Parti québécois cherche le bon angle sous lequel
regarder les choses.
Quand il n’y a pas de problème, à quoi bon envisager des solutions?
De toute façon, rien n’existe que la souveraineté
ne saurait régler
même si elle tarde à venir.
Certains demeurent attachés au PQ comme d’autres au Canada.
Ils espèrent.
Peut-être qu’avec Pauline Marois
le parti contemplatif redeviendra un parti politique…
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3 commentaires
Archives de Vigile Répondre
30 août 2007La vraie loyauté des citoyens est possible seulement lorsque la fidélité est exempte de tout contenu matériel, dont dérivent de façon naturelle les changements de critère.
Archives de Vigile Répondre
30 août 2007Et l'enfer est pavé de bonnes intentions...
Facile! mais toujours vrai.
Marie Mance Vallée
Archives de Vigile Répondre
29 août 2007Vous avez raison.
L'espérance Mme Moreno, y'a rien de plus beau.
Parlez d'attachement, de contemplation et d'espérance vous sert bien. Le chemin à parcourir vers un but "souverainiste au autre" est souvent plus intéressant que son atteinte.
Le PQ cherche le bon angle...parfait. Pourquoi chercher le mauvais ?