JJC attaque les "esprits radicaux" de Vigile

PLQ de JJC - Confiscation de l'État


Charest n'aime pas Vigile.net
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_ Visionnez la période de question du 18 octobre 2010.

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Grâce à l'intervention généreuse de JJC à l'Assemblée nationale ce 18 octobre, Vigile a reçu 12 017 visiteurs (un record de tous les temps pour Vigile) ET une somme totale record en dons! Vraiment efficace JJC en collecteur de fonds. Ah! Si j'avais des enveloppes brunes, je pourrais lui envoyer sa cote... Ensuite, rassurons JJC: il faut comprendre que Vigile ne prône pas la Violence, vous avez mal lu, Vigile prône la Vigilance... mais vite dit, comme ça, on peut se tromper. Enfin, donnons à JJC ce qui lui revient: il ne s'est pas abaissé jusqu'à la motion de blâme, comme Lulu de triste mémoire avait osé le faire à l'égard du concitoyen Yves Michaud. - Vigile


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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    30 octobre 2010

    internet est le défenseur et le protecteur du peuple , le seul!
    Jusqu à temps que les john james de ce monde tenteront de le censurer ! Les Harper aussi!!

  • Archives de Vigile Répondre

    28 octobre 2010

    JJC pourquoi t'as voulu détruire Marc Bellemare qui a seulement répondu à un de tes commentaires du haut de ton trône , avec t es dizaines d avocats qui ont été exibé au yeux des 7.8 millions de québécois ?
    http://www.youtube.com/watch?v=3X9FKwrK-K0
    secretaire du conseil executif en chef du Québec
    Informatique - Des cas de collusion ?
    Jean-Robert Sansfaçon 12 avril 2010 Actualités en société
    Les semaines se suivent et se ressemblent au pays des contrats gouvernementaux. La semaine dernière, Radio-Canada laissait entendre que la collusion était chose courante entre les firmes d’experts en informatique à la recherche de mandats gouvernementaux.
    Depuis plusieurs années, les gouvernements confient la gestion d’une partie de leurs parcs informatiques à des firmes privées qui, dans bien des cas, délèguent même leurs employés sur place pour faire le travail. Ce recours au privé permet d’éviter l’embauche d’équipes permanentes pour des contrats à court terme et il assure l’utilisation d’équipements de dernière génération. En théorie, du moins, car en pratique, il serait intéressant de savoir si nous ne payons pas deux fois plutôt qu’une ces équipements vite amortis et longtemps utilisés.
    L’impartition n’est pas propre aux gouvernements. Elle est aussi très répandue dans l’entreprise privée qui souhaite se concentrer sur ses activités de base. La différence, c’est que les firmes d’experts-conseils perçoivent les gouvernements comme des vaches à lait qu’on peut traire jusqu’à la dernière goutte. Et s’il faut tricher pour remporter la mise, pourquoi pas, puisque tout le monde y trouve son compte, y compris ceux qui sont censés nous représenter ?
    Lors d’une interpellation à l’Assemblée nationale au lendemain du reportage de Radio-Canada, le premier ministre Charest n’a pas nié qu’il puisse y avoir des irrégularités dans l’attribution des contrats d’informatique, mais il s’est contenté de rappeler que le Conseil du trésor avait resserré les règles, l’automne dernier. C’est un peu court !
    La semaine dernière aussi, La Presse révélait que la CSST avait versé 37 millions à la firme DMR pour des travaux qu’elle n’a jamais complétés, dont sept millions pour résilier cette entente dont les coûts devenaient pharaoniques. Selon le journal, DMR avait décroché ce contrat en 2006 alors que la CSST était présidée par le libéral Gérard Bibeau, dont l’épouse était conseillère senior chez DMR. Dès le départ, cette situation pour le moins anormale avait causé des remous au conseil de la CSST, jusqu’à provoquer, plus tard, la démission d’un de ses membres.
    Malgré cela, M. Bibeau a été promu secrétaire général du Comité exécutif du gouvernement et le porteur du dossier, Richard Verreault, président de la Société immobilière du Québec.
    Au ministère de la Santé maintenant, le Vérificateur général a blâmé à quelques reprises déjà la gestion du plus important contrat d’informatique jamais confié à une firme externe, celui du dossier individuel informatisé qui accumule retards et dépassements de coûts depuis le début des travaux, en 2006. Malgré l’ampleur du mandat, le ministère a éliminé tous les soumissionnaires sauf un, Bell Xwaves, pour de mystérieuses « raisons techniques ». Or, malgré les 300 millions dépensés à ce jour, il n’y a toujours pas de dossier de santé au Québec, et tout indique qu’il n’y en aura pas avant des années et plusieurs centaines de millions supplémentaires. Quelqu’un était-il intervenu en faveur de cette firme privée ?