Carnage en Saskatchewan: 11 morts, 18 blessés

Des actes de sauvagerie qui ne sont jamais commis par des sauvages

L'hypocrisie des médias au nom du culte des minorités

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Tribune libre

Il est révélateur du comportement typiquement hypocrite des médias que plus de 48h après le début de la tuerie massive en Saskatchewan ayant fait 11 morts et 18 blessés, aucun d'entre eux n'avait encore osé spécifier qu'elle était due à des sauvages de la nation crie en réserve. C'est comme pour le mot en N, on ne doit jamais prononcer le mot sauvage, le mot en S redouté, même lorsqu'il est question d'actes de sauvagerie sans nom commis par des sauvages.



Regardez-les donc aller, tous ces médias endoctrinés et ces soi-disant spécialistes qui commentent en ondes, tenter d'excuser les actes abominables commis par ces sauvages en rejetant la faute sur leurs conditions de vie, et non pas sur leur traits de personnalité ataviques pourtant à l'origine de ce carnage à l'ancienne, refusant de reconnaître l'existence de comportements sujets à éclatement à tout moment une fois le degré de frustration suffisante atteint.



Et ces bien-pensants mous et doucereux qui prétendent que la solution consiste à se rapprocher amicalement des autochtones, à leur tendre la main, bien que la leur puisse tenir un couteau acéré (réconciliation mon œil), et qu'on leur accorde respect, considération et admiration, qu'on leur déroule le tapis rouge dans toutes les cérémonies officielles pour qu'ils nous fassent leurs petites steppettes.



Et comme si cela ne suffisait pas, il faudrait également qu'on se confonde en excuses, qu'on multiplie les compensations à coups de millions, qu'on admette que ce soit nous les coupables de leur état dégénératif, alors qu'eux se prétendent innocents comme un bébé naissant. À les en croire, ils ne font jamais rien de mal, ils n'ont rien à se reprocher. Tout est de notre faute.



Qui aura le courage de remettre les pendules à l'heure, de répéter aussi souvent que nécessaire que plus de 50% des indiens ont des casiers judiciaires et qu'ils sont les pires récidivistes de tous. Ils sont irrécupérables à la société.


Les prisons canadiennes sont remplies à 30% d’autochtones, soit 1 prisonnier sur 3, bien qu'ils ne représentent que 5% de la population, soit 6 fois plus. Dans l’ouest du pays où la concentration d’indiens est plus grande, cela augmente vertigineusement. Les condamnations couvrent toute la gamme des crimes et délits imaginables.


Source officielle: https://information.tv5monde.com/info/au-canada-un-prisonnier-sur-trois-est-autochtone-348362


Source officielle: https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/peuples-autochtones#:~:text=Lors%20du%20recensement%20de%202016%2C%201%20673%


La population carcérale d'origine autochtone a augmenté de 46,4 % au cours des 10 dernières années, selon le rapport de l'enquêteur correctionnel Howard Sapers, pendant que les membres des minorités visibles – les Noirs, les Asiatiques et les Hispaniques - ont vu leur nombre exploser de 75 %.


Source officielle: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/643334/canada-prisons-noirs-autochtones


Cliquez ici pour lire: La surreprésentation des autochtones dans la criminalité



Selon les règles sacro-saintes des codes de radiodiffusion, si des sauvages commettent des actes sauvages, il ne faut surtout pas le dire, on cherchera à le cacher, à atténuer la gravité des actes commis. C'est comme en Russie où on ne peut pas employer le mot "guerre" lorsqu'on parle de l'invasion de l'Ukraine. C'est l'application d'un totalitarisme mental a mare usque ad mare.



Les médias, les autorités diversitaires, essaient de tout enrober, de tout adoucir, et ne veulent à aucun prix pointer de doigt accusateur, qui permettrait de les exposer tels qu'ils sont. Ils chercheront toujours à les excuser en disant que ce sont de pauvres victimes de leurs conditions de vie et qu'ils ne sauraient en rien être tenus responsables de leurs actes. C'est toujours la société des Blancs qui est à blâmer pour toutes leurs difficultés, jamais eux-mêmes.



Le tueur principal de la nation crie avait un lourd passé criminel violent, avec un casier judiciaire de 59 condamnations (et on le remettait à chaque fois rapidement en liberté?) Faut croire que les autorités continuent vraiment à être terrorisées par les indiens comme au temps du far West -cela explique pourquoi ils n'osent rien faire contre la contrebande d'armes et de drogue dans les eaux frontalières d'Akwesasne ou à Kahnawake, qui est l'un des importants centres de jeux de hasard en ligne illégaux, et les autorités et Loto-Québec n'osent pas intervenir. Des salles de jeux de hasard, tout aussi illégales, y ont aussi pignon sur rue).



Quand cessera-t-on enfin de rejeter le blâme sur les conditions de vie extérieures, sur les autres, et reconnaître que le problème vient de l'intérieur, de l'inné, des prédispositions génétiques. C'est regrettable à dire, mais c'est comme ça.



Que cesse l'hypocrisie des médias, l'hypocrisie de la bien-pensance.



Disons donc enfin les choses comme elles sont pour s'en délivrer.



Disons la vérité nue, pour faire changer les choses et les mentalités fourvoyées par la bien-pensance.



Illustration: un casino de Kanesatake.


Il est grand temps que cesse ce petit jeu pervers qui consiste à se confondre en excuses et en expiation à propos d'accusations qui n'ont plus rien à voir avec nous directement. Replaçons les pendules à l'heure.



Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet.


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Réjean Labrie817 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 815 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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3 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    15 février 2024

    Les filles et les femmes autochtones sont six fois plus à risque d’être tuées que les filles et les femmes non autochtones, démontre une étude de Statistique Canada.


    Entre 2009 et 2021, 490 filles et femmes autochtones ont été tuées au Canada, ce qui représente un taux de 4,27 meurtres pour 100 000 habitants. En comparaison, l’organisation a recensé 0,73 meurtre par 100 000 habitants pour les femmes non autochtones, un taux six fois moins élevé.


    «À l'instar des femmes et des filles en général, la plupart des femmes et des filles autochtones victimes d'homicide ont été tuées par une personne qu'elles connaissaient (81 %). Dans la majorité des cas, l'assassin présumé était également autochtone (86 %), a détaillé Statistique Canada.


    Autrement dit, on a affaire à de la violence entre autochtones qui s'entretuent les uns les autres.


    Femmes Autochtones du Québec | Quebec Native Women🪶 (@faqqnw) • Instagram  photos and videos


    Et la Justice qui craint les indiens comme la peste réduit au minimum les peines: Voici comment elle s'y prend:


    Statistique Canada a aussi remarqué que les accusations déposées contre les suspects sont généralement moins graves lors des meurtres de femmes autochtones. Ainsi, seuls 27 % des suspects de meurtre se sont retrouvés avec une accusation de meurtre au premier degré, contre 54 % des suspects de meurtre impliqué une femme non autochtone.


    Les dossiers impliquant des femmes autochtones assassinées débouchent majoritairement sur des accusations de meurtre au second degré, dans 60 % des cas, constate-t-on dans l’étude.


    Cette distinction peut influencer grandement le temps que passera un meurtrier derrière les barreaux. Une personne trouvée coupable de meurtre prémédité sera éligible à une libération conditionnelle après 25 ans de détention, contre 10 ans pour un meurtre non prémédité.


    Source: Les femmes autochtones six fois plus susceptibles d’être tuées


  • Réjean Labrie Répondre

    13 février 2024

    Un autre indien du Manitoba qui assassine 5 membres de sa famille dans un accès de rage folle homicidaire.


    Ryan Howard Manoakeesick, qui vivait avec sa famille dans la ville de Carman, au nord-ouest de Winnipeg, est membre de la Première Nation Pinaymootang Ojibwe. La GRC n'a pas fourni de mobile pour les homicides survenus sur trois scènes de crime près de Carman.


    Mais au réseau Global qui en parle pendant plusieurs jours, aucune mention n'est faite du fait que c'est un indien ni que ce genre d'événement arrive beaucoup plus souvent dans ce milieu qu'ailleurs en proportion. On tait délibérément la vérité à la population pour qu'elle ne voit pas les choses comme elles sont. On cherche à protéger les indiens contre tout ce qui les montre sous leur vrai jour et qui nuirait à l'image déformée et idéalisée qu'on veut projeter d'eux.


    Non, on voudrait toujours les présenter comme de pauvres victimes impuissantes qui n'ont rien à se reprocher et qui méritent toujours plus de millions en compensation. Et que tout ce qui leur arrive est causé par les autres. Ce n'est jamais leur faute si tout va aussi mal dans leur communauté.


    On ne montre que des photos des enfants tués, mais aucune du poly-meurtrier, pour qu'on ne voit pas que c'est un indien.


    La triste ironie de l'histoire est que la nouvelle est commentée par le nouveau premier ministre manitobain amérindien, qui doit se désespérer de cette triste dégénérescence qui se répète de semaine en semaine.


    Source: L'amérindien Ryan Howard Manoakeesick tue 5 membres de sa famille


  • Réjean Labrie Répondre

    16 janvier 2024

    Le réseau Global News présentait hier un reportage sur cette tuerie sauvage arrivée dans une tribu Cree en Saskatchewan. Le nom du multi-assassin autochtone Cree est Myles Sanderson.


    Police Say Saskatchewan Stabbings Motive 'May Only Be Known To Myles  Sanderson' - Narcity


    Pourtant, durant les 5 bonnes minutes du reportage, jamais il n'a été question du meurtrier, du fait que c'était lui-même un indien qui a commis une tuerie sauvage sur les siens. On ne faisait nulle mention qu'il avait été arrêté des dizaines de fois pour toutes sortes de délits graves, mais qu'on le relâchait toujours rapidement parce que c'est un pauvre indien. Un peu plus et on l'excusait en disant que c'était parce que ses parents étaient allés au pensionnat, et que ça donne automatiquement la permission de tuer.


    Medicine Hat Police Did NOT Arrest Myles Sanderson! | Tech ARP


    Tout ce qu'on nous montrait dans le reportage politiquement correct, c'était des autochtones jouant leur rôle habituel et bien appris de "pauvres victimes innocentes en détresse", qui se demandaient tous "pourquoi toutes ces choses nous arrivent-elles, on a rien fait pour?". Tout le monde connaît la réponse, mais personne n'a le droit de le dire tout haut. Toute la gamme des crimes et délits imaginables se produisent sur les réserves; libre à vous d'en tirer vos propres conclusions, pour le peu de temps qu'il nous est encore permis de penser librement avant l'installation d'une puce électronique contrôlante implantée dans le cerveau.


     


    Référence: Global News


     


    30-year-old Myles Sanderson is still at large, may be injured | CityNews  Toronto


     


    À Montréal, au pied du Mont-Royal à Milton-Parc où se regroupent les autochtones, un examen révélerait sans doute qu'ils sont tous sans exception sous l'influence de la boisson ou de la drogue. 100%. Par prudence et prévention, qu'on les renvoie donc dans leurs réserves où ils ne feront plus peur à la population insécurisée.


    Source: Autochtones et intoxiqués


     


    Déconfinement : des quartiers ébranlés | La misère d'autochtones laissés  pour compte dans Milton-Parc | La Presse


     


    Itinérance autochtone | Une « crise humanitaire » dans Milton-Parc, selon  l'ombudsman de Montréal | La Presse


     


    Un premier dénombrement des personnes itinérantes à Montréal depuis 2018 |  Radio-Canada


    Les inuits désoeuvrés s'agglutinent désormais au même endroit.


    Milton et Parc, une nouvelle grille de la honte - URBANIA


    Source: Itinérance inuit à Montréal


     


    Itinérants : « Une bonne grosse crise », reconnaît la Ville de Montréal |  Radio-Canada


    Ci-dessus: un drogué ivre-mort


    Itinérance autochtone : une « crise humanitaire » qui interpelle tous les  gouvernements | Radio-Canada


    Ci-dessus: la bagosse coule à flots


     


    Pour que des tueries comme en Saskatchewan ne répandent pas dans nos villes, il importe que les indiens restent confinés dans leurs réserves. Car on ne sait jamais lequel d'entre eux, sous l'influence de la boisson maudite, de la drogue, ou des 2 à la fois, deviendra patraque et commettra la prochaine razzia humaine. Tout ce qu'on sait, c'est que ça finira par se produire.