Le Québec n'a pas besoin d'être libre pour être libre...
C'est que visiblement, dans l'esprit du président de la République, le Québec n'a pas besoin d'être indépendant pour prendre sa place dans le monde. Le Québec n'a pas besoin d'être indépendant pour prospérer. Le Québec n'a pas besoin d'être indépendant pour être libre.
Vraiment, on ne choisit pas sa famille...
Le brûlot lancé par le soutien de Nicolas Sarkozy au régime fédéral avait réjoui les fédéralistes, laissé pantois certains souverainistes et véritablement choqué les purs et durs.
Avec GESCA, le simple "retour en arrière" se nomme "progrès", "changement" et "avenir". Et on devrait s'en réjouir. Quelle insignifiance, ce discours, quand il sera lu au lendemain de l'indépendance!...
le fait qu'on n'ait pas porté attention aux compétences linguistiques des agents alors qu'on accueille des dignitaires francophones du monde entier rend la situation «encore plus révoltante».
(Hier) Le Canada doit changer: une tâche "colossale" (Aujourd'hui) Le Québec a changé: "autonomie extrême, presque une séparation de fait" Demain: trop peu, trop tard. Vive le Québec indépendant!