Sarkozy l'impudent
que notre premier retire la médaille qu'il a reçue de cet individu peu fréquentable et n'accepte de la porter que le jour où un digne représentant de la république française s'excusera des propos insultants tenus à l'égard de notre peuple.
Sarko nous donne la chance de poser un acte de portée internationale Saisissons-là. Ainsi donc le nabot, "le gamin m'as-tu-vu" (dixit Ségolène Royal), le voyou qui insultait les banlieues de son nom propre, projeté sur les autres, poursuit le Québec de ses méchancetés subliminales qui font frémir tous les diplomates habitués à lire entre les lignes. Qui plus est, il tient ces propos devant le re...