Congratulations, Mr. Tremblay !

Le maire Tremblay, la Gazette et les anglophones

Tribune libre

Le maire Tremblay, la Gazette et les anglophones.
Le scrutin du 1er novembre 2009 a confirmé le pouvoir prépondérant des anglophones sur la ville de Montréal, comme quelques données, pour les arrondissements, le confirmeront. Rappelons que leur journal de combat, la Gazette, avair ouvertement appuyé le parti du maire sortant. Pendant ce temps les francophones, à l’image de leur les médias, hésitaient entre les trois principales formations en présence. L’issue du scrutin était inévitable.
Le maire Tremblay obtient 48% des suffrages dans Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, 57% dans Saint-Laurent, 50% dans Lachine et LaSalle, 52% dans Pierrefonds-Roxboro, cinq arrondissements de l’ouest de la ville et 63% dans l’arrondissement de Saint-Léonard, dont la population à majorité italienne a toujours été, à tous les niveaux politiques, une fidèle alliée des anglophones.
Par contre le maire Tremblay n’obtient que 23% des voix dans Hochelaga-Maisonneuve, 20% dans le Plateau-Mont-Royal et 23% dans Rosemont-La Petite- Patrie, trois arrondissements francophones de l’est de Montréal. Le portrait est plus nuancé dans les arrondissements où francophones, anglophones et allophones se côtoient.
Congratulations, Mr. Tremblay !
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Hydro-Quéwick quick
Le beau frisé de Québec a laissé la pauvre Mme Roy, de l’ADQ en paix, pour aller magasiner au Nouveau-Brunswick. 4 ou 5 milliards ! Y a rien là ! Et son Vandal, à ses côtés. Tout ça, sans consultations ni débats ! Dans l’intérêt du Québec, bien sûr. E
ux ils seront gelés pour 5 ans et nous on passe à la caisse. Leurs industries, avec une baisse de 30% des coûts de l’électricité, pourront mieux nous concurrencer et arracher les quelques emplois manufacturiers qui nous restent.
Nous allons vers la faillite, mais nous les aidons à sortir du trou. Il ne reste qu’à acheter Hydro-Ontario, pour aider la pauvre Ontario et lier à tout jamais notre trésor national aux intérêts canadiens.
Pierre Champagne, Danville.


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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    3 novembre 2009

    Effectivement le vote à l'élection de dimanche dernier qui a permis à Tremblay d'être réélu n'est rien d'autre qu'un vote ethnique. Les anglophones de Montréal se sont donnés un maire. Tremblay est leur homme de service!
    Le jour où les francophones en feront tout autant nous nous respecterons.
    C'est la division qui nous tue!

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    2 novembre 2009

    C'est vrai que l'acharnement des libéraux de Jean Charest (et du Frisé lui-même) sur l'adéquiste Sylvie Roy avait quelque chose d'assez spécial. Ça avait de quoi faire peur.
    Mais ce n'était qu'une manoeuvre de diversion! Nous aurions dû le voir tout de suite: ce genre de petite tactique, c'est en plein le modus operandi de notre Beau Frisé national!