Montréal et Laval, 2 villes à jamais corrompues??

La souveraineté est mal barrée??

Tribune libre

par Luc Ménard
Les analyse préliminaires ( voir ici, là et encore ici) des résultats des élections municipales dans les 2 plus grandes villes du Québec laissent entrevoir rien de bon pour la suite des choses, et ce à plusieurs point de vue.
Quelques conclusions factuelles basées sur ces analyses:
Il n’y aura pas d’enquête publique sur la corruption dans la politique nationale, régionale et municipale;
Le blocage systématique de Jean Charest pour cette commission est extrêmement suspecte;.
L’argent a fait un différence majeur dans ces élections;
Le vote ethnique a permis la ré-élection de Tremblay et Vaillancourt;
Ils seront ré-élu tant qu’ils voudront;
Donc Montréal et Laval sont à jamais des villes corrompus, puisqu’aucune actions politiques concretes ne verra le jour;
Les vases communiquant des électeurs ethniques-francophobes et souverainiste-ophobes tendent à démontrer que le camp fédéralistes contrôlent l’agenda politique, national, régional et municipal.
Le projet Souverainiste est pratiquement bloqué par cette polarisation, sans saine et équitable répartition des votes ethniques anglophones.
Je pourrais continuer longtemps cette nomenclature de raisons qui me pousse à etre pessimiste quand à la suite des choses pour la Souveraineté.
Le seul moyen, mettre dehors Jean Charest, mais, à moins que de nouvelles révélations chocs publique, inattendu, viennent toucher l’armure blindé que porte le PM. On en a encore pour au moins 3 ans de ce régime corrompu. Et rien ne garantie, rien n’indique que l’Opposition péquiste, divisée à Montréal, au leadership endormant ( où est Mme Marois???) pourra renverser cette tendance lourde.
Pas de doute, tant qu’à moi. On a une crise de leadership dans le clan Souverainiste.
Venez visiter mon blogue politique à >http://lumenlumen.blogspot.com/]


Laissez un commentaire



1 commentaire

  • Marcel Haché Répondre

    4 novembre 2009

    “Le seul moyen” ? Vous dites :"le seul moyen".
    Que le P.Q. s’adresse au vrai peuple. Au vrai monde.
    Pas le peuple imaginé et rêvé par Québec Solidaire. Pas le peuple souhaité par la Chambre de Commerce de Montréal, un clone liberal. Pas celui fabriqué dans nos universités, et présenté par Télé-Québec. Non plus que celui dénoncé par toutes les têtes molles qui s’en méfient, au nom de la « diversité », en même temps qu’ils voudraient qu’il existe, certes, mais autrement. Il faudrait que ce peuple se mette à faire plaisir à tout le monde, et au monde entier.
    Ce peuple-là était apparu timidement et maladroitement à la commission BT.
    Et c’est ce peuple-là, en bonne partie, qui avait envoyé chier à tour de rôle le P.Q. puis l’A.D.Q.
    Ce « peuple-là », il a bien plus de mémoire que ses partis politiques. Il est surtout bien plus fidèle.