Trop pressés
L’Histoire nous regarde, et c’est à nous que revient la nécessaire tâche d’être courageux et de laisser à ses soins un parti qui a été important dans l’histoire de l’affirmation identitaire et sociale du Québec, mais qui ne peut plus rien faire pour nous aujourd’hui. Ce courage, les pressés du SPQ-Libre et tous les militants péquistes croyant à l’indépendance et à la social-démocratie, en ont manqué. Cruellement.