Le français — la dynamique du déclin

Québec

Aujourd'hui l'Ontario, demain le Québec

Le français coûte trop cher



C’est avec un argument économique que Doug Ford, le premier ministre de l’Ontario, justifie sa décision de mettre la hache dans le projet de l’université ontarienne francophone souhaité par le Parti libéral dirigé par sa prédecesseure.

Québec

Il faudrait adandonner le financement des universités anglophones du Québec

Au Québec de financer une université francophone en Ontario



Tout le Canada français s’entend : la décision du gouvernement Ford d’annuler le projet d’université francophone et de supprimer le Commissariat aux services en français constitue une attaque frontale contre la nation canadienne-française. Le Québec, seule province majoritairement francophone, ne peut se contenter de critiquer publiquement le gouvernement ontarien. Nous avons le devoir moral de soutenir les francophones hors Québec, et des mesures concrètes s’imposent.

Canada

Et pourtant, l'anglicisation se poursuit dans l'indifférence générale

Pas de compromis sur les langues devant les tribunaux, tranche la Cour suprême



Aucun compromis ne peut être fait sur le droit des témoins de s'exprimer dans la langue de leur choix devant un tribunal fédéral, a tranché vendredi la Cour suprême du Canada.

Canada

Le poids proportionnel des francophones est en constant déclin partout à travers le Canada

Une nécessaire mise au point sur la francophonie canadienne



Saviez-vous qu’il y a quatre millions d’anglophones au Québec ? C’est pourtant en suivant la même méthode qui permet de conclure qu’il y a 2,7 millions de francophones canadiens vivant à l’extérieur du Québec qu’on arrive à ce nombre… surprenant.

Québec

Lutter contre la tyrannie de l'anglais

L’anglais, trop fort



Je suis tombé hier par hasard sur un texte intitulé « Is the English language too powerful ? ». (La langue anglaise est-elle trop puissante ?)

Québec

Même Le Devoir reconnaît que Bombardier a raison sur le déclin francophone au Canada

Francophonie canadienne: le verre à moitié vide



Denise Bombardier a jeté un pavé dans la mare en affirmant à l’émission Tout le monde en parle qu’« à travers le Canada, toutes les communautés francophones ont à peu près disparu ». La remarque n’est pas sans rappeler les « dead ducks » de René Lévesque et les « cadavres encore chauds » d’Yves Beauchemin. Mais c’est aller un peu vite en affaires que d’enterrer les minorités francophones hors Québec, dont la situation — précaire, on doit le reconnaître — est beaucoup plus nuancée.

Québec

Les Anglais, minorité privilégiée au Québec

Les universités anglophones avantagées, soutient l’IRIS



La déréglementation des frais de scolarité chargés aux étudiants étrangers favorisera les universités anglophones et montréalaises au détriment des autres, soutient l’IRIS, dans une analyse publiée jeudi.

Québec

A-t-on perdu l'amour de la langue ?

La passion du français



Des Québécois ont une passion pour le hockey, d’autres pour le vin, le cinéma ou la musique country. Mais combien ont encore une passion pour la langue française ?

Québec

Une nouvelle organisation pour franciser les immigrants

La Fondation pour la langue française voit le jour



Lundi dernier marquait le lancement officiel de la Fondation pour la langue française (FLF), à Montréal. L'organisme sera « entièrement consacré à la promotion du français » et aura une présence partout au Canada.

Québec

Les Anglais, toujours à l'affût de notre faiblesse quant à la défense de la langue

Un avocat veut contester la Charte de la langue française à l'ONU



La Cour suprême du Canada a décidé, jeudi dernier, de ne pas entendre la cause portée en appel par l'avocat anglo-québécois Brent Tyler relativement à la contestation de multiples amendes reçues par plusieurs commerçants québécois entre 1998 et 2001. Rappelons que ces derniers s'étaient vus sanctionner pour avoir enfreint les règles d'affichage commercial en vigueur dans la province.

Québec

Labeaume dénonce le bilinguisme institutionnel

La langue française pas assez protégée au Québec, selon Labeaume



«Le français n’est plus un thème politique majeur» au Québec, a déploré Régis Labeaume en marge du 50e anniversaire de l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ), d’après des propos recueillis par Radio-Canada au Centre des Congrès de Québec.

Québec

Le français en plein déclin n'est défendu par personne

«Farewell», Camille Laurin!



Et si la seule loi vraiment déterminante pour le Québec, depuis cinquante ans, avait été la loi 101 ? J’en parle au passé. Avec l’aplatissement des chefs de partis qui ont accepté un débat en anglais et le silence radio quant à la langue d’affichage, c’est le retour à la case « années 1950 ».

Québec

Le bilinguisme institutionnel, le cancer de la nation française en Amérique

Débat en anglais

Un bon colonisé doit être « ouvert »

En voulant être « ben fins », nos chefs ont envoyé un déplorable message


Pourtant, la seule langue officielle au Québec, c’est le français, comme ne le sait même pas une majorité de nos concitoyens.

Langue française : À des années lumières des volontés du Cardinal Richelieu

Que se passe-t-il ?

La langue française ne s’enrichit pas: elle se communautarise!



La langue française compte sans cesse de nouveaux mots, mais pourtant un ouvrier dans l'imprimerie aurait perdu 4.500 mots de vocabulaire depuis le XIXe siècle.

Québec

Une initiative aussi inopportune que saugrenue !

Les chefs se préparent en vue du premier débat télévisé en anglais au Québec



S'il est particulièrement éprouvant pour les chefs de partis de débattre à la télévision en français, il le sera probablement davantage pour eux de le faire en anglais.

Québec

Chronique d'ACD

Réponse à Michel David du Devoir

Le débat en anglais est une trahison

Le Devoir banalise l'anglicisation du Québec


Dans les pages du Devoir, le chroniqueur Michel David défend le choix biscornu de Jean-François Lisée d’appeler à un premier débat télévisé en anglais au Québec. M. David – familier des plateaux de Radio-Canada – s’indigne que des patriotes ayant à cœur la défense du fait français dénoncent cette anglicisation du débat public québécois.

Québec

David défend le débat en anglais : il s'attaque au Mouvement Québec français et à HQA

Le débat des autres



La présentation d’un premier débat télévisé en anglais entre les chefs de parti, lundi soir prochain, a provoqué une levée de boucliers dans les milieux nationalistes. Le président du Mouvement Québec français (MQF) et de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Maxime Laporte, y voit un précédent « irresponsable » susceptible d’envoyer un message négatif aux allophones, déjà largement anglicisés.

Québec

Débat sur la langue : c'est Bock-Côté qui disait vrai

Est-ce que le français est la langue commune de tous les Québécois?



Débat intéressant cette semaine à l’émission La Joute entre Mathieu Bock-Côté et Thomas Mulcair à propos de la langue française au Québec. Mathieu Bock-Côté soutient que « le français devait être la langue commune, mais de plus en plus, il est en train de devenir la langue des « francophones » (...), propos fortement contesté par Thomas Mulcair qui retorque : « [e]st-ce que vous ayez la moindre étude pour étayer vos dires? »

Québec

Le franglais créolisé de Montréal est une catastrophe

Le nouveau joual



Une des retombées de l’immigration au Québec est la transformation du joual traditionnel en un joual « amélioré » désormais envahi par le créole et l’arabe.

Québec

L'anglophilie hexagonale est une régression culturelle

La New France de Macron



Je reviens d’un voyage en France où l’anglomanie galope comme nulle part ailleurs.

Québec

L'effondrement de l'importance politique des Acadiens au Nouveau-Brunswick : est-ce le futur des Canadiens français au Québec ?

New Brunswick election highlights language politics of Canada's only bilingual province



New Brunswick is Canada’s only officially bilingual province, with the closest balance in the nation of residents who speak our two official languages.

Québec

« Notre situation de minorité linguistique en Amérique du Nord devrait obliger toute la classe politique à se préoccuper du problème aigu de la qualité du français parlé et écrit. »

Le désamour de la langue française



La défense du français au Québec n’est plus un objectif pour les partis politiques. Sauf pour le PQ. Son chef Jean-François Lisée a fait la promesse électorale de faire voter la loi 202 – une référence pas très heureuse à la loi 101 multipliée par deux –, non pas pour limiter le recul actuel de la langue, mais pour mener un nouveau combat afin de lui donner sa place prioritaire au Québec.

Canada

Le monde à l'envers ! Il y aura pourtant un débat en anglais au Québec...

Élections au Nouveau-Brunswick: pas de débat en français



Incapable de s'entendre avec tous les partis au Nouveau-Brunswick , Radio-Canada Acadie a dû se résigner hier à annuler son traditionnel débat des chefs en français dans l'unique province officiellement bilingue au pays.

Québec

Demain, la disparition des Franco-Ontariens : l'immigration n'y changera rien

Francophonie en Ontario : « La situation projetée est alarmante »



Le poids démographique des francophones en Ontario est en baisse significative et le Commissariat aux services en français de l'Ontario lance un appel à l'aide aux politiciens de Queen's Park.

Canada

Le français, langue étrangère au Canada

Le français n'est pas une langue secondaire



La version française du site d'appel d'offres du gouvernement fédéral présente des problèmes systémiques qui contreviennent à la loi, dénonce le Commissaire aux langues officielles dans un rapport préliminaire. Des constats durs, mais mérités qui, espérons-le, seront entendus à Ottawa. Il faut arrêter de traiter le français comme une corvée administrative dont on s'acquitte pour s'en débarrasser.

Québec

Un Canada multiculturaliste, mais certainement pas bilingue !

Les appels d’offres en français sont bâclés



Il s'agit d'un problème « répandu » et « systémique », selon le commissaire aux langues officielles. Le commissaire aux langues officielles Raymond Théberge juge sévèrement le ministère des Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Dans un rapport préliminaire, publié en juin, M. Théberge reproche à SPAC de ne pas avoir pris les mesures nécessaires afin d'assurer un français de qualité égale à l'anglais.

Québec

L'effondrement culturel se poursuit : chanter en anglais à la fête nationale devient une revendication artistique

Célébrer en français, ce n’est pas se «refermer»



Depuis une décennie, chaque année ou presque, il y a quelqu’un pour déplorer publiquement qu’on ne chante pas en anglais au spectacle de la fête nationale du Québec.

Canada

Le Canada défend le multiculturalisme à outrance, mais est incapable d'assurer le bilinguisme dans sa capitale

Ottawa, une capitale bilingue? «Sorry, I don’t speak French»



Ottawa a beau être officiellement bilingue depuis l’hiver, une simple promenade en ville permet de constater que le français y est pratiquement absent. Et cela, même si le fédéral rêvait il y a 50 ans d’une capitale où les deux langues officielles du pays cohabiteraient « sur un pied d’égalité ».

Québec

Un document qui porte le nom de « Bonjour Hi » nous expliquant que tout va pour le mieux...

Les deux solitudes se rapprochent au Québec



Fini le temps des deux solitudes, clame Jack Jedwab de l’Association d’études canadiennes, qui vient de publier un sondage sur les perceptions mutuelles des anglophones et des francophones au Québec. Les contacts sont de plus en plus nombreux entre les deux groupes linguistiques, qui s’apprécient respectivement.

Québec

La fierté de l'État québécois doit passer par la défense de sa langue nationale

Un été à se faire piler sur la langue



Relâche estivale pour cette chronique d’opinion jusqu’à la fin août. Je garde toutefois ma page du cahier Weekend pour vous parler de voyages. En guise d’au revoir, j’aimerais aborder, encore une fois, le cas de notre pauvre langue française.