L'exception québécoise selon André Pratte
Je ne sais pas ce qui se passe à La Presse, mais à lire certains journalistes, les Québécois sont xénophobes, frileux et incapables de réfléchir intelligemment aux questions identitaires.
Je ne sais pas ce qui se passe à La Presse, mais à lire certains journalistes, les Québécois sont xénophobes, frileux et incapables de réfléchir intelligemment aux questions identitaires.
Édito "toxique" (dissimuler le facteur principal - cupidité du système bancaire - dans une énumération de banalités)
Au Québec, les ménages ne mettent de côté que 2% de leur revenu disponible; c'est 10 fois moins qu'il y a 30 ans. De plus, le taux d'endettement atteint de nos jours des niveaux records. Ces tendances, qui ont cours aussi dans le reste du pays et aux États-Unis, inquiètent les autorités. Lundi dernier, la sous-gouverneure de la Banque du Canada, Agathe Côté, a souligné «le risque qu'une dégradation des condition...
Elle est bien bonne - La main invisible se montre enfin... Le système n'est-il pas alimenté par l'endettement? Arrivé au bout de cette logique, n'est-ce pas le système qu'il faudrait corriger? Pratte devrait exiger une clarification de son patron Desmarais...
Le problème, c'est que les consommateurs étirent au maximum l'élastique de leur capacité de payer des intérêts au moment où les taux sont extrêmement bas. C'est couru: lorsque les taux augmenteront, l'élastique va casser.
Halte à l'endettement: commentaire
Solution simpliste de M. Pratte à un problème complexe
Voici le commentaire que [j'ai transmis à M. Pratte->33421] concernant ses solutions simplistes au problème de l'endettement croissant des Canadiens: Bonjour M. Pratte Votre billet concernant l’accroissement du niveau d’endettement des Canadiens et ce qui en serait les causes montre comment on peut identifier correctement un problème, mais court-circuiter l’analyse élémentaire d’un environnement économique plus...
Scandale des commandites
Un syllogisme d'André Pratte?
Il est pour le moins inusité qu’un journaliste d’expérience comme André Pratte s’aventure à prétendre, «qu’en droit», Jean Chrétien et Jean Pelletier n’auraient aucune responsabilité relativement à l’affaire des commandites, que ce scandale reposerait uniquement sur d’autres épaules que les leurs, sur celles de personnes qui auraient grossièrement abusé du programme des commandites. Comment ne pas conclure qu’André Pratte, comme le juge Gomery, agit avec « parti pris » en induisant le public au sujet d’une affaire dont l'un des principaux protagonistes est un de ses proches, son frère, l’avocat Guy Pratte, l’ancien procureur de feu Jean Pelletier ?
"à l'insu du premier ministre" - 300M$ pour conditionner les frogs au bonheur canadian - et le PM (entouré de mafieux et de véreux) n'a rien su, rien vu... Tout un PM!!
le fardeau du scandale repose sur les épaules de ceux qui ont grossièrement abusé du programme des commandites, à l'insu du premier ministre
Mais l'hyperlien qui fait le plus cruellement défaut est celui qui pointerait vers le témoignage de Jean Charest. On voudrait pouvoir cliquer dessus immédiatement, savoir ce qu'il contient.
Il s'est passé deux choses, hier. On a vu les faits avancés par Marc Bellemare se recouvrir d'une petite couche de brume. Et on a vu en même temps se dessiner par petites touches le portrait du héros de la Commission. On commence à voir comment cet avocat-vedette, fraîchement débarqué en politique en 2003, a réussi à se mettre à dos tout un ministère en quelques mois seulement et pourquoi personne n'a pleuré son dép...
Contribuer financièrement à un parti politique ne disqualifie pas un avocat du privilège d'être nommé juge, estime le commissaire Michel Bastarache.
«Follow the money», disait Deepthroat, la source du Washington Post dans l'affaire du scandale du Watergate.
Tuons Bastarache pour sauver Charest. Évitons à Charest l'occasion de se parjurer, lui qui ne fait pas la différence entre vérité et mensonge. Évitons-lui la prison en l'écartant du jeu...
Les picouilles à Desmarais ont scandalisé le peuple québécois par leur corruption sans limite. Le scribouilleur à Desmarais s'énerve, c'est un peuple irresponsable.
S'ils ne veulent plus de Jean Charest ni de Pauline Marois, que recherchent donc les Québécois?
En fait, le messie qu'attendent beaucoup de gens, c'est celui qui proposerait des solutions sans douleur à tous les problèmes de la province, qui accroîtrait encore les avantages sociaux dont nous bénéficions et créerait comme par enchantement des médecins et des infirmières tout en diminuant les impôts et en maîtrisant la dette. Le fantasme politique des Québécois: une révolution facile.
Le fait que, dans ses premiers pas, la commission Bastarache en arrache tant, tient moins à la commission elle-même, ou à son mandat, ou à sa direction, qu'au contexte politique général qui prévaut au Québec. La dynamique malsaine entre un gouvernement libéral usé et une opposition péquiste hystérique a transformé le débat politique en lutte dans la boue. Cette boue éclabousse le commissaire et sa commission. L...
Bastarache, comme Gomery...
Par leur partisanerie crasse et leur comportement indigne, les politiciens québécois ont achevé de détruire leur propre crédibilité. Plutôt que de chercher des solutions à ce grave problème, voici qu'ils entreprennent de miner la réputation d'une des seules institutions auxquelles les citoyens font encore confiance, le système judiciaire et en particulier, les juges. En attaquant sans raison valable l'objecti...
L'ancien ministre Marc Bellemare a entrepris de miner la crédibilité de la commission d'enquête sur la nomination des juges dont il avait obtenu la mise en place. Décidément, M. Bellemare ne fait confiance à personne.
Rien de répréhensible pour la ministre de la Justice de discuter avec le PM?... même si ce PM est un sacré menteur, est soupçonné d'avoir des accointances douteuses et dirige un gouvernement écrasé par les scandales....
Des candidats de moindre qualité ont-ils été privilégiés en raison de leurs accointances libérales ou des pressions des collecteurs de fonds du PLQ ?
Selon certains médias, la ministre de la Justice, Kathleen Weil, a fait une «révélation-choc» en confiant qu'elle consultait le premier ministre sur le choix des nouveaux juges. Nouveau scandale! Vraiment? On peut penser que le processus mis en place il y a 30 ans pour choisir les magistrats laisse trop de place aux considérations partisanes. Cependant, dans le cadre de ce système, il n'y a absolument rien d'illégal...