Les carottes semblent cuites pour Harper
Sondage: Justin Trudeau doit encore convaincre
Près de 47 % des Canadiens soutiennent que Justin Trudeau n’est pas prêt à diriger le pays, indique un sondage publié samedi dans le Toronto Star.
Les carottes semblent cuites pour Harper
Près de 47 % des Canadiens soutiennent que Justin Trudeau n’est pas prêt à diriger le pays, indique un sondage publié samedi dans le Toronto Star.
Parce que ça vole bas
Si j’ai attendu deux jours avant de publier un billet sur les réfugiés syriens incarnés par cette image insoutenable d’un bambin noyé, échoué sur une plage, c’est par pudeur. Je devais prendre le temps de digérer l’émotion, d’y penser plus longuement.
Le Bloc et rien d'autre
LETTRE
Je voterai pour le Bloc québécois. La raison est simple : c’est le seul parti qui défend mes droits à Ottawa en tant qu’indépendantiste. J’entends des gens dans mon entourage vanter M. Mulcair. Il faut d’après eux décoller Harper à tout prix du pouvoir et le remplacer par un autre fédéraliste, plus à gauche. Est-ce que cela aidera la cause des Québécois qui veulent devenir indépendants ?
Un vote stratégique à haut risque
Ces temps-ci, beaucoup de monde, de gauche ou de droite, appellent les Québécois à voter «stratégique» pour battre Harper. On nous demande de faire ce choix en éliminant le Bloc comme alternative valable. Mais de quels autres partis du Bloc canadien exige-t-on ce sacrifice ?
La démesure au pouvoir et le pouvoir de la démesure
Quelqu’un d’honnête et de conscientisé ne peut nier que le Parti conservateur fédéral au pouvoir de Stephen Harper est d’extrême droite. Il s’attaque à tout ce qui n’est pas patronal. Les syndicats, les progressistes, les environnementalistes, les chômeurs, les assistés sociaux, les retraités, etc. ont droit à ses attaques en règle en les brimant dans leurs droits légitimes.
Une fois de plus, le Québec est la clé du pouvoir à Ottawa
Conservateurs, néo-démocrates et bloquistes se sont disputés hier sur les faveurs du Québec, chaque parti estimant être le mieux placé pour représenter les intérêts des Québécois.
L'agenda indépendantiste de PKP
Officiellement, le chef du Parti québécois (PQ) rencontrait, samedi à L'Assomption, les présidents des 125 circonscriptions et 17 associations régionales de son parti. Mais dans les faits, Pierre Karl Péladeau donnait un vif coup d'éperon à ses troupes, afin qu'elles redoublent d'ardeur pour sortir le Bloc québécois de la fâcheuse posture où il se trouve depuis les dernières élections fédérales.
Toutes les raisons sont bonnes pour privilégier le Bloc
LIBRE OPINION
La campagne électorale en cours suscite un débat entre indépendantistes. Comment voter à cette élection que tient le Canada sur le territoire du Québec ? En fonction de nos convictions indépendantistes ou pour déloger le gouvernement Harper ? Notre vote, doit-il être authentique ou stratégique ? On me permettra ici d’exposer ma position à titre personnel.
Un titre qui ne reflète aucunement le contenu de l'article
De passage à Rimouski le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe a tenu lundi un discours à saveur référendaire faisant l'apologie de l'indépendance du Québec, en vue de l'élection fédérale du 19 octobre. L'intention étant de gommer le vote souverainiste en vue de l'élection du 19 octobre.
Certainement pas !
Le désir des Québécois de changer de gouvernement ne va pas nuire aux chances du Bloc, croit le chef Gilles Duceppe, car son parti est le seul qui puisse défendre le Québec sans s’écraser devant les autres provinces.
Mulcair et Harper, blanc bonnet et bonnet blanc
Le chef du NPD promet 2500 policiers additionnels… comme les conservateurs en 2006
C’est ce qu’on pourrait appeler reprendre là où l’adversaire a laissé. Thomas Mulcair s’est lancé dans un vibrant plaidoyer en faveur des forces de l’ordre mercredi, promettant le recrutement de 2500 policiers additionnels. C’est exactement la même promesse qu’avait faite en 2006 un certain… Stephen Harper.
C'est du joli!
La candidate libérale dans la circonscription albertaine de Calgary-Nose Hill, Ala Buzreba, s’est retirée de la course mardi soir après que des messages publiés sur Twitter il y a quatre ans aient refait surface.
Dans l'intérêt de l'Alberta, peut-être, mais pas dans celui du Québec
En campagne électorale fédérale, le Parti québécois et le Bloc québécois ont fait une sortie commune, lundi, à Québec, contre le transport de pétrole en train qui va augmenter au Québec avec le projet de port pétrolier de Belledune au Nouveau-Brunswick.
Couillard reprend les réclamations traditionnelles du Québec, mais le coeur n'y est pas et ça paraît
La « tendance » à l'unilatéralisme et à la formation d'un « pays unitaire » doit cesser, estime Philippe Couillard. « On veut retrouver des collaborateurs et des partenaires à la table du gouvernement fédéral », a-t-il affirmé hier en dressant la liste de ses demandes aux chefs des partis fédéraux en campagne électorale.
Ne nous réjouissons pas trop tôt, la campagne est encore longue
Un sondage montre que le NPD se dirige vers un gouvernement minoritaire le 19 octobre prochain
Stephen Harper est en chute libre dans les intentions de vote alors que le NPD maintient son avance, deux semaines après que les conservateurs ont déclenché les élections fédérales.
Plus baveux que ça, tu meurs !
ÉLECTIONS DU 19 OCTOBRE
La campagne électorale en vue du scrutin du 19 octobre est à peine entamée qu’une première tendance se dessine. Le désir de changement des électeurs, manifestement élevé, met le Parti conservateur sur la défensive. Tout se ligue contre lui, surtout son passé qui vient le hanter.
Regarder bien aller les Verts, ils pourraient causer toute une surprise
Le ministre sortant et candidat dans Bellechasse-Les Etchemins-Lévis, Steven Blaney, n'a visiblement pas apprécié le passage du chef néo-démocrate dans sa circonscription mercredi. Le conservateur a attaqué son visiteur et défendu son bilan, affirmant que contrairement à Thomas Mulcair, il avait toujours soutenu le chantier maritime Davie.
Un cas pathologique
De vous ! Tout simplement ! Oh, M. Harper a bien dit, le jour du déclenchement des élections, qu’il irait « rencontrer les Canadiens aux quatre coins du pays ». Mais lesquels ? On connaît maintenant la réponse. Les seuls admis dans la même pièce que le premier ministre sortant sont ceux que le Parti conservateur considère comme dignes de respirer le même air que LE leader adoré.
Le double discours de Mulcair exposé
Comme s’il n’existait pas suffisamment de raisons de se méfier de Stephen Harper, le chef conservateur enfonce encore une fois le bouchon. Non seulement faut-il une invitation aux événements de campagne du PCC, ceux-ci désormais se dérouleront sous la loi du bâillon.
Le candidat s'invente un passé, le chef réécrit le sien
Le candidat néo-démocrate dans Manicouagan, Jonathan Genest-Jourdain, bénéficie toujours l’appui de son chef, Thomas Mulcair, et ce même si sa famille l’accuse d’avoir exagéré des passages de son enfance pour se faire du capital politique.
Le NPD avoue qu'il n'imposera aucune limite à l'exploitation des sables bitumineux
L'attention se tourne vers le débat sur les sables bitumineux alors que les politiques environnementales du NPD suscitent la critique des conservateurs.
Pour une fois qu'il a raison...
Le premier ministre sortant Stephen Harper n’a pas manqué d’écorcher ses rivaux en qualifiant les néo-démocrates de «cônes orange» lors d’un rassemblement qui a réuni quelques centaines de militants conservateurs au Complexe Capitale Hélicoptère à Québec, dimanche après-midi.
La droite anglo-canadienne lâche Harper
C’est un véritable coup de tonnerre en quelque sorte. Un dur coup pour Stephen Harper. Imaginez, par exemple, que Lisa Frulla (ou tout autre ténor libéral) écrive dans Le Presse pour en appeler à ne plus appuyer le PLQ. Pas un simple appel, une lettre dure, accusatrice, longuement murie et solidement appuyée par des faits indiscutables, des années de contradictions, d’usure du pouvoir…
Avec un «mon'onc» pareil, les Québécois devraient se méfier
Stephen Harper a sans conteste un penchant pour Québec. Depuis sa réélection en mai 2011, le premier ministre du Canada a visité la grande région de la Capitale-Nationale pour des événements orchestrés par le Parti conservateur du Canada (PCC) près de deux fois plus souvent que celle de Montréal qui pèse pourtant bien plus lourd économiquement et démographiquement.
Et c'est vrai !
Le Bloc québécois est résolu à regagner la confiance des Québécois et se positionne comme le seul parti capable de s’opposer à ce qu’il caractérise maintenant comme le «Bloc canadien».
Il n'est plus gros mensonge qu'une demi-vérité
Le candidat du Bloc québécois qui tente de déloger Maria Mourani dans Ahuntsic-Cartierville estime que l’ex-bloquiste diffuse des «demi-vérités» quant à son départ du parti.
Le genre de spéculation qui accrédite des faussetés
Il y a quelques mois encore, on aurait difficilement imaginé le NPD prenant le pouvoir à Ottawa sans s’allier avec le PLC. Tout comme il avait fallu que l’Alliance canadienne s’unisse avec le Parti conservateur pour remporter les élections.
Harper et Mulcair, même défaite
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les chefs du Bloc canadien, messieurs Harper, Trudeau et Mulcair, ne se sont pas précipités pour réclamer la présence du chef du Bloc Québécois aux débats anglais.
Les conservateurs sont inquiets
Le chef conservateur, Stephen Harper, joue la carte du leadership. Il se présente comme étant le seul qui peut tenir la barre dans un contexte d’incertitude économique et d’inquiétude quant à la sécurité. Mais il a déjà franchi la ligne qui sépare leadership et roublardise.
Le flagrant délit des partis anglos fédéraux
Deux chefs de parti se font prendre en défaut sur les réseaux sociaux
La campagne électorale fédérale vient à peine d’être lancée que déjà, on nous signale plusieurs cas où la langue de Molière est maltraitée sur les affiches de différents candidats.