Le NPD continue à perdre des plumes au Québec
Liberals, Conservatives sharing lead as NDP support softens: poll
Les sondages d'intention de vote les plus récents démontrent une chute de popularité sévère, particulièrement au Québec.
Le NPD continue à perdre des plumes au Québec
Les sondages d'intention de vote les plus récents démontrent une chute de popularité sévère, particulièrement au Québec.
Le piège de la langue
Déjà déstabilisé par le débat sur le niqab, Tom Mulcair devra vraisemblablement se défendre sur un autre front, celui de la langue, lors du cinquième et dernier débat télévisé entre les chefs de parti, vendredi soir.
Il ne parle ni le français, ni l'anglais, il baragouine le sabir canadien
Les tribulations politiques d’un fils à papa
Un héritier aussi pauvre que son héritage
l faut le redire parce que les médias fédéralistes n’ont pas osé trop le souligner de peur d’égratigner le mythe qui soutient le régime, la prestation de Justin Trudeau lors du débat en français la semaine dernière était tout simplement pathétique.
Le NPD en chute libre au Québec ( perte de 17 % depuis le 11 septembre)
Une autre sondage publié aujourd'hui démontre que l'appui au NPD de Thomas Mulcair est en chute libre au Québec.
L'hypocrisie électoraliste des Conservateurs apparaît au grand jour
Même s’ils considèrent le port du niqab comme un «retour au Moyen Âge», les conservateurs refusent de s’engager à interdire le vote à visage couvert dans les 100 jours suivant le scrutin du 19 octobre.
Un enjeu brûlant pour l'électorat tant du Québec que du ROC
Les enjeux identitaires ont fait une irruption soudaine dans la campagne fédérale depuis un peu plus d’une semaine, mais la glissade du Nouveau Parti démocratique hors du Québec avait commencé bien avant l’affaire du niqab.
Grosse «jambette» de Michel David à Mulcair
On ne saura jamais exactement combien le camp du non a dépensé illégalement lors du référendum de 1995. Vingt ans plus tard, bon nombre de souverainistes demeurent convaincus qu’il a été « volé ».
Enfin, de l'action !
Les questions du niqab et de la majorité nécessaire pour la reconnaissance d’un référendum au Québec ont enflammé le premier débat en français entre les cinq chefs des principaux partis politiques fédéraux, jeudi soir.
Hécatombe en vue pour Justin trudeau au Québec
J'aime la politique, alors inutile de me demander si j'ai aimé le débat de ce soir. Je trouve qu'il a offert plusieurs bonnes surprises, sauf pour ce qui est du gagnant. Seul à avoir le français comme langue maternelle, Gilles Duceppe a remporté le débat haut la main.
Le NPD recule partout et le PC prend les devant
Si les élections fédérales avaient lieu aujourd’hui, le Parti conservateur pourrait bien être réélu, selon un sondage réalisé par la firme Ekos, publié dans La Presse.
Justin Trudeau tente de surfer sur les idées de papa
C’est fou comme le temps passe vite, malgré cette campagne électorale qui, paradoxalement, n’en finit plus de ne plus finir… Einstein et la Relativité doivent sans doute y être pour quelque chose…
Embellie pour le Bloc !
La campagne électorale a débuté avec une montée des libéraux, les Canadiens réalisant que Justin Trudeau n’était pas un intrus dans cette course, mais qu’il avait bel et bien sa place parmi les prétendants au poste de premier ministre.
La fin du rêve orange
En début de campagne, le secrétaire-général de la FTQ convoquait les médias pour expliquer la volonté de la centrale syndicale qu’il représente de se ranger derrière des candidats au Québec qui pouvaient aspirer à défaire un député Conservateur.
Bien méritée, celle-là !
Le chef bloquiste Gilles Duceppe s’est livré à une charge en règle contre Thomas Mulcair et le NPD dimanche concernant le port du niqab.
Le seul résultat qui comptera
Tout est toujours à recommencer. Quand fléchit la volonté, quand s’érode le courage, quand la lassitude prend le dessus, le bruit des choses mortes vient couvrir la parole, la retourner contre l’intelligence.
Deux des cinq partis exclus du débat sur l'économie
ÉLECTIONS FÉDÉRALES
Les chefs de trois des cinq grands partis en campagne électorale débattront d’économie, ce jeudi soir, en anglais seulement. Jusqu’à ce jour, nous ne connaissons que quelques-unes des intentions des partis, les plus positives, sans vision d’ensemble. En sera-t-il ainsi jusqu’au lendemain du vote ?
Le NPD joue avec les chiffres comme avec les promesses,
Élections Canada 2015
Le chef néo-démocrate le répète depuis le début de la campagne électorale : son parti va équilibrer le budget coûte que coûte!
Un rappel utile des règles du jeu
ÉLECTIONS FÉDÉRALES
Lorsque minoritaire, le parti qui obtient le plus de sièges n’a pas pour autant «gagné» le droit de former le gouvernement
Dans notre régime politique, le but le plus important de l’élection des députés est de choisir un gouvernement. Si l’un des partis en lice atteint la majorité absolue, aucun problème : il obtiendra les rênes du pouvoir sans partage.
Le dossier Trans-Canada permet à lui seul de comprendre que les Conservateurs se moquent des provinces, et du Québec en particulier
PROMESSES ÉLECTORALES
NPD et PLC empiètent sur les compétences provinciales, affirme Maxime Bernier
Les conservateurs accusent leurs adversaires libéraux et néodémocrates d’empiéter sur les champs de compétence des provinces avec leurs promesses concernant les garderies, la santé ou l’éducation.
Affichage créatif du Bloc
Des pancartes électorales trompe-l'oeil posées par le candidat bloquiste dans la circonscription de Louis-Saint-Laurent sont décriées par ses adversaires conservateur et néo-démocrate.
Vers un PLC sans chef ?
En déclenchant, au début du mois d'août, une interminable campagne de 78 jours, Stephen Harper pensait bien jouer un vilain tour à ses adversaires, mais cette stratégie semble plutôt leur procurer des avantages inusités et inespérés.
Des analphabètes politiques ?
La question m’est arrivée dans le courriel d’un lecteur. Je vous la résume : pourquoi au Québec nous dit-on de voter NPD pour nous assurer de défaire Harper, alors que nous avons élu Couillard sans hésiter à la dernière élection ?
Revirement spectaculaire
Bien humblement, je n’aurais jamais imaginé ça, il y a un mois. Si on se fie aux sondages (le « si » est important), il semble qu’en dehors du Québec, il y a un sérieux mouvement en train de se produire dans les intentions de vote, en particulier en Ontario, là où se font et se défont les gouvernements canadiens.
Et pan dans les gencives de Coderre
Plutôt que sortir leur marteau-piqueur, les Québécois ont plutôt intérêt à voter pour le Bloc pour contrer l'implantation des boîtes postales communautaires de Postes Canada, plaide Gilles Duceppe.
Y'en aura pas d'facile
CAMPAGNE BLOQUISTE
Malgré les sondages, le chef du Bloc québécois assure ne pas être découragé
Journée caniculaire sur Montréal. Au milieu du parc La Fontaine, la brise atténue d’un brin la chaleur. Assis à une table à pique-nique quelques minutes avant le début du conseil général du Bloc québécois, le conseiller Stéphane Gobeil s’allume une cigarette, aspire, puis laisse échapper un constat lapidaire sur l’état du parti dont Gilles Duceppe a repris les rênes en catastrophe : « Le Bloc était presque mort. »
Comprendre où sont nos intérêts et agir en conséquence
Pour qui voter ?
Une confusion qui nous condamne à l'impuissance
La souveraineté n'est pas un souhait, mais bien une somme. On s'additionne et on s'en approche, on se soustrait et on s'en éloigne. Soustraire, c'est ce que la moitié des souverainistes propose de faire qui s’apprête à voter pour le NPD : les indépendantistes pour le NON !
Tit train va loin
Même si nous avons l’équivalent d’une campagne électorale dans le corps, au Québec elle n’a pas encore vraiment débuté. La couverture médiatique, plutôt médiocre, a laissé peu de traces dans l’esprit des électeurs qui ne suivent pas la politique de près.
Jouer avec le feu
Les souverainistes qui s'apprêtent à voter pour le NPD le sont-ils encore? Probablement. En un sens, du moins. On comprend qu’ils voteraient «oui» à la souveraineté, mais ils croient ou sentent que l'époque ne nous pousse pas vers un prochain référendum et ne se sentent plus obligés, pour cela, de voter pour le Bloc.
Dans le bon sens...
Les partis politiques tapissent le décor d'affiches électorales, mais ils ne sont pas les seuls à vouloir utiliser l'espace public pour convaincre. Des groupes, nommés tiers, sont inscrits auprès d'Élections Canada et se manifesteront pour influencer les électeurs afin qu'ils votent contre ou pour un parti.
Changer, oui, mais pas «quat'trente sous pour une piasse»
Petite discussion de fin d’été où personne n’a la tête à la politique, évidemment. Conversation qui témoigne aussi de la méconnaissance de certains Québécois dans les partis fédéraux, qui veut voter « du bon bord » sans trop savoir ce que ce « bon bord » veut pour le Canada, pour le Québec.