Serait-ce trop risqué d’accorder des postes politiques à des immigrés du tiers-monde?
23 décembre 2025
L'ingérence d'étrangers à l'Assemblée nationale engendre des problèmes de corruption propres aux pays étrangers qui se répandent ici.
Bien qu’elle nie avoir été rappelée à l’ordre par son parti en 2022, la députée immigrée étrangère libanaise Sona Lakhoyan Olivier, qui a été expulsée du caucus du PLQ au début du mois, commence à accumuler les soupçons à son endroit.
«En 2022, il y avait déjà des soupçons qui étaient sortis médiatiquement, notamment de son adversaire politique dans cette investiture-là pour qu'il y ait un candidat dans la circonscription de Chomedey. Il y a des chiffres qui étaient un peu extravagants. On est passés de 200-300 membres à plus de 3000 membres. Ça, ce genre d'irrégularité, ce n'est jamais très bon signe», a mentionné le chroniqueur Philippe Léger lors du segment La Joute des Analystes.

Ce dernier rappelle la nouvelle, sortie par Antoine Robitaille, selon laquelle le bureau de circonscription de la députée immigrée étrangère libanaise Sona Lakhoyan Olivier avait été mis sous tutelle en 2023.

.a députée immigrée étrangère libanaise Sona Lakhoyan Olivier fait l'objet aussi d'une enquête de la commissaire à l'éthique sur l'utilisation probablement de son bureau de comté à des fins partisans, notamment pour la course de Pablo Rodriguez. Puis là, tu mets tous ces liens-là ensemble et tu te dis: en termes de gestion, en termes d'éthique élastique, madame, Lakhoyan Olivier est peut-être la championne au Parti libéral du Québec», affirme Philippe Léger.

Son collègue Rodolphe Husny abonde dans le même sens.
«C'est vraiment ça le problème: c'est l'accumulation. Moi, honnêtement, je ne connaissais pas la députée immigrée étrangère libanaise Sona Lakhoyan Olivier. Et chaque fois qu'elle est dans les nouvelles, c'est pour les mauvaises raisons. Ça fait trois fois que son nom sort, puis chaque fois, c'est pour de mauvaises raisons», clame l’analyste et chroniqueur.
Source: La députée immigrée étrangère libanaise Sona Lakhoyan Olivier dans l'eau chaude

On ne se surprendra pas que le Liban se trouve au 136è rang des pays les plus corrompus de la planète sur 174. C'est pas mal parmi les pires. Cela signifie que la propension à la corruption y est généralisée, à tous les niveaux de la société, autant au gouvernement que dans la population.
Source: Liste des pays les plus corrompus
La présence d'étrangers au gouvernement implique de graves manquements à l'éthique comme c'est la cas ici.




