Les immigrés criminels doivent être expulsés
28 septembre 2021
(Montréal) Le soi-disant pasteur d'une secte de pacotille africain de race noire congolais Paul Mukendi, qui devait se rendre aux autorités carcérales au plus tard vendredi à 15 h afin de purger une peine de huit ans de prison après avoir été condamné pour plusieurs crimes, dont des agressions sexuelles sur une mineure, est en fuite, et nargue la police.
En même temps, on apprend qu'au Congo où le pseudo-pasteur est retourné, des dizaines de femmes se sont vu proposer du travail en échange de rapports sexuels ou ont été victimes de viol. La commission a identifié 83 auteurs présumés, accusés d’exploitation et d’abus sexuels.
84 victimes présumées, en majorité de sexe féminin
Sur les 70 allégations d'exploitation et d’abus sexuels rapportées au second trimestre 2018, 27 incidents auraient eu lieu cette année ; 9 en 2017 ; 5 en 2016 ; 10 en 2015 ; 2 en 2014 ; et la date est inconnue pour 17 cas.
Au total, ces 70 allégations rassemblent 84 victimes : 46 femmes, 17 filles (âgées de moins de 18 ans), 12 femmes dont l'âge est inconnu, un garçon (âgé de moins de 18 ans) et cinq hommes d'âge inconnu. Le sexe de trois victimes est inconnu. Les auteurs présumés de ces abus et exploitation sexuels présumés comprennent 80 hommes, quatre femmes et quatre personnes dont le sexe est inconnu.
Comme on peut le constater dans le cas qui nous concerne comme dans les autres, chassez le naturel et il revient au galop. Une mentalité primitive ne se change pas. Le pseudo pasteur africain de race noire congolais Paul Mukendi a tout simplement continuer à assouvir ses bas instincts comme trop de ses congénères en ont la condamnable habitude. Le tiers-monde doit rester au tiers-monde.
Les tribunaux ont conclu sa culpabilité à des accusations d’agression et de contacts sexuels sur une mineure, de menace de mort, de voies de fait armées et de voies de fait causant des lésions.
En 2019, un jury a déclaré le pseudo pasteur africain de race noire congolais Paul Mukendi coupable de neuf chefs d’accusation concernant une victime de 14 ans qui fréquentait son église.
La victime était mineure lors de certains des crimes perpétrés contre elle. Au procès, elle a relaté que le pasteur noir lui a fait subir de premiers attouchements sexuels alors qu’elle n’avait que 14 ans. Des rapports sexuels complets ont débuté l’année suivante. À certaines occasions, il l’a violemment battue avant de l’agresser, est-il rapporté dans le jugement de la Cour d’appel.
LE CHEMIN VERS LE PÉNITENCIER
-
Octobre 2017 : Paul Mukendi est arrêté par le SPVQ et doit faire face à de multiples accusations à caractère sexuel. -
Juin 2019 : Mukendi est reconnu coupable de neuf chefs d’accusation, dont agression sexuelle, voies de fait avec lésions et menaces de mort. -
Février 2020 : Mukendi est condamné à une peine d’emprisonnement de huit ans.