Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés
26 août 2022
Voici un texte retrouvé datant de 2010, proposant une alternative à l'avortement: l'adoption à la naissance.
Le droit à la vie prime sur le droit à la mort de l'enfant non désiré
Le grand principe fondamental est clair et simple, c'est le droit à la naissance, le droit de vivre toute sa vie et d'atteindre l'espérance de vie normale.
Demandez à tous ceux qui devaient être avortés s’ils préféreraient avoir été éliminés, la réponse sera unanime. Personne ne désire qu’on abrège ses jours. Il faut défendre le droit à l’existence du petit enfant grandissant dans le ventre de sa mère.
– La seule différence entre un embryon de 3 semaines et un bébé de 6 mois, entre un adolescent et un vieillard en est une de stade de développement. C’est la même personne qui a enclenché son processus de croissance lors de la conception. Ce ne sont là que différentes versions de la même personne.
– La vie est un processus continu une fois lancé: on ne peut être mort pendant une certaine période et devenir vivant au bout de x mois. Ou bien on est vivant, ou bien on ne l’est pas; il n’y a pas d’entre-deux.
– Les unicellulaires ne sont formés que d’une seule cellule mais ils sont tout aussi vivants que vous et moi! Ce ne sont pas des cailloux inanimés ni de la matière inerte. De même pour l’embryon en croissance qui n’est pas qu’un amas de cellules. Le bébé de 3 mois dans les bras de sa mère est celui-là même qui était dans le ventre à 3 jours de la conception.
– L’ovule fécondée contient 100% du même bagage génétique que le bébé naissant ou le vieillard de 100 ans qu’il sera un jour. L’être vivant une fois crée n’a jamais été autre chose que lui-même, quelque soit son âge.
– L’enfant dans le corps de la mère n’est pas le corps de la mère. C’est un être tout à fait distinct. On ne liquide pas quelqu’un parce qu’on ne veut pas le voir.
L’adoption à la naissance, solution à l’avortement:
Lorsqu’on pense à toutes les petites Camille, Florence et Rosalie qui grandissent dans le ventre de leur mère, n’est-il pas désolant que certaines femmes les privent de leur avenir sur cette terre en mettant fin à leur croissance?
La solution pratique est simple: que les enfants non désirés soient confiés à l’adoption à leur naissance. Les parents adopteurs paient actuellement entre 10 000 $ et 25 000 $ pour avoir un enfant à l’adoption internationale. Ces sommes pourraient être remises aux femmes enceintes en compensation financière pour le travail effectué. Ainsi, tout le monde sera gagnant, à commencer par les petits enfants qui n’ont pas demandé à être éliminés si tôt et à qui on refuse une vie merveilleuse.
Ne retirons pas la vie aux enfants qui voudraient bien pouvoir en profiter comme vous et moi.
Ils ont besoin de nous pour prendre leur défense.