Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
24 octobre 2024
Une autre particularité de la délinquance typiquement autochtone, c'est la précocité des jeunes qui mènent une vie de délits répétés et violents à coups de couteaux et d'entretuage, dès 14 ans.
Le dernier reportage présenté à Noovo en donne de multiples exemples dans la réserve indienne du Lac-Simon; c'est à faire frémir. Visionnez la vidéo alarmante pour un aperçu de la criminalité chez les indiens mineurs de Lac-Simon.
Comme chez les maghrébins, dès que la poussée hormonale de la puberté s'active, l'instinct de violence se déclenche et frappe.
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On comprend qu'il faille confiner les indiens aux réserves. Ils représentent un danger beaucoup trop élevé pour les laisser circuler parmi les citoyens de notre société. Plus le temps passe, plus cela empire. Et cela ne pourra jamais changer puisque cela fait partie de leur bagage génétique héréditaire.
Cela donne une vie de drogue, d'alcoolisme, de chômage et de désoeuvrement à 70%, de violence, de crimes, de tueries.
Source: ABITIBI-TÉMISCAMINGUE: FRAPPE ANTIDROGUE DANS LA RÉSERVE DE LAC-SIMON
On peut filtrer et bloquer l'immigration maghrébine dangereuse (qui fait aussi des ravages dans nos écoles), mais pour les indiens il faudra recourir au confinement sur les réserves pour le bien de la population québécoise menacée.
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Il faut se résoudre à l'évidence. Malgré tous les efforts déployés et les millions dépensés en pure perte, la situation est désespérée, ne fait qu'empirer et ne pourra jamais se régler. Cessons de s'illusionner.